Dette : l’économie US au bord du gouffre

[El Fredo]

Ça serait un bon président s'il n'y avait pas une telle bande de tarés en face, malheureusement face à ce genre d'obstruction il faudrait quelqu'un de plus rentre-dedans plutôt que quelqu'un comme Obama qui privilégie le compromis et les accords bipartisans, qualités appréciables en temps normal. A sa décharge n'oublions pas qu'il a à gérer le merdier laissé par son prédécesseur, les Républicains faisaient moins la fine bouche quand il s'agissait de voter des guerres préventives et d'exploser les déficits avec des baisses d'impôts.

[mps]

Obama, de l'intérêt pour ses concitoyens ? icon_biggrin

Combien a coûté au contribuable, par exemple, son excursion avec Air Force One et toute la suite, pour prendre la pose sur une plage de Floride, en patit costyume beige et jolis mocassins, et ramasser une minuscule boulette de pétrole sous les yeux de centaines de cameras invitées pour l'occasion ?

Et qu'a-t-il fait pratiquement, si ce n'est vilipender BP, victime d'un accident industriel, et qui a dépensé des milliards pour le réparer ?

"Nice guy" dans l'histoire de ces piliciers américains appelés par une dame signalant qu'un énergumène tentait de fracturer la porte de la maison d'à côté. Police qui est arrivée dans les meilleurs délais, avec interpellé le type qui ipposait ube vive résistance, et l'avaient mis au frais en attendant qu'!il s'explique. Finalement, ce type - que sa voisine n'avait pas reconnu tant il était mal fripé, était bien l'habitant de la maison, qui avait perdu ses clés. Mais qui était aussi dans un état si "bizarre" qu'il avait refusé de montrer ses papiers ou de s'expliquer. Le petit prof de morale OBAMA avait alors déclaré publiquement que la police américaine était raciste !!!  Globalement ! Venant du Président, voila qui a été apprécié, surtout que l'enquête a démontré qu'il n'y avait pas eu l'ombre d'une bavure. Finalement, Obama a dû s'excuser.

Ce type est un tocard.

[El Fredo]

Combien a coûté au contribuable, par exemple, son excursion avec Air Force One et toute la suite, pour prendre la pose sur une plage de Floride, en patit costyume beige et jolis mocassins, et ramasser une minuscule boulette de pétrole sous les yeux de centaines de cameras invitées pour l'occasion ?

C'est marrant, quand Sarkozy fait la même chose en France et qu'on a le tort de s'en offusquer ou simplement de se moquer, tu nous traites de râleurs, de mêleurs d'oignons ou d'autres expressions fleuries dont tu as le secret. Ce type est un tocard.

[wesker]

A priori, les négociations sont difficiles et l'approche de la campagne renforce les difficultés, mais il apparaît que les républicains obtiennent de sérieux compromis de la part de l'administration démocrate.

L'objectif politique est peut être de décrédibliser l'équipe actuelle en vue d'apparaître comme les plus aptes à apporter les réponses économiques dont les Etats Unis ont besoin.

Je continu à penser qu'ils finiront par trouver un accord acceptable pour les 2 formations car aucune d'entre elle ne souhaiterait apparaître comme responsable d'une surenchère dont les conséquences économiques seraient considérables pour les Etats Unis.

[politicien]

Bonjour,

   

 
  La date fatidique du 2 août approche et toujours aucun accord de prévu. Passé ce jour, si le plafond de la dette n’est pas relevé, les Etats-Unis se retrouveront en défaut de paiement. Face à la Maison-Blanche, qui indiquait mercredi qu’un compromis était toujours "possible", le camp républicain notait de son côté que "des progrès" étaient réalisés. Mais actuellement, la situation reste bloquée tant que le plan de John Boehner, chef de fil de la majorité républicaine à la Chambre des représentants, n’est pas voté. Ce sera peut-être chose faîte jeudi. Pourtant, la proposition Boehner a déjà provoqué la colère du courant ultra-conservateur, le Tea party.La cause de cette fronde : une étude réalisée par une agence indépendante qui estime à 850 milliards l’impact des économies faites par ce plan, au lieu des 1.200 annoncés. Pas suffisant pour le Tea party, au sein duquel dix de ses représentants ont fait savoir qu’ils voteraient contre la proposition de leur propre camp. Ce mouvement représente 87 des 242 élus républicains de la Chambre. Or l’adoption de ce plan nécessite 218 voix.

