Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

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Nico37
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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par Nico37 » 02 nov. 2012, 20:13:51

merlin a écrit :
Jean a écrit :
Golgoth a écrit :Deutche Kalität :)
Si on importe, c'est que ça se vend.



Tout se vend.
Ce qu'il faut c'est trouver l'équilibre recette/coût

Les chaussures à 200 euros se vendent, celles à 15 euros aussi (heureusement pour moi d'ailleurs en ce qui concerne ces dernières).

Mais faut-il produire des chaussures à 200 ou à 15 ??? compte tenu de nos coûts, du marché et de notre image ?

Un choix est à faire...

Ce qu'on peut reprocher à Doux c'est d'en avoir fait un qui n'est pas viable.
On en revient donc à l'incompétence des dirigeants.
à leur prévarication surtout...

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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par politicien » 30 nov. 2012, 16:51:12

Bonjour,
Le tribunal de commerce de Quimper (Finistère) a accordé vendredi une prolongation de trois mois de la période d'observation du groupe Doux, en redressement judiciaire depuis juin, apprend-t-on de source syndicale. Un nouveau rendez-vous a été fixé au 19 février.

"C'est un jugement de prudence", a déclaré à Sipa Jean-Luc Guillart, délégué CFDT. Au 30 septembre, après la liquidation du pôle frais du groupe volailler, les effectifs étaient de 1.988 salariés en CDI et 355 CDD, a-t-il précisé.

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20 ... -mois.html
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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par politicien » 17 mai 2013, 21:54:11

Bonjour,
Tout semblait ficelé depuis plusieurs mois chez Doux où il avait été prévu au cours de la période de redressement judiciaire du groupe, un pacte d’actionnaires se traduisant par la transformation en capital des 140 millions d’euros de la créance de Barclay’s. Lors du comité central d’entreprise ce matin à Chateaulin au siège du groupe les syndicats ont compris que la banque Barclay’s n’a plus l’intention d’entrer dans le périmètre de Doux et pourrait même se désengager totalement. Un fonds d’investissements français serait en négociations avec Barclay’s, les administrateurs judiciaires et la famille Doux, pour racheter la créance de cette banque dans des conditions encore inconnues. Si le projet se confirme dans le week-end, le nom de cet investisseur devrait être dévoilé mardi lors de l’audience du tribunal de commerce de Quimper.

Autre changement de taille, l’entrée au capital du saoudien Al-Munajem qui reste l’un des principaux clients de Doux au Moyen-Orient où ses ventes de poulets congelés continuent d’être très soutenues ne serait également plus d’actualité. Quant à la famille Doux, elle s’accroche et entendrait conserver au moins un tiers du capital malgré le départ il y a quelques semaines du patriarche Charles Doux qui s’est désengagé au profit de son fils Jean-Charles nommé P-DG, la direction générale étant assurée par Arnaud Marion.

(...)

L'intégralité de cet article à lire sur Les Echos.fr
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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par politicien » 21 mai 2013, 21:05:17

Bonjour,
L'avenir du groupe Doux, en redressement judiciaire depuis près d'un an, a semblé s'éclaircir mardi avec l'annonce de l'entrée au capital du volailler de l'homme d'affaires Didier Calmels, face à laquelle les syndicats restent cependant prudents, faute de connaître sa stratégie et la durée de son investissement.

Lors d'une audience devant le tribunal de commerce de Quimper, le groupe a annoncé la signature d'un accord de principe avec Didier Calmels en vue de l'entrée au capital de sa holding, Développement et Partenariat (D&P).

Le tribunal doit rendre sa décision jeudi sur une éventuelle prolongation de six mois de la période d'observation du volailler, en redressement judiciaire depuis le 1er juin 2012, ainsi que demandé par ses administrateurs judiciaires et également requis par le parquet.

L'homme d'affaires rachèterait les créances de la Barclays Bank, premier créancier de Doux avec 150 millions d'euros (142 millions plus les intérêts échus), a indiqué à l'AFP Régis Valliot, administrateur judiciaire de Doux, confirmant une information du Figaro.

Cette créance serait ensuite convertie en actions, ce qui conférerait à D&P les deux tiers du capital du volailler. La famille Doux, qui détient actuellement 80% du capital, et BNP Paribas, qui en détient 20%, conserveraient un tiers du capital.

"C'est une grande chance pour le groupe d'avoir un investisseur à ses côtés qui vienne l'épauler", s'est félicité au terme de l'audience Arnaud Marion, manager de transition au sein du groupe Doux, faisant valoir que Didier Calmels avait "redressé et investi dans une cinquantaine de sociétés".

