Venezuela : le chavisme sur la sellette
Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
c'est un fait reconnu que chavez a diminué les écarts entre riches et pauvres
http://lexpansion.lexpress.fr/actualite ... 85218.html
après tout n'est pas parfait
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après tout n'est pas parfait
- Jeff Van Planet
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Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
je cite: <<Près de la moitié de la population vivait sous le seuil de pauvreté en 1999, moins d'un quart aujourd'hui. La pauvreté extrême a été divisée par deux (de 21,7% à 10,7%). >>
Est considéré comme pauvre toute personne ayant un revenu moindre que 40% du revenu médian, si ce dernier diminue le taux de pauvreté diminue mécaniquement aussi^^
par contre il faut reconnaitre que Chavez à mis en place des soins gratuits(quand il y à médicaments) et d'autre jolie choses "gratuites", mais le revers de la médaille est horrible: pénuries de biens y compris de première nécessité, inflation monstre contrôle des changes contrôle des frontières(importations/exportation).
Est considéré comme pauvre toute personne ayant un revenu moindre que 40% du revenu médian, si ce dernier diminue le taux de pauvreté diminue mécaniquement aussi^^
par contre il faut reconnaitre que Chavez à mis en place des soins gratuits(quand il y à médicaments) et d'autre jolie choses "gratuites", mais le revers de la médaille est horrible: pénuries de biens y compris de première nécessité, inflation monstre contrôle des changes contrôle des frontières(importations/exportation).
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
J.Saramago
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Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Bonjour,
Des dizaines de milliers de manifestants ont rempli l'avenue Francisco de Miranda à Caracas, samedi 22 mars, à l'appel de Leopoldo Lopez, le dirigeant de l'opposition détenu depuis le 18 février dans une prison militaire. Partant de cinq points de rendez-vous, les protestataires ont convergé jusqu'au quartier huppé de Chacaito.
La séparation entre l'Est résidentiel et l'Ouest populaire de Caracas est souvent présentée comme le reflet d'un pays coupé en deux. Cependant, ce samedi matin, une soixantaine d'opposants sortent du métro de la place Venezuela, où se rassemblaient les partisans de l'ancien président Hugo Chavez. « Qui sommes-nous ?, crient les premiers, ceux de l'Ouest. Que voulons-nous ? La liberté ! »
Surpris par l'irruption du groupe adverse, des chavistes ont à peine le temps de siffler, tandis que la plupart s'abstiennent de toute réaction. Le climat est pourtant tendu depuis le début février : on compte trente-trois morts au cours de manifestations réprimées avec brutalité.
(...)
Dans une lettre ouverte envoyée de son cachot et lue devant la foule rassemblée à Caracas, Leopoldo Lopez, lui aussi, place la barre très haut : il demande à M. Maduro de renoncer au pouvoir et de permettre ainsi aux chavistes et aux opposants d'entamer, ensemble, une transition vers « une véritable démocratie ».
Tout le monde dans l'opposition ne partage pas cet espoir d'un dénouement rapide de la crise. « Le gouvernement est plus fragile qu'il n'en a l'air, mais sa chute n'est pas imminente », estime Guillermo Ramon Aveledo, le stratège de la Table de l'unité démocratique (MUD). A son avis, les six semaines de fièvre que vient de vivre le Venezuela ont aggravé la polarisation entre les deux moitiés du pays, même si beaucoup de chavistes ne sont pas d'accord avec la répression.
Les manifestations de samedi ont renforcé l'opposition, d'autant que la concentration organisée au même moment par le pouvoir a tourné au désavantage des chavistes. Depuis février, le gouvernement peine à mobiliser ses partisans. A en croire certains observateurs, parce que la pénurie de ressources touche la logistique nécessaire à l'organisation des grandes messes affectionnées par feu le président Chavez.
(...)
L'intégralité de cet article à lire sur Le Monde.fr
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique
Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Excellent courrier au médiateur du Monde à propos sa désinformation pathologique sur l'actualité vénézuélienne !
--> http://www.legrandsoir.info/courrier-au ... zuela.html
A lire avec délectation. Ca serait même marrant si ce n'était pas si grave de se foutre à ce point de la g..... du lectorat. Enfin... la grande question : qui lit encore le Monde ?
--> http://www.legrandsoir.info/courrier-au ... zuela.html
A lire avec délectation. Ca serait même marrant si ce n'était pas si grave de se foutre à ce point de la g..... du lectorat. Enfin... la grande question : qui lit encore le Monde ?
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Après avoir lu l'article en lien au dessus, je n'ai pas compris les raisons de la crise économique dramatique au Venezuela que l'auteur ne nie d'ailleurs pas. Ces sabotages économiques, qui en est responsable? C'est la CIA, l'OTAN, les USA? Dans cet article qui a l'air bien documenté et précis dans sa défense sur les dérapages s de l'adversaire, on aurait aimé autant de rigueur dans les accusations!