"Le Tea party n’est pas là pour proposer un meilleur compromis"
Une situation qui fait dire à Harry Reid, le patron des démocrates au Sénat qui a lui-même présenté un second plan, que les membres du Tea party sont "maîtres de la situation". "J’ai l’impression que ce constat est exact", indique Nicole Bacharan, politologue spécialiste des Etats-Unis, au JDD.fr. "John Boehner a fait des compromis qu’il jugeait acceptables mais il a dû y renoncer face au refus d’une partie de ses troupes". "Les élus de Tea party se radicalisent car le président Obama se radicalise lui-même", constate pour sa part le président de l’association des amis du parti républicain en France, Pierre Toullec, précisant qu’ils "ne nuisent pas à cet accord".
"Quel que soit le camp, c’est presque une vérité objective : Obama a fait bien plus d’efforts pour un compromis que les républicains", tranche Michael C.Behrent, historien américain enseignant à l’Appalachian State University, en Caroline du Nord. "Toutes les propositions actuelles du président seraient incontestablement considérées de droite  en Europe. Merkel, Sarkozy ou Cameron dormiraient tranquille avec un tel plan !", juge-t-il avant de compléter : "le Tea party rejette même l’idée de compromis comme étant une bonne chose. Il n’est pas là pour en proposer un meilleur mais pour dire que, sur cette question, il n’y en a pas de possible."
L’antiétatisme absolu prôné par le mouvement se traduit ici par son opposition farouche aux augmentations d’impôts demandées par la Maison-Blanche. "Ce relèvement du plafond est devenu une bataille symbolique", explique Michael C.Behrent, alors que Nicole Bacharan y voit à la fois "un dogme" et "un instrument de marketing politique", incitant les élus à maintenir leurs promesses faîtes aux électeurs à l’occasion des élections de mi-mandat en 2010.

"Le Tea party joue avec le feu"
"Le Tea party a déjà accepté de diminuer certaines de ses demandes", nuance Pierre Toullec. "Mais une hausse des impôts est indiscutable pour eux. Si le président adopte une position plus modérée, le Tea party acceptera également", ajoute-t-il, renvoyant ainsi la balle dans le camp démocrate.
Pour Michael C. Behrent, face à l’intransigeance actuelle des ultraconservateurs, "la question est : les républicains pourraient-ils accepter un compromis qui ne dépendrait pas des voix du Tea party et qui irait chercher des voix aux démocrates ?" Sur cette question, cela serait synonyme d’un déplacement du clivage politique traditionnel.
"Le Tea party joue avec le feu, cela peut lui nuire", avance Nicole Bacharan, alors que l’élection présidentielle aura lieu en novembre 2012. "Il est dangereux pour eux de se présenter comme le parti qui bloque", estime-t-elle. "Le président les place dans une position extrême tandis que lui conserve son aile gauche et gagne le centre", renchérit Michael C.Behrent, précisant que "les républicains sont divisés par cette révolte intérieure". Une affirmation rejetée par Pierre Toullec : "les Américains ont bien conscience que ce n’est pas la faute du Tea party : les sondages indiquent qu’Obama est en chute libre depuis le début des discussions", assure-t-il.

"Vers un accord à court terme"
Jusqu’au 2 août, rien ne garantit cependant les élus du Tea party de rester unis, partagés entre la volonté de rester fidèle à leur ligne politique et la crainte de voir s’abattre une crise majeure dans leur pays. "Michele Bachmann, élue à la Chambre, candidate à l’investiture républicaine en 2012 et qui 'incarne' en quelque sorte ce mouvement, a déjà annoncé qu’elle s’opposerait totalement à la levée du plafond de la dette", explique Michael C.Behrent. En revanche, "d’autres membres du Tea party tels que Marco Rubio commencent à se rendre compte qu’il vaut mieux une position plus modérée que pas d’accord du tout", juge Pierre Toullec.
"Aller vers un accord à court terme pourrait être une situation tolérable" pour l’ensemble du camp républicain, poursuit-il. Une mesure dont ne veut actuellement pas entendre les Démocrates. Mais, au vu du "rapport de force favorable au Tea party", analyse Nicole Bacharan, "si accord il y a, cela voudra dire que ce mouvement a mis de l’eau dans son vin". Avant d’ajouter : "Mais il n’y aura pas beaucoup d’eau…"


Le Jdd

[mps]

Le Tea party tient Obama par la barbichette, et joue démocratiquement son rôle d'opposition.

[El Fredo]

Le Tea Party joue le rôle d'opposition alors qu'ils font partie de la majorité icon_mrgreen

[mps]

Non, ils sont majoritaires au Congrès, mais dans l'opposition face à Obama.

[politicien]

Bonjour,


 

 

Moody's a prévenu vendredi que la prolongation des débats sur le relèvement du plafond de la dette américaine faisait monter la probabilité d'un changement de la note souveraine, de la perspective qui lui est accolée, voire des deux. L'agence de notation ajoute toutefois s'attendre à ce que son évaluation à venir sur un possible abaissement de la note se solde par une confirmation du "AAA" actuel, avec une perspective négative.


