Tout à fait, c'est la différence entre irradiation et contamination. L'irradiation est un phénomène temporaire et local, un peu comme un coup de soleil plus ou moins puissant. Un objet irradié temporairement ne devient pas radioactif (en tout cas pas plus qu'il ne l'est déjà), et une irradiation est localisée autour de sa source. D'ailleurs certains aliments sont stérilisés par irradiation. La contamination est la fixation de particules transportées par le vent, la pluie, etc. sur des objets qui n'ont pas été forcément irradiés (matériel, végétaux, animaux). Une contamination persiste et peut se propager dans la chaîne alimentaire. Sachant qu'un microgramme de plutonium est suffisant pour développer un cancer (demi-vie : 24.000 ans).
Dans le cas de la centrale de Fukushima il y a effectivement des sources importantes d'irradiation autour des réacteurs, qui ont empêché de lutter efficacement contre leur échauffement. Mais cette irradiation diminue rapidement avec la distance et ne met pas en danger les populations au-delà d'une certaine distance. En revanche la contamination est beaucoup plus préoccupante. Sans parler de l'iode et du césium déjà dégagés, la fusion partielle des réacteurs et les fuites des enceintes de confinement impliquent que des particules ont pu s'en échapper et contaminer l'environnement, de façon durable et sans limite de distance. Compte tenu de leur durée de vie, les particules de plutonium peuvent faire plusieurs fois le tour de la Terre avant de perdre leur potentiel létal.
Très violent séisme au Japon
Ouaip ...
Des dizaines de milliers d'années por décontamination naturelle ? Je vois qu'autour de Therbnobil, on vit pratiquement normalement et que des recherches (contestées il est vrai) démontreraient que cette contamination est bien moins longue que prévue, surtout si on cutive.
http://www.courrierinternational.com/ar ... les-terres…
On a vu d'autre part qu'il existe de nombreux points du globe où la radioactivité naturelle est très supérieure à celle autour de la centrale japonaise, et que tout le monde se porte bien, voire très bien.
en fait,ni vous ni moi n'en savons rien...
Des dizaines de milliers d'années por décontamination naturelle ? Je vois qu'autour de Therbnobil, on vit pratiquement normalement et que des recherches (contestées il est vrai) démontreraient que cette contamination est bien moins longue que prévue, surtout si on cutive.
http://www.courrierinternational.com/ar ... les-terres…
On a vu d'autre part qu'il existe de nombreux points du globe où la radioactivité naturelle est très supérieure à celle autour de la centrale japonaise, et que tout le monde se porte bien, voire très bien.
en fait,ni vous ni moi n'en savons rien...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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Bonjour,
Le taux d'iode radioactif dans l'eau de la côte qui borde la centrale aurait atteint un niveau qui laisse penser que l'étanchéité de certains réacteurs n'est plus assurée.
Le Japon a annoncé ce samedi avoir mesuré des niveaux d'iode radioactif 1.250 fois supérieurs à la norme légale en mer près de la centrale en péril de Fukushima, renforçant les craintes d'une rupture de l'étanchéité d'un ou plusieurs réacteurs. Cette forte concentration aggrave les risques de contamination alimentaire par les produits de la mer dont raffolent les Japonais. Vendredi, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a invité les Etats à "tirer des leçons" de la crise nucléaire en cours dans le nord-est du Japon. Quelques heures auparavant, le Premier ministre japonais Naoto Kan avait reconnu que l'évolution restait "imprévisible" à Fukushima Daiichi (N°1). Le nouveau relevé d'iode 131 a été effectué vendredi par la compagnie d'électricité gérant le site, Tokyo Electric Power (Tepco), et rendu public samedi par l'Agence japonaise de sûreté nucléaire. "Si vous buvez 50 centilitres d'eau courante avec cette concentration d'iode, vous atteignez d'un coup la limite annuelle que vous pouvez absorber. C'est un niveau relativement élevé", a expliqué un porte-parole de l'Agence de sûreté. Il a toutefois ajouté que, si la radioactivité relâchée dans l'océan se diluait avec les marées, la quantité absorbée par les algues et animaux marins pourrait être moindre. "En outre, la concentration d'iode se réduit de moitié tous les huit jours, donc lorsque les gens mangeront les produits de la mer, sa quantité aura probablement fortement diminué", a-t-il précisé. Tepco a néanmoins mesuré en outre une concentration presque 80 fois supérieure à la limite légale de césium 137, une substance radioactive dont la concentration ne se réduit de moitié que tous les 30 ans. Mardi, un taux d'iode avait été détecté à un niveau 126 fois supérieur à la limite fixée par le gouvernement dans