L'Ecosse, le Pays de Galles et Londres suivent avec intérêt cette idée, et demanderaient son application si l'Irlande du Nord l'obtient.Il prévoit aussi d’honorer l’engagement d’éviter de rétablir une « frontière dure », avec des infrastructures douanières, à la frontière avec l’Irlande.
Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Après le NHS, encore un mensonge des Brexiters.
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Bon, pour l'instant on ne sait pas encore si ce sera un Brexit dur ou un soft Brexit. Difficile par conséquent de faire des prédictions.
Je me bornerai à faire un constat et une prédiction qui sera vérifiable d'ici un an ou deux. On peut prendre les paris.
Le constat, c'est que la victoire du Brexit au référendum n'a pas eu de conséquences catastrophiques contrairement à ce qu'annoncaient certains.
Le pari, c'est que le Brexit, qu'il soit dur ou doux, n'aura pas de conséquences catastrophiques non plus. On se donne rendez-vous en 2020 ?
Je me bornerai à faire un constat et une prédiction qui sera vérifiable d'ici un an ou deux. On peut prendre les paris.
Le constat, c'est que la victoire du Brexit au référendum n'a pas eu de conséquences catastrophiques contrairement à ce qu'annoncaient certains.
Le pari, c'est que le Brexit, qu'il soit dur ou doux, n'aura pas de conséquences catastrophiques non plus. On se donne rendez-vous en 2020 ?
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
A quelques mois de l'échéance on ne sait toujours rien du statut de la frontière irlandaise, des procédures qui s'appliqueront aux échanges commerciaux, ou du statut légal des résidents européens, mais à part ça tout va bien, on n'est absolument pas dans l'improvisation. Une chaîne logistique ça s'organise pas du jour au lendemain.
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Ça va bien se passer.
How Brexit has already begun damaging Britain's economy
10 sept. 2018, 13:54
Researchers warn of prolonged period in which 'UK manufacturers risk being cut out of large areas of international trade'
A major study has revealed how British manufacturers that boost UK exports by £52bn a year have already suffered a major loss in both business and investment as a direct consequence of Brexit.
The survey of around one thousand companies exporting industrial products found Brexit meant many have already seen export sales fall, some by up to 30 per cent.
A sizeable chunk of the companies surveyed have indicated that investment had fallen as a result of the UK’s plan to quit the European Union, while others said they are bracing themselves for a shortage of skilled workers.
Stockpiling will make post-Brexit mini recession ‘almost inevitable’
The report, based on research carried out by the University of Sussex, delivers a chilling warning that companies currently in a supply chain or on a tender list with EU-based companies will likely lose contracts as a direct result of Brexit.
Professor Alan Winters of the university’s UK Trade Policy Observatory said: “Our research reveals that Brexit is already impacting British exports.
“In the event of a no-deal exit from the European Union, Britain’s trade with the EU will be badly hit, hundreds of thousands of jobs will be at risk and real wages are likely to be cut.”
It comes just days before the government prepares to release its second set of documents aiming to convince concerned business chiefs that it is adequately preparing for a no-deal Brexit.
The survey was carried out by the University of Sussex on behalf of an alliance of 13 major UK trade bodies representing electrical, automation, laboratory, machine tool making, catering, plastics, lighting, communications and other equipment manufacturers.
The thousand UK companies represented by the 13 trade associations – making up, in value terms, a fifth of all UK manufactured goods exporters – employ 1.1 million workers and generate £52bn worth of UK exports per year.
But the survey showed almost 30 per cent of those export firms who were able to provide data have already lost business directly as a consequence of Brexit – and a third have already experienced a Brexit-driven fall in investment.
Some 22 per cent of them have already lost up to 10 per cent of their export trade as a direct result of Brexit, the survey showed, and a further 6 per cent have lost between 10 and 30 per cent of their export sales.
Taxpayers will have to foot some of the bill for stockpiling medicines in case of no deal Brexit, says Matt Hancock
What’s more, the survey data suggests that an even higher number of firms – more than 300 – have seen investment in their companies decline. Those reporting Brexit-driven falls in investment were 20 times the number that reported Brexit-driven increases in investment.
The 13 UK trade associations’ joint Brexit research task force, known as Euris, is chaired by Dr Howard Porter, who said: “Our industry needs clarity and a withdrawal agreement confirmed with the European Commission in the autumn.