Ceci semble indiquer qu'une perte éventuelle de la note maximale des Etats-Unis ne viendrait pas immédiatement, mais pourrait intervenir à moyen-terme. Moody's indique prévoir que dans le cas où la limite supérieur de la dette américaine ne serait pas relevée avant le 2 août, Washington donnerait la priorité au service de cette dernière. De la sorte, les Etats-Unis seraient en mesure de retarder "un défaut potentiel sur la dette de quelques jours".

http://www.europe1.fr/Economie/Dette-l- ... Etats-Unis…

[politicien]

Bonjour,


 

 Engagé dans un bras de fer avec les républicains pour régler la crise de la dette, le président des Etats-Unis tente d'afficher un certain optimisme.
Dans l'adversité, Barack Obama tente d'introduire une note d'optimisme. Pris dans des négociations ardues pour éviter un défaut de paiement des Etats-Unis, il a estimé que les deux parties n'étaient "pas si loin l'une de l'autre" lors de son point hebdomadaire à la radio et sur le Web. 
Tout comprendre sur la crise de la dette
À quelques jours de la date butoir du 2 août au-delà de laquelle les États-Unis risquent le défaut de paiement, tout ce qu'il faut savoir pourcomprendre la crise de la dette américaine en cliquant sur ce lien.  

Il souligne la nécessité d'un accord qui ait "le soutien des deux partis qui ont été envoyés (au Congrès) pour représenter le peuple américain, et non pas seulement d'une fraction d'un parti". La date fatidique du 2 août se rapproche et le compromis n'est pas encore trouvé.  
Pour influencer les élus républicains, Barack Obamaa tenté une offensive sur Twitter ce vendredi, en incitant les internautes à faire pression sur leurs élus. Mais, affirme Daily News, cette opération lui aurait fait perdre 40 000 "followers' (abonnés à son compte Twitter).

"Nous n'avons presque plus de temps"
Vendredi, le Sénat a rejeté, par 59 voix contre 41 un texte" des républicains de la Chambre. Un amendement qui voulait relever le niveau d'endettement autorisé et pris des mesures pour pousser son propre plan. Peu avant, la Chambre des représentants américaine avait adopté le plan républicain par 218 voix contre 210. Dans la foulée du vote de la Chambre, la Maison Blanche a publié un communiqué: "Maintenant que cette nouvelle manoeuvre politique est derrière nous, au moment où le temps vient à manquer, les chefs (du Congrès) doivent commencer à travailler ensemble immédiatement afin de parvenir à un compromis qui évite un défaut de paiement et établisse la base d'une réduction équilibrée des déficits". 
"Nous n'avons presque plus de temps", a averti Barack Obama lors d'une intervention télévisée, en appelant les Américains à "maintenir la pression" sur leurs élus à Washington pour qu'ils trouvent une solution rapide à la crise actuelle. 
Selon un nouveau sondage publié par l'institut Gallup, l'impasse budgétaire entame la popularité du président Obama, qui est tombée à 40% contre 50% début juin.


http://www.lexpress.fr/actualite/econom ... icaine-les…

  

[mps]

Obama est de plus en plus ridicule, avec son "appel à la rue". icon_frow

Un pâle socio-cul qui, au lieu d'être un chef d'état, se lance dans des pétitions à la noix.

Pity and the shame icon_evil  

[politicien]

Bonjour,


 
 

 
Républicains et démocrates auraient trouvé un accord de principe, qui doit être approuvé par le Congrès, pour relever le plafond de la dette américaine, selon la chaîne de télévision ABC. Le conseiller d'Obama dément.

La planète peut souffler un peu. Après de longues semaines de négociations, républicains et démocrates auraient enfin trouvé un accord pour relever le plafond de la dette américaine, selon la chaîne de télévision américaine, ABC News, qui cite des sources anonymes du Congrès. Comme le précise ABC sur son site Internet, cet accord n'est que «provisoire» et doit encore être approuvé par le Congrès.

Une information confirmée à demi-mots par le chef de la minorité républicaine du Sénat, Mitch McConnell. «Nous sommes très proches d'un accord» a-t-il déclaré sur CNN, se disant confiant qu'une augmentation du plafond de la dette permettra aux États-Unis d'éviter un défaut de paiement et aux Américains de payer plus d'impôts. Et démentie par le conseiller de Barack Obama, David Plouffe. «Il n'y a pas d'accord, a-t-il déclaré sur la chaine NBC. L'horloge tourne. Nous devons trouver une solution. La journée d'aujourd'hui (dimanche, ndlr) est bien évidemment cruciale».