"Tandis que l'État existe, pas de liberté ; quand règnera la liberté, il n'y aura plus d'État." - Lénine
"Theoretically, planning may be good. But nobody has ever figured out the cause of government stupidity." - Richard Feynman
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Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
ça fait un moment que je ne lis plus l'immonde !
Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Albedo » 28 Avr 2014, 11:14:38 a écrit :Après avoir lu l'article en lien au dessus, je n'ai pas compris les raisons de la crise économique dramatique au Venezuela que l'auteur ne nie d'ailleurs pas. Ces sabotages économiques, qui en est responsable? C'est la CIA, l'OTAN, les USA? Dans cet article qui a l'air bien documenté et précis dans sa défense sur les dérapages s de l'adversaire, on aurait aimé autant de rigueur dans les accusations!
Et si c'était simplement le fait de disposer d'une rente colossale sans avoir à faire le moindre effort.
Quand on peut gagner des masses de frics sans rien avoir a faire, n'importe quel cornichon peut être à la tête de l'Etat.
Le fait de réduire l'écart ente les riches et les pauvres est aussi une action facile dès lorsque l'on n'a pas à gagner l'argent dans le cadre d'une lutte commerciale basée sur l'innovation, le développement et la production. Les pays pétroliers n'ont que se baisser pour ramasser l'argent, et même faire se baisser les autres pour ramasser leur argent...
Je ne vois même pas pourquoi dans ces pays il y a encore des riches et des pauvres....
Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
A cause du socialisme peut-être? C'est soit ça, soit la CIA ou l'OTAN icon_mrgreen
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Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Albedo » 29 Avr 2014, 11:10:54 a écrit :A cause du socialisme peut-être? C'est soit ça, soit la CIA ou l'OTAN icon_mrgreen
Dès lors que l'argent est obtenu sans aucun effort ni compétence particulière, on peut envisager de le distribuer à tous sans inégalité et sans pénaliser qui que ce soit.
Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Le FMI ordonne à Caracas de lui fournir des données fiables sous peine d'expulsion
Cela sent le pâté pour Maduro.
Cela sent le pâté pour Maduro.
Le FMI ordonne à Caracas de lui fournir des données fiables sous peine d'expulsion
02 mai 2018, 17:34:21
Le Fonds monétaire international a ordonné mercredi à Caracas de lui fournir des données économiques fiables sous peine d'exclure le pays de l'institution dans le cadre d'une procédure de…
- Par Le Figaro.fr avec AFP
- Mis à jour le 02/05/2018 à 19:34
- Publié le 02/05/2018 à 19:34
Le Fonds monétaire international a ordonné mercredi à Caracas de lui fournir des données économiques fiables sous peine d'exclure le pays de l'institution dans le cadre d'une procédure de "censure".
"Le Fonds a émis une déclaration de censure à l'encontre du Venezuela (...) pour ne pas avoir rempli ses obligations", à savoir fournir au FMI des informations économiques fiables, a indiqué l'institution de Washington dans un communiqué. En novembre, cette dernière avait déjà mis en garde le Venezuela, qui ne fournit pas de données économiques fiables depuis des années. La dernière mission du FMI dans le pays remonte à 2004.
Article complet sur http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2018/0 ... lefigarov3
Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Suite de la décomposition de ce malheureux pays qui subit l'infâme dictature communiste de Chavez puis Maduro.Venezuela : Guaido se proclame président et obtient la reconnaissance de Trump
23 janv. 2019, 18:29:18
Juan Guaido, 34 ans, élu à la tête du parlement vénézuélien le 5 janvier dernier, s'est autoproclamé «président en exercice» du pays en attendant de nouvelles élections. Les États-Unis, le Canada, la…
Juan Guaido, 34 ans, élu à la tête du parlement vénézuélien le 5 janvier dernier, s'est autoproclamé «président en exercice» du pays en attendant de nouvelles élections. Les États-Unis, le Canada, la Colombie, le Pérou et le Brésil l'ont déjà reconnu comme tel.
Juan Guaido, le président du Parlement vénézuélien contrôlé par l'opposition, s'est autoproclamé mercredi «président» par intérim devant des dizaines de milliers de partisans réunis à Caracas pour protester contre le président Nicolas Maduro. «Je jure d'assumer formellement les compétences de l'exécutif national comme président en exercice du Venezuela pour parvenir (...) à un gouvernement de transition et obtenir des élections libres», a lancé Juan Guaido depuis une tribune.
» LIRE AUSSI - Venezuela: Juan Guaido, le nouveau leader que l'opposition attendait
Le président américain Donald Trump a immédiatement annoncé qu'il reconnaissait le jeune opposant de 35 ans comme président par intérim du pays. «Aujourd'hui, je reconnais officiellement le président de l'Assemblée nationale vénézuélienne, Juan Guaido, comme président par intérim du Venezuela», a-t-il indiqué dans un communiqué. Par ailleurs, Washington a indiqué que «toutes les options» étaient sur la table si Nicolas Maduro avait recours à la force.
