Ue dictature qui ne dit pas son nom !Tunisie les heurts gagn

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Cobalt

Message non lu par Cobalt » 12 janv. 2011, 09:09:00

Tunisie : les heurts gagnent la capitale
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 12.01.11 | 07h39  •  Mis à jour le 12.01.11 | 07h48

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Des affrontements ont éclaté mardi soir pour la première fois dans une banlieue de Tunis. Des affrontements ont opposé dans la cité Ettadhamoun, à 15 km du centre de la capitale, des manifestants et les forces de l'ordre, ont indiqué à l'AFP des habitants. Un autobus a été incendié, des commerces et une banque saccagés. Un témoin indique que les manifestants à visage découvert ont barré la route qui conduit à Bizerte à hauteur de la cité populaire. La police a fait usage de gaz lacrymogène et des tirs de sommation ont été entendus.

Ces heurts, qui ont commencé après 18 heures et se sont poursuivis pendant deux heures, seraient les plus graves dans la banlieue de Tunis, où des manifestations ont été étouffées mardi. "Nous n'avons pas peur, nous n'avons pas peur, nous n'avons peur que de Dieu", scandait la foule, dont le gros s'est par la suite dispersé, la police pourchassant des groupuscules dans les ruelles avoisinantes.



Un mort dans les rues de Sidi Bouzid, le 10 janvier 2011.Reuters/STR






Ce nouvel accès de violence a éclaté peu après la publication d'un nouveau bilan officiel des morts depuis le début du mouvement qui fait état de trois nouvelles victimes. Le gouvernement a, en revanche, rejeté les estimations plus élevées émanant d'organisations de défense des droits de l'homme. "Nos chiffres disent 21 décès", a déclaré mardi lors d'un point de presse, le ministre tunisien de la communication Samir Laabidi. "Ceux qui ont parlé de 40 ou 50 morts doivent produire une liste nominative", a-t-il lancé, faisant état de dégâts matériels "considérables" sans fournir d'évaluation chiffrée. Le précédent bilan officiel, communiqué mardi à la mi-journée, faisait état de 18 morts.

La présidente de la Fédération internationale des ligues de droits de l'homme (FIDH), Souhayr Belhassen, avait assuré qu'au moins trente-cinq personnes ont trouvé la mort dans les émeutes. "Le chiffre de 35 morts s'appuie sur une liste nominative", avait-elle déclaré. Un peu plus tôt dans la journée, Sadok Mahmoudi, membre de la branche régionale de l'Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), avait évoqué une situation de "chaos" à Kasserine, principale ville du centre, et un bilan de plus de 50 morts les trois derniers jours.


Image
Affrontements entre jeunes manifestants et forces de l'ordre dans les rues de Regueb, en Tunisie, dimanche 9 janvier.AP/Abu Omar




Le mouvement de révolte sociale a débuté le 17 décembre après l'immolation par le feu d'un jeune marchand de rue de Sidi Bouzid, dans le centre-ouest, à 265 km de Tunis, qui protestait contre la saisie de sa marchandise par la police. Washington a de nouveau fait part mardi de sa préoccupation à propos d'informations selon lesquelles les forces de sécurité tunisiennes feraient un "usage excessif de la force" et Londres a appelé Tunis à résoudre la situation "pacifiquement". Des partis d'opposition ont exprimé leur déception mardi après le discours du président tunisien, jugé "en deçà des attentes", un parti radical appelant même à la démission du gouvernement.

On pense au moins une cinquantaine de mort,une police qui vise le coeur pour tuer,et la France qui ne dit rien !

Un soulèvement des peuples,la France,l'Angletterre,l'Irlande,l'Espagne c'est peut être une bonne chose puisque nous sommes tous sur le même bateau.
Modifié en dernier par Cobalt le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 12 janv. 2011, 09:46:00

La France refuse de "donner des leçons" à la Tunisie
LEMONDE.FR avec AFP | 11.01.11 | 10h54  •  Mis à jour le 11.01.11 | 18h30


Accusée de réagir bien mollement à la répression par le pouvoir des manifestations en Tunisie, la France a affirmé, mardi 11 janvier par la voix de sa ministre des affaires étrangères, refuser de se poser en "donneur de leçons". A l'Assemblée, sommée par l'opposition de s'expliquer, Michèle Alliot-Marie a expliqué : "Plutôt que de lancer des anathèmes, je crois que notre devoir est de faire une analyse sereine et objective de la situation."