“As this report and our member survey clearly show, further delays and the risk of no-deal will result in significant long-term damage to the UK manufacturing sector.”
Euris is particularly worried that rules of origin regulations in current and future free trade agreements could substantially impact British industry after Brexit – because UK-originating goods will no longer be considered as being of EU origin.
“Regardless of what is agreed, UK businesses seeking to export will be involved in a much more complex system than has ever applied previously,” the report warns.
The report notes that “Those UK manufacturers who are in supply or value chains with companies based in EU27 states will likely find that they lose contracts and are dropped from tender lists as their customers or corporate groups seek to preserve their ability to certify the end product as being of EU origin.”
It explains this is because any UK content may cause the end product to lose the preferential treatment in overseas markets granted to EU made goods.
(...)
Article complet sur https://www.independent.co.uk/news/uk/p ... 31211.html
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
L'article dit que le Brexit a déjà un impact négatif sur les exportations. Or la balance commerciale du RU, qui est dans le rouge depuis au moins 20 ans, s'est légèrement redressée depuis 2016.
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Là on parle du secteur industriel.
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Je pense qu'il faut plutôt attendre 2025 voire 2030.albert a écrit : ↑08 sept. 2018, 10:54:03Bon, pour l'instant on ne sait pas encore si ce sera un Brexit dur ou un soft Brexit. Difficile par conséquent de faire des prédictions.
Je me bornerai à faire un constat et une prédiction qui sera vérifiable d'ici un an ou deux. On peut prendre les paris.
Le constat, c'est que la victoire du Brexit au référendum n'a pas eu de conséquences catastrophiques contrairement à ce qu'annoncaient certains.
Le pari, c'est que le Brexit, qu'il soit dur ou doux, n'aura pas de conséquences catastrophiques non plus. On se donne rendez-vous en 2020 ?
La décision de déplacer ses centres d'activités est toujours une décision lourde à prendre pour une entreprise qui par ailleurs ne peut préjuger de la situation finale.
Par ailleurs les barrières douanières prendront probablement beaucoup de temps à se mettre en place. Puis les consommateurs anglais ou de l'UE modifieront peut-être leurs habitudes de consommation...
Par ailleurs on peut compter sur le RU pour faire durer les choses (on imagine déjà un report de l'échéance)... Par ailleurs le temps travaille pour le RU pour la négociation : eux seront seul et maître de leurs décisions en face ils seront 27 plus ou moins d'accords. Comptons par ailleurs sur le RU pour utiliser sa diplomatie expérimentée pour diviser les acteurs du continent comme elle le fait depuis 4 siècles...
Le RU est vraiment le pays le plus armé (monnaie différente, diplomatie au top, langue internationale, poids économique, lien particulier avec les USA, Commonwealth...) pour pouvoir quitter l'UE.
Si pour eux cela se passe mal, les autres pays devraient renoncer à sortir de l'UE sauf à imaginer une explosion de l'UE suite à la volonté de l'Allemagne de la quitter.
Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Au contraire, les contrôles douaniers se mettront en place très vite. C’est une question existentielle pour l’UE.
Le temps travaille pour le RU? C’est exactement l’inverse. Ce n’est pas par hasard si les britanniques parlent de ‘cliff edge’ (le bord de la falaise). Il y en a un fin mars 2019. Il y en aura un autre à la fin de la phase de transition (décembre 2020 en théorie), si phase de transition il y a.Par ailleurs on peut compter sur le RU pour faire durer les choses (on imagine déjà un report de l'échéance)... Par ailleurs le temps travaille pour le RU pour la négociation : eux seront seul et maître de leurs décisions en face ils seront 27 plus ou moins d'accords.
Tous les observateurs de la chose ont pu remarqué que la classe politique britannique est extrêmement divisée, au point d’être quasiment incapable de décider de quoi que ce soit (Chequers 15 mois après l’article 50, c’est complètement ridicule) alors que les 27 sont relativement unis. Il y a de bonnes raisons à cela, et ça ne va pas changer.Comptons par ailleurs sur le RU pour utiliser sa diplomatie expérimentée pour diviser les acteurs du continent comme elle le fait depuis 4 siècles...