l'océan Pacifique. Les pouvoirs publics nippons avaient alors annoncé un renforcement des contrôles sur les poissons et fruits de mer pêchés le long des côtes. Greenpeace va faire ses relevés L'organisation écologiste Greenpeace a annoncé samedi qu'elle allait effectuer des relevés de radioactivité en dehors de la zone d'exclusion de 20 km autour de la centrale. Depuis le début de la crise, "les autorités ont en permanence donné l'impression de sous-estimer à la fois les risques et l'étendue de la contamination radioactive", a affirmé l'ONG. Pour éviter une détérioration catastrophique de la situation à Fukushima, les techniciens, pompiers et militaires déployés sur place jour et nuit doivent absolument parvenir à faire baisser la température des réacteurs. Cela impose la remise en marche du circuit de refroidissement, mis hors service par le séisme et le tsunami qui ont frappé la région le 11 mars, y faisant 10.151 morts et 17.053 disparus selon un dernier bilan provisoire. Mais les opérations sont fréquemment entravées par de pics de radioactivité et des difficultés techniques, dans un danger permanent dû aux rayonnements. Tepco a indiqué samedi avoir découvert une nouvelle quantité d'eau fortement radioactive dans la centrale, faisant craindre un délai supplémentaire. "Une flaque d'eau fortement contaminée a été découverte au sous-sol du bâtiment de la turbine du réacteur numéro 1", a confirmé à l'AFP un responsable de l'Agence de sûreté nucléaire. "Même si les raisons exactes (de la présence de cette eau radioactive) restent à éclaircir, il se pourrait que de l'eau de la cuve du réacteur ait fui par des tuyaux ou des valves endommagés reliant (le réacteur) au bâtiment de la turbine", a ajouté ce responsable. De l'eau montant jusqu'à un mètre a également été découverte dans le sous-sol des bâtiments de la turbine des réacteurs 2 et 4, et des analyses sont actuellement effectuées pour vérifier si elle est polluée, a-t-il poursuivi. Trois ouvriers, chaussés seulement de bottines en caoutchouc, ont été contaminés jeudi par une flaque d'eau très fortement radioactive lors d'une intervention dans la turbine située derrière le réacteur 3. Deux ont dû être hospitalisés avec des brûlures aux pieds. Les opérations de refroidissement pourraient prendre encore au moins un mois, selon un responsable. A plus tard,
Le taux d'iode radioactif dans l'eau de la côte qui borde la centrale aurait atteint un niveau qui laisse penser que l'étanchéité de certains réacteurs n'est plus assurée.
Le Japon a annoncé ce samedi avoir mesuré des niveaux d'iode radioactif 1.250 fois supérieurs à la norme légale en mer près de la centrale en péril de Fukushima, renforçant les craintes d'une rupture de l'étanchéité d'un ou plusieurs réacteurs. Cette forte concentration aggrave les risques de contamination alimentaire par les produits de la mer dont raffolent les Japonais. Vendredi, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a invité les Etats à "tirer des leçons" de la crise nucléaire en cours dans le nord-est du Japon. Quelques heures auparavant, le Premier ministre japonais Naoto Kan avait reconnu que l'évolution restait "imprévisible" à Fukushima Daiichi (N°1). Le nouveau relevé d'iode 131 a été effectué vendredi par la compagnie d'électricité gérant le site, Tokyo Electric Power (Tepco), et rendu public samedi par l'Agence japonaise de sûreté nucléaire. "Si vous buvez 50 centilitres d'eau courante avec cette concentration d'iode, vous atteignez d'un coup la limite annuelle que vous pouvez absorber. C'est un niveau relativement élevé", a expliqué un porte-parole de l'Agence de sûreté. Il a toutefois ajouté que, si la radioactivité relâchée dans l'océan se diluait avec les marées, la quantité absorbée par les algues et animaux marins pourrait être moindre. "En outre, la concentration d'iode se réduit de moitié tous les huit jours, donc lorsque les gens mangeront les produits de la mer, sa quantité aura probablement fortement diminué", a-t-il précisé. Tepco a néanmoins mesuré en outre une concentration presque 80 fois supérieure à la limite légale de césium 137, une substance radioactive dont la concentration ne se réduit de moitié que tous les 30 ans. Mardi, un taux d'iode avait été détecté à un niveau 126 fois supérieur à la limite fixée par le gouvernement dans l'océan Pacifique. Les pouvoirs publics nippons avaient alors annoncé un renforcement des contrôles sur les poissons et fruits de mer pêchés le long des côtes. Greenpeace va faire ses relevés L'organisation écologiste Greenpeace a annoncé samedi qu'elle allait effectuer des relevés de radioactivité en dehors de la zone d'exclusion de 20 km autour de la centrale. Depuis le début de la crise, "les autorités ont en permanence donné l'impression de sous-estimer à la fois les risques et l'étendue