La France, ancienne puissance coloniale, traditionnellement très prudente dans ses prises de position sur la Tunisie, s'était déjà limitée lundi à "déplorer les violences" qui ont fait en trois jours, selon les ONG, plus de trente-cinq morts. "On ne peut que déplorer qu'il puisse y avoir des violences qui concernent ces peuples amis", a dit Mme Alliot-Marie mardi après-midi, évoquant à la fois la Tunisie et l'Algérie, où des protestations ont également lieu contre la hausse des prix alimentaires.
"Notre premier message doit être celui de l'amitié" entre les peuples français et tunisien, et "on ne doit pas s'ériger en donneurs de leçons" face à une situation "complexe", a-t-elle martelé, tout en invitant les dirigeants à "mieux prendre en compte les attentes" des populations. Pour le gouvernement français, les émeutes en Tunisie sont avant tout dues à l'exaspération des jeunes qui ne trouvent pas d'emploi "en adéquation avec leur formation", a expliqué la ministre.

"SAVOIR-FAIRE FRANÇAIS"

La chef de la diplomatie française a même proposé à la Tunisie l'aide de Paris dans le maintien de l'ordre. "Aujourd'hui, la priorité face à cette situation doit aller à l'apaisement après des affrontements qui ont fait des morts. Un apaisement qui peut reposer sur des techniques de maintien de l'ordre (...) puisque nous avons des savoir-faire en la matière."
Le député socialiste Gaëtan Gorce et plusieurs autres membres de l'opposition ont exhorté l'exécutif français à se montrer plus ferme face au régime de Zine El-Abidine Ben Ali. "Il faut (...) que ce gouvernement se ressaisisse et s'exprime de manière forte, à la fois pour condamner les violences et pour apporter sa contribution à un processus de réforme indispensable", a-t-il dit dans l'hémicycle. "Sinon cela voudrait dire que vous restez enfermés dans une alternative fausse qui consisterait à dire qu'il n'y aurait pas d'alternative entre l'islamisme et des régimes autoritaires souvent corrompus", a-t-il poursuivi.

"BEN ALI, QUELQU'UN QUI EST SOUVENT MAL JUGÉ"

Plus tôt dans la journée, le ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, avait été le premier membre du gouvernement à s'exprimer. "Avant de juger un gouvernement étranger, mieux vaut bien connaître la situation sur le terrain et savoir exactement pour quelles raisons telle ou telle décision a été prise", a-t-il déclaré, mardi 11 janvier, sur Canal+.
"Je n'ai pas à qualifier le régime tunisien. Je suis français, je n'ai pas à juger de l'extérieur comme ça un gouvernement étranger, a ajouté Bruno Le Maire. Le président Ben Ali est quelqu'un qui est souvent mal jugé, [mais] il a fait beaucoup de choses. On peut critiquer après certains aspects, être toujours vigilant sur les droits de l'homme, mais c'est un pays qui a connu de vraies difficultés."
A l'opposé de ces déclarations, l'ancien porte-parole de l'UMP Dominique Paillé a estimé mardi que Nicolas Sarkozy devrait faire "des gestes" pour rappeler au président Ben Ali qu'il y a "un respect des droits fondamentaux à mettre en œuvre" dans son pays. Il s'agit "bien évidemment, sans s'ingérer dans les affaires intérieures de la Tunisie, de rappeler à tous nos alliés, quels qu'ils soient, que nous ne transigeons pas sur un certain nombre de ces valeurs", a expliqué M. Paillé, membre du Parti radical, sur LCI.

Autre intervention significative, celle du président du groupe d'amitié France-Tunisie au Sénat, le socialiste Jean-Pierre Sueur, qui a dénoncé dans un communiqué "la répression violente" contre les manifestants. "Il y a un moment où l'amitié doit se traduire par un langage de vérité", a-t-il expliqué, estimant en particulier que la lutte contre une éventuelle menace islamiste ne peut justifier des violations des libertés.
Modifié en dernier par Cobalt le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

Georges
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Message non lu par Georges » 12 janv. 2011, 12:29:00