Le plafond relevé jusqu'en 2012 ?
Si le conseiller de Barack Obama s'est réfusé à donner des détails sur le compromis en train d'être négocié, il a indiqué que le plan prévoyait une réduction des dépenses de 3000 milliards de dollars sur dix ans. Selon ABC News, le plafond d'endettement serait relevé jusqu'aux élections de 2012, en pleine campagne électorale. Les démocrates avaient pourtant exigé une mesure qui tienne jusqu'en 2013.

Quoi qu'il en soit, si l'information était confirmée par Washington, cela signifierait que les États-Unis pourront continuer à emprunter sur les marchés financiers. Une bonne nouvelle pour Barack Obama à moins d'un an des prochaines éléctions présidentielles. Après avoir été longtemps en retrait face au long bras de fer entre républicains et démocrates, la Maison Blanche avait décidé samedi de s'impliquer de nouveau dans les négociations. Un retour ardemment souhaité par les républicains et qui semble donc avoir porté ses fruits.
Du coup, l'optimisme était revenu samedi soir du côté des parlementaires. Le chef de la majorité démocrate du Sénat américain, Harry Reid, qui se montrait jusque-là pessimiste, avait reconnu des avancées dans les négociations avec la Maison Blanche. «Des négociations se déroulent actuellement à la Maison blanche en vue d'éviter un défaut de paiement catastrophique sur la dette nationale», a déclaré Reid tard samedi. Même son de cloche du côté des républicains : «Je pense que nous avons une chance d'y arriver», a estimé samedi Mitch McConnell, chef du groupe républicain au Sénat.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011 ... G00038-det…
 

[Ilikeyourstyle]

Obama, de l'intérêt pour ses concitoyens ? icon_biggrin

Combien a coûté au contribuable, par exemple, son excursion avec Air Force One et toute la suite, pour prendre la pose sur une plage de Floride, en patit costyume beige et jolis mocassins, et ramasser une minuscule boulette de pétrole sous les yeux de centaines de cameras invitées pour l'occasion ?

Et qu'a-t-il fait pratiquement, si ce n'est vilipender BP, victime d'un accident industriel, et qui a dépensé des milliards pour le réparer ?

"Nice guy" dans l'histoire de ces piliciers américains appelés par une dame signalant qu'un énergumène tentait de fracturer la porte de la maison d'à côté. Police qui est arrivée dans les meilleurs délais, avec interpellé le type qui ipposait ube vive résistance, et l'avaient mis au frais en attendant qu'!il s'explique. Finalement, ce type - que sa voisine n'avait pas reconnu tant il était mal fripé, était bien l'habitant de la maison, qui avait perdu ses clés. Mais qui était aussi dans un état si "bizarre" qu'il avait refusé de montrer ses papiers ou de s'expliquer. Le petit prof de morale OBAMA avait alors déclaré publiquement que la police américaine était raciste !!!  Globalement ! Venant du Président, voila qui a été apprécié, surtout que l'enquête a démontré qu'il n'y avait pas eu l'ombre d'une bavure. Finalement, Obama a dû s'excuser.

Ce type est un tocard.

mps, tu viens ici sans t'en rendre compte de résumer ton imbécilité qui me devient aussi inssuportable qu'elle l'est aux gauchistes du Forum. BP n'est pas victime d'un accident industriel, BP par une politique d'ingénierie de mauvaise qualité, de maintenance inadéquate, et de poursuite d'exploitation d'installation obsolète a causé un accident industriel ayant eu des conséquences significatives économiquement et environnementalement. Qu'Obama ait vilipendé BP, il n'a fait que son boulot. Qu'il se soit déplacé sur la plage , il n'a fait que son boulot, s'il ne s'était pas déplacé il aurait aussi été critiqué.

[Ilikeyourstyle]

Au fait tu n'aimes pas Obama parce qu'il est noir c'est çà ? Et pas un blanc ultrareligieux comme GWB ?

A cette remarque d'une grande finesse, je ne peux répondre que par une autre question : un c.. est-il moins c.. s'il est noir ?

Pour la finesse, tu repasseras. icon_mrgreen

[El Fredo]

mps, tu viens ici sans t'en rendre compte de résumer ton imbécilité qui me devient aussi inssuportable qu'elle l'est aux gauchistes du Forum. BP n'est pas victime d'un accident industriel, BP par une politique d'ingénierie de mauvaise qualité, de maintenance inadéquate, et de poursuite d'exploitation d'installation obsolète a causé un accident industriel ayant eu des conséquences significatives économiquement et environnementalement. Qu'Obama ait vilipendé BP, il n'a fait que son boulot. Qu'il se soit déplacé sur la plage , il n'a fait que son boulot, s'il ne s'était pas déplacé il aurait aussi été critiqué.

Bravo et merci camarade ! ;alco; ;bien;