C’est vrai que le RU est le mieux ‘armé’ pour quitter l’UE. Et ça ne se passe pas bien pour le RU.Le RU est vraiment le pays le plus armé (monnaie différente, diplomatie au top, langue internationale, poids économique, lien particulier avec les USA, Commonwealth...) pour pouvoir quitter l'UE. Si pour eux cela se passe mal, les autres pays devraient renoncer à sortir de l'UE sauf à imaginer une explosion de l'UE suite à la volonté de l'Allemagne de la quitter.
Dieu est mort. Marx est mort. Et moi-même je ne me sens pas très bien ... (Woody Allen)
Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Encore un très bon speech de l’ex-ambassadeur du RU auprès de l’UE, Ivan Rogers:
http://www.britishirishchamber.com/2018 ... la-dinner/
http://www.britishirishchamber.com/2018 ... la-dinner/
It is also genuinely peculiar that those people whose strongest case against the UK’s membership has always resided in saying that the Union’s deepening integration had taken hold in every nook and cranny of UK life, primarily via the inevitably huge legislative programme entailed by any supranational Single Market, should then seem surprised that taking oneself deliberately out of the Single Market should entail the completely automatic re-erection of barriers to trade that had only been dismantled via that legislation.
I stress “automatic”. The EU’s position is not wilful, vengeful or a fresh voluntary decision. The barriers resume because we British have chosen that they should.
That is what Brexit means: Brexit.
And for a services-rich economy like the UK, as anyone who has conducted trade negotiations knows, liberalisation of trade in services cross border is much tougher and more complex than liberalising goods trade. Which is why the big strides have entailed precisely the sort of regional integration – with an inevitable political and juridical dimension – in which the EU has pioneered progress.
Is the Single Market perfect or complete? Of course not.
However, leaving the Single Market entails making cross border trade with its former partners within it much more difficult, and will diminish not increase trade flows. One cannot avoid that. One should not mislead the public by trying to suggest otherwise.
And the EU is right to be saying that, without meeting the obligations, there cannot be the same rights. That is the legal set up we indeed helped create. UK politicians decrying this as “legalism” are frankly not really serious about what any deep cross border trade liberalisation must entail.
No FTA on the planet is remotely like the Single Market. If you want to leave the Single Market because you can’t accept the jurisdiction of a “foreign” Court, and enforcement action taken by a foreign executive, that’s fine and entirely legitimate. But then don’t pretend that the trade you end up with with former partners will be at the same level on the same terms. It will not. Nowhere near. And on services, the difference will be radical.
Dieu est mort. Marx est mort. Et moi-même je ne me sens pas très bien ... (Woody Allen)
Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
J'espère que vous ayez raison et que l'UE réussira à sauvegarder ses intérêts dans la négociation avec le RU mais je demeure pessimiste.Incognito a écrit : ↑16 sept. 2018, 12:15:58Au contraire, les contrôles douaniers se mettront en place très vite. C’est une question existentielle pour l’UE.
Le temps travaille pour le RU? C’est exactement l’inverse. Ce n’est pas par hasard si les britanniques parlent de ‘cliff edge’ (le bord de la falaise). Il y en a un fin mars 2019. Il y en aura un autre à la fin de la phase de transition (décembre 2020 en théorie), si phase de transition il y a.Par ailleurs on peut compter sur le RU pour faire durer les choses (on imagine déjà un report de l'échéance)... Par ailleurs le temps travaille pour le RU pour la négociation : eux seront seul et maître de leurs décisions en face ils seront 27 plus ou moins d'accords.
Tous les observateurs de la chose ont pu remarqué que la classe politique britannique est extrêmement divisée, au point d’être quasiment incapable de décider de quoi que ce soit (Chequers 15 mois après l’article 50, c’est complètement ridicule) alors que les 27 sont relativement unis. Il y a de bonnes raisons à cela, et ça ne va pas changer.Comptons par ailleurs sur le RU pour utiliser sa diplomatie expérimentée pour diviser les acteurs du continent comme elle le fait depuis 4 siècles...
C’est vrai que le RU est le mieux ‘armé’ pour quitter l’UE. Et ça ne se passe pas bien pour le RU.Le RU est vraiment le pays le plus armé (monnaie différente, diplomatie au top, langue internationale, poids économique, lien particulier avec les USA, Commonwealth...) pour pouvoir quitter l'UE. Si pour eux cela se passe mal, les autres pays devraient renoncer à sortir de l'UE sauf à imaginer une explosion de l'UE suite à la volonté de l'Allemagne de la quitter.
Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Theresa May répète que son plan Chequers est la seule alternative à une sortie sans accord.
Le fait est qu'elle a fait le maximum de concessions acceptables par l'opinion britannique et par son camp. Elle ne peut pas aller plus loin.
De l'autre côté, l'UE répète qu'il n'y a que 2 possibilités : soit le maintien dans le marché unique, soit un accord de libre-échange.
Les positions sont donc irréconciliables et il est de toute façon trop tard pour négocier un accord de libre-échange d'ici mars 2019.
Les marges de négociations étant très ténues et le temps très court, la possibilité d'un No Deal devient de plus en plus vraisemblable.
Il est toujours possible de se donner du temps en se donnant une période de transition pendant laquelle le RU ne serait plus dans l'UE tout en y étant sans y être.... Mais si l'UE maintient ses lignes rouges, ce répit ne servira absolument à rien, sinon à mieux se préparer à un Brexit dur.
Le fait est qu'elle a fait le maximum de concessions acceptables par l'opinion britannique et par son camp. Elle ne peut pas aller plus loin.
De l'autre côté, l'UE répète qu'il n'y a que 2 possibilités : soit le maintien dans le marché unique, soit un accord de libre-échange.
Les positions sont donc irréconciliables et il est de toute façon trop tard pour négocier un accord de libre-échange d'ici mars 2019.
Les marges de négociations étant très ténues et le temps très court, la possibilité d'un No Deal devient de plus en plus vraisemblable.
Il est toujours possible de se donner du temps en se donnant une période de transition pendant laquelle le RU ne serait plus dans l'UE tout en y étant sans y être.... Mais si l'UE maintient ses lignes rouges, ce répit ne servira absolument à rien, sinon à mieux se préparer à un Brexit dur.
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Les dirigeants européens sont dans le déni et s'imaginent encore, à quelques mois de l'échéance, que le RU pourrait revenir sur sa décision de quitter l'UE.Brexit: des dirigeants européens pour un second référendum
Les partisans d'un second référendum sur le Brexit ont reçu un soutien inattendu jeudi de deux dirigeants européens qui ont plaidé pour une nouvelle consultation dans l'espoir d'un retour en arrière.
Le Premier ministre maltais Joseph Muscat a même affirmé sur la BBC qu'il y avait un soutien "presque unanime" des dirigeants des pays de l'Union européenne pour l'organisation d'un tel référendum, après celui de juin 2016 ayant décidé la sortie du Royaume-Uni de l'UE par 52% des voix.
"Il y a un point de vue unanime, ou presque unanime autour de la table, selon lequel nous aimerions que le presque impossible se produise, que le Royaume-Uni tienne un autre référendum", a dit Joseph Muscat.
(...)
La Première ministre britannique a d'ailleurs de nouveau exclu catégoriquement cette possibilité.
(...)
Article complet sur https://www.romandie.com/news/955211.rom
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
Nouvelle sans intérêt particulier.
La nouvelle importante du jour, c’est que les 27 ont officiellement enterré Chequers.
La nouvelle importante du jour, c’est que les 27 ont officiellement enterré Chequers.
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Re: Grande-Bretagne : Theresa May parvient à imposer le « soft Brexit »
L'attitude des dirigeants de l'UE est révélatrice de leur stratégie de négociation, ou devrait-on plutôt dire de non négociation puisqu'ils ne proposent rien et refusent tout. Ils espèrent que le RU va renoncer au Brexit au dernier moment, ce qui les conduit à se montrer intransigeants pour obtenir une capitulation. C'est ce qu'ils ont fait avec succès en 2015 avec la Grèce. Mais si cette fois ça ne marche pas, ils vont se tirer une balle dans le pied en poussant le RU vers un Brexit dur qui n'est pas dans leur intérêt puisque l'UE a un excédent commercial important avec le RU.
L'UE refuse Chequers, soit. Ce n'est pas une surprise. Mais la messe n'est pas encore dite puisque d'autres réunions sont prévues.
L'UE refuse Chequers, soit. Ce n'est pas une surprise. Mais la messe n'est pas encore dite puisque d'autres réunions sont prévues.
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