C'est vrai que le gouvernement Français (parce qu'il ne faut pas mélanger la France et le gouvernement) refuse de donner des leçons au gouvernement tunisien, vu qu'il a toujours soutenu sa dictature.
Le président tunisien est un dictateur qui utilise sa fonction pour s'enrichir ainsi que sa famille. Le dictateur en place, pour calmer sa population, promet n'importe quoi comme 300 000 emploi en plus pour cette année; même en France nous serons incapable d'y arriver. Ce matin les manifs continuent et les morts par balle augmentent. L'armée réguliere se serait interposée entre la population et les forces spéciales. Pour le moment l'islamisme ne régne pas dans ce pays, mais l'action du dictateur risque de jeter la population dans les bras des Islamistes.
Modifié en dernier par Georges le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 12 janv. 2011, 12:39:00

Bien sûr ,le gouvernement les affaires et les intérêts des gouvernements français doivent être multiple pour qu'ils n'aient pas les coudés franches,encore un exemple de corruption sans doute.
Modifié en dernier par Cobalt le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

Invité

Message non lu par Invité » 12 janv. 2011, 12:41:00

Il faut faire quoi selon vous ?
Modifié en dernier par Invité le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

Georges
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Message non lu par Georges » 12 janv. 2011, 13:29:00

Anonymous a écrit :Il faut faire quoi selon vous ?
Que la France arrête de soutenir financiérement et militairement tous ces dictateurs qui dirigent les pays d'afrique, ce serait déjà un début.
Modifié en dernier par Georges le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 12 janv. 2011, 14:18:00

Absolument.
Modifié en dernier par Cobalt le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 13 janv. 2011, 09:01:00

L'indécence au pouvoir : MAM offre l'aide sécuritaire à la Tunisie
Par Pierre Haski | Rue89 | 12/01/2011 | 16H22


A ce niveau, on ne sait plus quel mot employer : connerie ? incompétence ? ignorance ? Comment Michèle Alliot-Marie, ministre des Affaires étrangères de la République, intervenant dans le cadre solennel de l'Assemblée nationale en lisant un texte écrit d'avance, a-t-elle pu proposer une coopération sécuritaire à la Tunisie au moment où les morts se comptent par dizaines ?
Invraisemblable ? Ecoutez-la donc, c'était dans le cadre de la séance des questions au gouvernement, mardi, en réponse à la question d'un député qui relevait l'« incohérence » entre la position française en faveur de la démocratie en Côte d'Ivoire, et son soutien « indéfectible à la dictature de M. Ben Ali ». La réponse de la ministre, après avoir « déploré » les violences :
« Nous proposons que le savoir-faire qui est reconnu dans le monde entier de nos forces de sécurité permette de régler des situations sécuritaires de ce type.
C'est la raison pour laquelle nous proposons aux deux pays [Algérieet Tunisie, ndlr], dans le cadre de nos coopérations, d'agir en ce sens pour que le droit de manifester puisse se faire en même temps que l'assurance de la sécurité. » (Voir la vidéo de BFM-TV)



Ainsi donc, tout ce que la France trouve à dire à propos de la tuerie qui se déroule depuis plusieurs jours en Tunisie face au mouvement de la jeunesse, c'est que techniquement, c'est pas parfait et que notre « savoir-faire » est à sa disposition.
Après coup, le Quai a dû juger ce texte -officiel- indécent

La déclaration est à ce point hallucinante qu'elle a été ratiboisée par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valéro, qui, mercredi, l'a pudiquement résumée de la sorte :
« Aujourd'hui, face à cette situation, la priorité doit aller à l'apaisement après des affrontements qui ont fait des morts. »

« Le ministre d'Etat a également rappelé que nous demandons “que le droit de manifester soit assuré de même que la sécurité.” »

Exit donc l'offre de partager cette « expertise » que le monde entier nous envie. L'indécence a dû sembler, a posteriori, trop grande, y compris au sein même du Quai d'Orsay, où, pourtant, la déclaration solennelle avait vu le jour.
Car la ministre ne s'est pas fait piéger au micro d'une radio ou par « l'Internet » : elle a lu un texte officiel, en réponse à une question posée à l'avance.
Une dictature ? « Tout à fait exagéré » pour Frédéric Mitterrand

Michèle Alliot-Marie va donc devoir incarner, pour longtemps, le cynisme de la France officielle face à la dictature de Ben Ali. Elle coiffe sur le poteau son collègue de la Culture, Frédéric Mitterrand, qui s'était bien placé, pourtant, en déclarant dimanche sur Canal + :
« Il y a une opposition politique mais qui ne s'exprime pas comme elle pourrait le faire en Europe. Mais dire que la Tunisie est une dictature univoque, comme on le fait si souvent, me semble tout à fait exagéré. »