de la contamination radioactive", a affirmé l'ONG. Pour éviter une détérioration catastrophique de la situation à Fukushima, les techniciens, pompiers et militaires déployés sur place jour et nuit doivent absolument parvenir à faire baisser la température des réacteurs. Cela impose la remise en marche du circuit de refroidissement, mis hors service par le séisme et le tsunami qui ont frappé la région le 11 mars, y faisant 10.151 morts et 17.053 disparus selon un dernier bilan provisoire. Mais les opérations sont fréquemment entravées par de pics de radioactivité et des difficultés techniques, dans un danger permanent dû aux rayonnements. Tepco a indiqué samedi avoir découvert une nouvelle quantité d'eau fortement radioactive dans la centrale, faisant craindre un délai supplémentaire. "Une flaque d'eau fortement contaminée a été découverte au sous-sol du bâtiment de la turbine du réacteur numéro 1", a confirmé à l'AFP un responsable de l'Agence de sûreté nucléaire. "Même si les raisons exactes (de la présence de cette eau radioactive) restent à éclaircir, il se pourrait que de l'eau de la cuve du réacteur ait fui par des tuyaux ou des valves endommagés reliant (le réacteur) au bâtiment de la turbine", a ajouté ce responsable. De l'eau montant jusqu'à un mètre a également été découverte dans le sous-sol des bâtiments de la turbine des réacteurs 2 et 4, et des analyses sont actuellement effectuées pour vérifier si elle est polluée, a-t-il poursuivi. Trois ouvriers, chaussés seulement de bottines en caoutchouc, ont été contaminés jeudi par une flaque d'eau très fortement radioactive lors d'une intervention dans la turbine située derrière le réacteur 3. Deux ont dû être hospitalisés avec des brûlures aux pieds. Les opérations de refroidissement pourraient prendre encore au moins un mois, selon un responsable. A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique
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Bonjour,
Après avoir hésité, puis renoncé, Nicolas Sarkozy a pris sa décision : il ira bien au Japon cette semaine pour témoigner la «solidarité» des Français au peuple japonais, en tant que président du G20. Le chef de l’Etat l’a confirmé ce lundi matin aux dirigeants UMP qu’il recevait à l’Elysée, selon plusieurs participants.
Il limitera sa visite à la capitale, Tokyo, où il rencontrera le Premier ministre, Naoto Kan, et la communauté française restée sur place malgré l’accident nucléaire de Fukushima. La seule hésitation porte désormais sur la date de cette visite, mercredi ou vendredi, c’est-à-dire avant ou après le séminaire du G20 sur les monnaies auquel il doit assister ce jeudi à Nankin, en Chine.
A plus tard,
Après avoir hésité, puis renoncé, Nicolas Sarkozy a pris sa décision : il ira bien au Japon cette semaine pour témoigner la «solidarité» des Français au peuple japonais, en tant que président du G20. Le chef de l’Etat l’a confirmé ce lundi matin aux dirigeants UMP qu’il recevait à l’Elysée, selon plusieurs participants.
Il limitera sa visite à la capitale, Tokyo, où il rencontrera le Premier ministre, Naoto Kan, et la communauté française restée sur place malgré l’accident nucléaire de Fukushima. La seule hésitation porte désormais sur la date de cette visite, mercredi ou vendredi, c’est-à-dire avant ou après le séminaire du G20 sur les monnaies auquel il doit assister ce jeudi à Nankin, en Chine.
A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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Pour la centrale : c'est un peu l'oeuf et la poule !
Certaines cuves semblant fissurées -ou des tuyaux abîmés, on n'ose pas relancer la circulation d'eau,de peur de créer une marée radioactive.
Mais tant qu'on n'a pas refroidi, difficile d'intervenir, ne serait-ce que pour vérifier.
Arrivée imminente des spécialistes français.
Pour Tokyo, déclaration hier soir du Délégué de l'Agence Internationale pour la Sûreté Nucléaire :la radioactivité y est nettement moindre qu'à Stokholm ... icon_confused
Certaines cuves semblant fissurées -ou des tuyaux abîmés, on n'ose pas relancer la circulation d'eau,de peur de créer une marée radioactive.
Mais tant qu'on n'a pas refroidi, difficile d'intervenir, ne serait-ce que pour vérifier.
Arrivée imminente des spécialistes français.
Pour Tokyo, déclaration hier soir du Délégué de l'Agence Internationale pour la Sûreté Nucléaire :la radioactivité y est nettement moindre qu'à Stokholm ... icon_confused
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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keserasera
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racaille a écrit :Je laisse le soin aux pro-nucléaires du forum de nous expliquer que tout va pour le mieux
Toujours aussi ... Bon. Qui t'a dit -parmi les pro-nucléaires du forum- que tout allait bien ?