Le secrétaire général de l'Organisation des Etats américains (OEA), Luis Almagro, a également félicité Juan Guaido. «Il a toute notre reconnaissance pour impulser le retour de la démocratie dans ce pays», a-t-il tweeté. Le Canada a également reconnu Juan Guaido comme le président par intérim du Venezuela, dans la foulée de la Maison-Blanche. Le Brésil, dirigé depuis le début du mois par le président d'extrême droite Jair Bolsonaro, a également reconnu le leader de l'opposition comme président légitime, au même titre que le Paraguay, le Pérou, le Chili et la Colombie. Le Mexique, lui, a maintenu son soutien au président Maduro.
Au même moment, la Cour suprême vénézuélienne, plus haute juridiction du pays, composée de fidèles au régime, a ordonné une enquête pénale contre les membres du Parlement, en les accusant d'usurper les prérogatives du président Maduro. Opposants et partisans du président Nicolas Maduro sont descendus en masse dans les rues mercredi dans tout le pays, dans un climat de haute tension. Cinq personnes sont mortes dans des troubles précédant les manifestations. Les opposants, dont nombreux s'étaient vêtus de blanc, se sont réunis dans plusieurs quartiers de la capitale et d'autres régions du pays pour exiger un «gouvernement de transition» et de nouvelles élections.
Des milliers de personnes réunies pour écouter Juan Guaido. FEDERICO PARRA/AFP
De leur côté, les partisans du gouvernement, habillés de rouge pour la plupart, se sont retrouvés dans d'autres points de la capitale pour apporter leur soutien au chef de l'Etat et rejeter les revendications de l'opposition, qu'ils considèrent comme une tentative de coup d'Etat orchestrée par Washington. Ces manifestations ont été précédées de violences qui ont fait cinq morts, dont un mineur de 16 ans tué par balle dans l'ouest de Caracas. Quatre autres personnes ont été tuées lors de pillages dans l'Etat de Bolivar (sud) où une statue de l'ex-président Hugo Chavez (1999-2013) a été brûlée. En cette date historique, qui commémore les 61 ans la chute de la dictature de Marcos Perez Jimenez, le 23 janvier 1958, les opposants et partisans du président socialiste souhaitaient compter leur forces. Le président vénézuélien a été investi le 10 janvier pour un deuxième mandat, contesté par l'opposition et non reconnu par les Etats-Unis, l'Union européenne et de nombreux pays d'Amérique latine.
» LIRE AUSSI - Venezuela: Maduro durcit la répression contre l'opposition
Ces mobilisations sont organisées dans un climat explosif, deux jours après le bref soulèvement d'un groupe de 27 militaires qui se sont retranchés quelques heures dans une caserne du nord de Caracas, en lançant des appels à l'insurrection. Ils ont été rapidement arrêtés. Mardi, le vice-président américain Mike Pence a affiché sa solidarité avec la manifestation de l'opposition. Un appel à «un coup d'Etat fasciste», a dénoncé Nicolas Maduro. Dans la foulée du soulèvement des militaires, une trentaine d'émeutes ont été enregistrées dans des quartiers populaires de la capitale et de sa banlieue. Dans la nuit, des chars anti-émeutes ont patrouillé dans la capitale.
Article complet sur http://premium.lefigaro.fr/internationa ... nterim.php
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Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Les Insoumis hurlent au coup d'état, mais ils oublient que c'est très courant dans les démocraties que la présidence par intérim soit exercée par le président du parlement en cas de crise institutionnelle. Je crois que personne ne contestera que le Venezuela est dans cette situation de crise institutionnelle.
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Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Dans une démocratie, le Président est remplacé si et seulement si il est en incapacité prolongée et avérée d'assumer ses responsabilités. Et normalement, il y a consensus sur le Président par intérim.
- El Fredo
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Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Sauf que là Maduro s'est autoproclamé élu au terme d'un processus électoral absolument pas démocratique ou pluraliste. Le seul coup d'état c'est celui mené par les maduristas pour violer la Constitution par tous les orifices (Constituante bidon, révocation du Parlement par la Cour Suprême, etc.). Maduro est illégitime et son élection est nulle et non avenue.
En France par exemple, en cas d'incapacité ou de décès du Président de la République, c'est le Président du Sénat qui assure l'intérim (cas d'Alain Poher en 1969 et 1974).
En France par exemple, en cas d'incapacité ou de décès du Président de la République, c'est le Président du Sénat qui assure l'intérim (cas d'Alain Poher en 1969 et 1974).
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Re: Venezuela : le chavisme sur la sellette
Le Venezuela est un exemple intéressant:
1) pour savoir ce qu'est une dictature et ou elle mène. A méditer pour ceux qui pensent que la France est une dictature.
2) que Mélenchon serait bien inspiré de changer de modèle
1) pour savoir ce qu'est une dictature et ou elle mène. A méditer pour ceux qui pensent que la France est une dictature.
2) que Mélenchon serait bien inspiré de changer de modèle
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