Cheshire cat a écrit : ↑18 sept. 2017, 21:53:26
Baltorupec a écrit : ↑17 sept. 2017, 15:27:07
Jeff Van Planet a écrit : ↑17 sept. 2017, 15:20:27
<<Qu'est-ce que tu conseilles au birman>> et là encore une fois tu montres ton vrai visage: tu exclus les birmans d'être biramns. t'as compris la phrase?
J'ai fait une correction orthographique. Certes, mauvaise formulation, mais tout de même qu'est-ce que tu conseilles aux birmans non musulmans ? Finir comme les hindous au Pakistan ? Les bouddhistes en Afghanistan ? Les minorités religieuses en Indonésie ?
Selon vous il y aurait de bonnes et de mauvaises minorités ?
Selon quels critères ?
Oui.
Pour être très clair, je pense qu'un individu doit être considéré individuellement, selon et seulement selon ses actes les plus concrets.
Maintenant quand l'on considère une minorité, on peut observer différentes récurrences d'actes. Si un groupe a une récurrence d'acte misogyne, de violences sexuelles ou non plus élevés, oui, il y a des minorités préférables à d'autre. Du point de vue de la justice et des jugements sur une personne, il vaut mieux s'en tenir à ce que je dis plus haut, considérer la personne uniquement sur ses actes individuels.
Quand l'on considère qu'un groupe vénère un bouquin qui considère que les femmes devraient obéir systématiquement à leur mari et que leur mari est en droit de les frapper sinon, qu'il peut disposer librement sexuellement de ses femmes et de ses captives, que les femmes devraient être considérés comme la moitié d'un homme lors d'un héritage, que la violence est tolérable quand il s'agit de convertir, et même encouragée, que ces personnes considèrent comme la personne la plus sainte du monde et de l'histoire un homme qui a fait égorgé des prisonniers de guerre et réduit en esclavage leurs femmes et enfants pour les revendre ensuite, je pense que l'on peut légitimement s'inquiéter du futur et de la capacité sur le long terme à pouvoir vivre en paix avec des personnes qui considère ainsi de telles horreurs.
Dire que les djihadistes sont des déviants est faux, leur interprétation du coran et des hadiths est loin d'être iraisonnable, en fait il s'agit d'une interprétation de type "le texte veut dire ce qu'il veut dire".
On parle souvent d'interprétation, mais comment interpréter un texte ou l'on déclare que si un mari craint la désobéissance d'une femme, il peut la frapper ?
Alors certains musulmans déclarent que dans ce contexte frapper, voudrait plus dire secouer moralement et que la traduction est à mettre en cause. Arguments qui tombe en miettes quand le même verbe est utilisé dans le même bouquin pour parler de frapper avec un bâton ou frapper aux cou et aux poignets, il faudra m'expliquer comment on peut frapper moralement avec un bâton ou au cou et aux poignets.
De même, il faudra m'expliquer qu'est ce qu'il y a d'interprétable dans :
“ Dieu vous recommande [awsâ – yûsîkum] quant à vos enfants : pour le garçon l’équivalent de la part des deux filles. S’il n’y a que des femmes, au moins deux, alors à elles les deux tiers de ce qu’il a laissé. S’il n’y a qu’une femme, alors à elle la moitié. Quant à ses deux parents, à chacun d’entre eux le sixième de ce qu’il aura laissé s’il avait des enfants. S’il n’avait pas d’enfants et qu’héritent [waratha] de lui ses deux parents, à sa mère le tiers. Dans le cas où il avait des frères, à sa mère le sixième. Ceci après qu’aient été réglés le legs testamentaire [wasyya] qu’il avait testé ou une dette.
De vos parents ou de vos enfants, vous ne savez point ceux qui seront le plus à même de vous être utiles.
Attribution de Dieu ; certes, Dieu est Savant et Sage.” S4.V11.
Ceci est tiré du coran, cité d'un article publié par le docteur en islam Al Ajami.
“Tout ce que tu peux régler pacifiquement, n’essaie pas de le régler par une guerre ou un procès.” Jules Mazarin