On l'a peut-être dit mais pour la France continentale tout en réclamant bien sur les mesures de sécurité qu'impose la catastrophe japonaise.
On a dit aussi, mais ça t'est passé au-dessus de ton crâne d'oeuf, que nous étions loin des conditions sismiques du Japon... Car n'oublions pas qu'à l'origine on trouve un séisme et un tsunami dépassant les normes habituelles...
"je me suis souvent demandé et me le demande souvent encore, ce qui peut bien différencier une mauvaise bronchite d'une bonne" Pierre Dac
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Nombrilist
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"Car n'oublions pas qu'à l'origine on trouve un séisme et un tsunami dépassant les normes habituelles..."
Sauf qu'il faut penser en terme de risque séculaire et non pas annuel ou décennal. Et dans un siècle, ce genre de séisme ou de tsunami n'a plus rien d'inhabituel. Et même, statistiquement, ce qui serait anormal, c'est que ça n'arrive pas.
Sauf qu'il faut penser en terme de risque séculaire et non pas annuel ou décennal. Et dans un siècle, ce genre de séisme ou de tsunami n'a plus rien d'inhabituel. Et même, statistiquement, ce qui serait anormal, c'est que ça n'arrive pas.
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El Fredo
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- Parti Politique : En Marche (EM)
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- Contact :
Ce ne sont pas le séisme et le tsunami qui sont la source de la catastrophe de Fukushima, mais la panne du système de refroidissement. Après le tsunami le circuit principal (alimentation électrique) étant en panne, c'est le circuit auxiliaire qui a pris le relais, or il est tombé en rade de gasoil parce que les stocks étaient insuffisants...
Voici la leçon à retenir : pour provoquer une catastrophe nucléaire il suffit d'une panne du refroidissement, quelle qu'en soit la cause : gel des prises d'eau (centrale de St Laurent en 1987, l'armée ayant dû faire sauter la glace à l'explosif), crue (centrale du Blayais en 1999), feuilles mortes (centrale de Cruas en 2009), etc. Pas besoin de tsunami ou de séisme. Et bien malin qui pourrait prévoir toutes les causes potentielles de panne simple ou multiple, surtout quand EDF invoque des problèmes de coûts pour différer les travaux.
Voici la leçon à retenir : pour provoquer une catastrophe nucléaire il suffit d'une panne du refroidissement, quelle qu'en soit la cause : gel des prises d'eau (centrale de St Laurent en 1987, l'armée ayant dû faire sauter la glace à l'explosif), crue (centrale du Blayais en 1999), feuilles mortes (centrale de Cruas en 2009), etc. Pas besoin de tsunami ou de séisme. Et bien malin qui pourrait prévoir toutes les causes potentielles de panne simple ou multiple, surtout quand EDF invoque des problèmes de coûts pour différer les travaux.
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
Non,bien "orienté" !
Les difficultés que Fredo signale n'ont entraîné aucun problème sérieux. et s'il y en a au Japon,c'est bien parce que le tsunami a endomagé le système de refroidessement ou de stockage.
Entretemps, on pourrait renoncer à l'hydro-électrique en mémoire de Fréjus (123 morts et des villages totalement détruits); interdire le gaz 'Ghilenghien (23 morts et 132 mutilés graves), supprimer les chemins de fer )plus de 100 morts par an en Europe), renoncer au charbon (dégats miniers,coups de grizou, etc),interdire le vélo et la moto (un vrai cimetière), etc.
En comparaison, même le très grave accident du Japon n'a encore tué personne ...
Les difficultés que Fredo signale n'ont entraîné aucun problème sérieux. et s'il y en a au Japon,c'est bien parce que le tsunami a endomagé le système de refroidessement ou de stockage.
Entretemps, on pourrait renoncer à l'hydro-électrique en mémoire de Fréjus (123 morts et des villages totalement détruits); interdire le gaz 'Ghilenghien (23 morts et 132 mutilés graves), supprimer les chemins de fer )plus de 100 morts par an en Europe), renoncer au charbon (dégats miniers,coups de grizou, etc),interdire le vélo et la moto (un vrai cimetière), etc.
En comparaison, même le très grave accident du Japon n'a encore tué personne ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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Nombrilist
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Tchernobyl, à lui seul, 50 000 morts et 200 000 invalides. Et toujours des problèmes 25 ans après. Alors tes 123 morts, franchement...
"et s'il y en a au Japon,c'est bien parce que le tsunami a endomagé le système de refroidessement"
Exactement ce qu'a dit El Fredo. Le plus gros point faible d'une centrale nucléaire, c'est son système de refroidissement.
"et s'il y en a au Japon,c'est bien parce que le tsunami a endomagé le système de refroidessement"
Exactement ce qu'a dit El Fredo. Le plus gros point faible d'une centrale nucléaire, c'est son système de refroidissement.
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