Message non lu
par mps » 02 oct. 2012, 09:50:42
J'ai fait assez de boites pour savoir qu'il n'y a pas "une" présentisme, mais une série ...
- le plus nul, généralement couplé avec une pointeuse, ce sont les types qui, n'ayant déjà rien foutu de la journée, jouent aux échecs ou travaillent à leur généalogie jusqu'à la fin de la plage variable, "pour se faire de la récup".
- il y a ceux qui lisent calmement leur journal, préférant reprendre leur train de banlieue après le rush de 5 heures. Ou qui s'incrustent parce qu'ils ont un rendez-vous dans les environs à 19 heures.
- il y a ceux qui font du mancheàballisme : ils sont toujours dotés d'un chef crétin, mesurant la qualité de leurs collaborateurs à leur présence, parce qu'ils sont incapables d'évaluer le travail réel. Des chefs qui devraient régner sur un brise-lame plein de moules ...
- et puis, il y a ceux "qui ne voient pas l'heure" parce qu'ils adorent leur travail, et seraient malades de lever le camp avant d'avoir fini un rapport . Ou qui prolongent parce qu'ils ont encore accordé un rendez-vous tardif à un interlocuteur qui ne peut se libérer avant.
Bref, que des cas d'espèces, rendant toute qualification générale parfaitement idiote.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)