Mohamed, prénom le plus populaire en Grande-Bretagne
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La discrimination des individus [modifier]
Du point de vue du droit, la discrimination ne consiste pas à léser un groupe, mais un individu. Cet individu est dit victime d'une discrimination lorsqu'il est, dans une situation, traité différemment des autres sans motif légitime : « Une distinction ou une difference de traitement n'est une discrimination que quand elle est illicite »[8]. Là où devrait prévaloir une égalité entre individus, l'un d'entre eux est traité de manière différente (et négative) sur la base d'un ou plusieurs critères illégitimes. La discrimination est donc une violation du principe d'égalité[9].
La définition légale en France En France, l'article 225-1 du Code pénal définit une liste de critères qui entrent dans la constitution d'une discrimination :« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »
Du point de vue du droit, la discrimination ne consiste pas à léser un groupe, mais un individu. Cet individu est dit victime d'une discrimination lorsqu'il est, dans une situation, traité différemment des autres sans motif légitime : « Une distinction ou une difference de traitement n'est une discrimination que quand elle est illicite »[8]. Là où devrait prévaloir une égalité entre individus, l'un d'entre eux est traité de manière différente (et négative) sur la base d'un ou plusieurs critères illégitimes. La discrimination est donc une violation du principe d'égalité[9].
La définition légale en France En France, l'article 225-1 du Code pénal définit une liste de critères qui entrent dans la constitution d'une discrimination :« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »
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Ce n'est pas compliqué à comprendre. C'est révélateur d'un état d'esprit. Quand des parents donnent à leur gamin un prénom d'origine étrangère, ça veut dire que le sentiment d'appartenance au pays d'origine est plus fort que le sentiment d'appartenance à la France. Le gamin lui-même, avec un tel prénom, se sentira plus proche du pays d'origine que de la France.Nombrilist a écrit : Et donner le prénom d'enfants nés en France, c'est une discrimination ? En quoi cela ?
Il y a quelques décennies, les immigrés polonais, italiens, portugais, donnaient à leurs gamins des prénoms français. Aujourd'hui, les immigrés africains donnent à leurs gamins des prénoms non français. C'est un fait.
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Mes trois enfants ont des prénoms étrangers. Que peut-on en déduire ?johanono a écrit :Ce n'est pas compliqué à comprendre. C'est révélateur d'un état d'esprit. Quand des parents donnent à leur gamin un prénom d'origine étrangère, ça veut dire que le sentiment d'appartenance au pays d'origine est plus fort que le sentiment d'appartenance à la France. Le gamin lui-même, avec un tel prénom, se sentira plus proche du pays d'origine que de la France.
Et il y a toujours des descendants d'immigrés italiens, espagnols ou portugais qui donnent des prénoms de ces origines à leurs enfants (*). Que peut-on en déduire ? Bizarrement, pas de concert de protestation pour ceux-là. Pareil quand des français résidant à l'étranger donnent des prénoms français plutôt que locaux à leurs enfants. Aux USA, ça fait même plutôt classe.Il y a quelques décennies, les immigrés polonais, italiens, portugais, donnaient à leurs gamins des prénoms français. Aujourd'hui, les immigrés africains donnent à leurs gamins des prénoms non français. C'est un fait.
Sans compter tous les "souchois" qui donnent des prénoms étrangers, voire carrément inventés. Il faut reconnaître que globalement les prénoms "français" sont en perte de vitesse. On ne va tout de même pas demander aux immigrés de prendre le relais.
Calmons-nous un peu quand même, ce ne sont que des prénoms. Si vous avez des enfants vous devez parfaitement comprendre la difficulté à leur choisir des prénoms : mode, influences familiales (utilisation du nom des grands-parents par exemple), religieuses (même pour les non pratiquants), choix restreint (ne pas choisir un prénom déjà utilisé par des proches, des amis, des cousins...). Et puis ça n'est pas parce qu'on prénomme son fils Mohamed qu'on est islamiste ou qu'il deviendra terroriste chez Al Qaeda.
(*) Cf la liste :
A part ça, Farébersviller n'est pas un village mais une petite ville de 6000 habitants sise au coeur du bassin houiller lorrain, à proximité de Freyming-Merlebach.27 novembre 2007 Giuliano Branca
26 mars 2008 Graziano Olla
01 mai 2008 Giulia Todesco
If the radiance of a thousand suns were to burst into the sky, that would be like the splendor of the Mighty One— I am become Death, the shatterer of Worlds.
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Ça ne change rien, c'est très courant. Aux USA par exemple il y a beaucoup de citoyens d'origine française ayant des prénoms français, même s'ils américanisent souvent leur prénom dans le langage usuel. Par exemple Olivier Sarkozy, demi-frère de Notre Président, se fait couramment prénommer Oliver.FIFE a écrit :Là, tu parles de Français résidant à l'étranger... pas de Français ayant pris la nationalité du pays.... ça n'a rien à voir.
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Tout à fait d'accord, en règle générale. J'ai eu une petite aide ménagère latino, qui attedait un bébé. <nous avons recherché sur Internet la liste des prénoms hispaniques, et sélectionné ceux qui étaient similaires en français. Elle a choisi Nicolas. Ce gosse sera toujours à l'aise, où qu'il fasse sa vie.Ce n'est pas compliqué à comprendre. C'est révélateur d'un état d'esprit. Quand des parents donnent à leur gamin un prénom d'origine étrangère, ça veut dire que le sentiment d'appartenance au pays d'origine est plus fort que le sentiment d'appartenance à la France. Le gamin lui-même, avec un tel prénom, se sentira plus proche du pays d'origine que de la France.
Cependant, dans le cas des musulmans, ils doivent prendre un prénom coranique, et là, la liste offre peu de bivalences.
http://www.prenom-musulman.com/
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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