Entre les « anathèmes » que Michèle Alliot-Marie ne veut pas prononcer, et la poursuite de cette complaisance vis-à-vis d'un régime qui fait tirer à balles réelles sur sa jeunesse, il y avait sans doute une attitude plus noble, plus respectueuse des Tunisiens, et une manière de dire le refus de ce qui se perpétue dans les villes tunisiennes que même la novlangue diplomatique permet.
De quoi regretter le silence de la France
Depuis plus de deux décennies, Jacques Chirac, puis Nicolas Sarkozy, mais aussi, disons-le, une partie de la gauche française, ont délibérément fermé les yeux devant un régime dont on vantait les succès économiques et la laïcité, en refusant d'en voir la face à peine cachée, la main-mise d'un clan familial sur l'économie du pays, les pratiques mafieuses au plus haut niveau, les impasses sociales aujourd'hui criantes, et la répression de toute contestation, notamment sur le Web.
Le roi est nu aujourd'hui, aussi bien à Tunis qu'à Paris. Il aura fallu le suicide d'un jeune de Sidi Bouzid pour que craque, non seulement la façade de la dictature tunisienne, mais aussi l'ampleur de ses complicités de ce côté-ci de la Méditerranée.
Le silence de la France officielle devenait pesant après plusieurs semaines de révolte, et surtout après le massacre de Kasserine. La manière dont ce silence a été rompu par la ministre d'Etat fait regretter le temps où Paris se taisait. Au moins, pouvait-on espérer qu'à défaut d'avoir le courage de l'exprimer, Paris avait au moins la compassion et la solidarité qu'est en droit d'attendre le peuple tunisien.

Aors que les USA exorte le président tunisien à calmer les choses la France soutient ce dictateur.
Modifié en dernier par Cobalt le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

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Message non lu par pwalagratter » 13 janv. 2011, 23:24:00

C'est clair que notre image de patrie des droits de l'homme a du plomb dans l'aile. MAM a même droit au premier prix pour le cynisme et le fayottage.
Pendant ce temps, des jeunes qui veulent juste un enseignement, un travail donc un avenir, se font descendre (et même pas des islamistes).

En revanche un point positif c'est l'initiative d' Anonymous. C'est important de voir arriver un nouveau contre-pouvoir. A force de multiplier les actions de soutien (ils sont intervenus pour Assange) ils vont finir par inventer la révolution pacifiste icon_biggrin  
Modifié en dernier par pwalagratter le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

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Message non lu par sarkonaute » 14 janv. 2011, 09:45:00

ceci dit, nous avons certainement des leçons de fermeté à prendre du pouvoir tunisien.
ils savent y faire avec leurs racailles émeutières.
Modifié en dernier par sarkonaute le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.
Tous ensemble pour un nouveau rêve bleu avec Nicolas Sarkozy en 2012

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Message non lu par Nombrilist » 14 janv. 2011, 11:19:00

Oui, ils tirent au fusil sur des gens qui ont faim et qui le disent. A leur façon, ils luttent donc contre la faim dans le monde.
Modifié en dernier par Nombrilist le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

Georges
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Message non lu par Georges » 14 janv. 2011, 19:58:00

sarkonaute a écrit :ceci dit, nous avons certainement des leçons de fermeté à prendre du pouvoir tunisien. ils savent y faire avec leurs racailles émeutières.
Avec le dictateur qui vient de fuire son pays, tu ne te sents pas un peu c.. avec ta critique des émeutiers, et ton encouragement à la dictature.
Modifié en dernier par Georges le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

Cobalt

Message non lu par Cobalt » 14 janv. 2011, 20:00:00

Cela dit j'entends dire aussi que la France aurait hésité à se prononcer de peur que s'installe une gouvernance islamiste et qu'encore ce régime serait une merveille à côté.
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Cobalt

Message non lu par Cobalt » 14 janv. 2011, 20:08:00

Si non,nous on commence quand ?
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Message non lu par Georges » 14 janv. 2011, 20:29:00

Ce qui vient de passer en Tunisie prouve que la rue est bien une force, une force qui peut renverser un gouvernement; et sarkonaute a raison la Tunisie vient de nous donner une leçon invision: invision: invision: invision:  

BRAVO au peuple tunisien ;alco; banane: banane: banane:
Modifié en dernier par Georges le 12 janv. 2011, 22:27:00, modifié 1 fois.

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