(...)

L'intégralité de cet article à lire sur Afp
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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par politicien » 02 nov. 2013, 15:38:33

Bonjour,
Le volailler en redressement judiciaire va présenter à la fin du mois un plan de continuation qui inclut l'entrée au capital du groupe saoudien Almunajem.

L'horizon semble s'éclaircir pour Doux. Le volailler, en redressement judiciaire depuis plus d'un an, va présenter à la fin du mois au tribunal de commerce de Quimper un plan de continuation qui devrait lui permettre de sortir la tête de l'eau. Ce plan inclut notamment une nouvelle répartition du capital qui fera officiellement perdre à la famille Doux le contrôle de l'entreprise.

D'après nos informations, ce plan confirmera l'entrée au capital du spécialiste du retournement d'entreprise Didier Calmels, à travers son holding Développement & Partenariat. L'homme d'affaires, dont l'arrivée est évoquée depuis le mois de mai dernier, va racheter la créance de la banque Barclays, premier créancier de Doux, qui souhaite sortir du groupe. Cette dette sera ensuite convertie en capital à hauteur de 52,5%. «D&P a offert une porte de sortie aux créanciers et permis un désendettement quasi total de l'entreprise», selon un porte-parole.

Le plan prévoit aussi l'entrée, évoquée par la direction de Doux en septembre, du groupe saoudien Almunajem. Premier client du volailler, Almunajem va prendre 22,5% du capital de Doux. «Nous travaillons d'arrache-pied pour rapprocher les points de vue des différentes parties», a expliqué le représentant du groupe en France, Amr Al Kouatli. Ce dernier n'a pas souhaité chiffrer le montant de l'investissement.

(...)

L'intégralité de cet article à lire sur Le Figaro.fr
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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par politicien » 29 nov. 2013, 21:26:56

Bonjour,
Le tribunal de commerce de Quimper a tranché. Le volailler Doux va sortir du redressement judiciaire et poursuivre son activité. Sans surprise, les juges ont approuvé, vendredi 29 novembre, le plan de continuation présenté par l'entreprise bretonne, désormais aux mains du financier Didier Calmels. Pour autant, Doux reste fragile, à l'image, d'ailleurs, de l'ensemble de l'industrie de la volaille française.

Même si le siège de Doux est toujours à Châteaulin, dans le Finistère, le volailler a considérablement changé de physionomie, depuis son retentissant dépôt de bilan en juin 2012. Charles Doux, qui a développé l'entreprise qui porte son nom et a tout fait pendant des années pour être seul maître à bord, a, finalement, dû céder les clés des poulaillers. Sa famille, qui détenait 80 % du capital n'en possédera plus que 22,5 % selon le schéma de reprise présenté devant le tribunal.L'actionnaire majoritaire, avec 52,5% des parts, n'est autre que D&P Finance, la holding patrimoniale de M. Calmels.

L'homme d'affaires, spécialiste du retournement d'entreprise, est arrivé à point nommé, début 2013, pour emporter la mise. Le principal créancier, la banque Barclays, ne souhaitait qu'une chose : se défaire de sa dette de 142 millions d'euros. Il l'aurait cédée pour 21 millions d'euros.

PRÈS DE 80% DE L'ACTIVITÉ SE FAIT À L'EXPORT
Le gouvernement voyait d'un œil favorable l'arrivée d'un « sauveur ». Surtout, l'entreprise était déjà restructurée. Le tribunal de Quimper avait, en effet, mis en liquidation, en août 2012, le pôle frais de Doux, structurellement déficitaire. Les concurrents du volailler breton, LDC, Terrena, Glon Sanders (Sofiprotéol) et Duc se sont partagé les morceaux. Cela s'est traduit par un millier de licenciements.

La société reprise par M. Calmels est désormais recentrée sur deux pôles d'activité, le poulet congelé destiné à l'exportation sous la marque Doux et les produits élaborés vendus sous marque Père Dodu. Dans ce nouveau périmètre, l'entreprise, dont la dette est passée de 330 à 120 millions d'euros, emploie 2100 salariés dont 1700 en CDI. Elle devrait dépasser les 500 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2013.

Près de 80% de l'activité se fait à l'export, en particulier au Moyen-Orient. D'où l'entrée au capital de Doux de son principal client, le saoudien Almunajem. Selon l'accord signé lundi 25 novembre, la veille de l'audience au tribunal, Almunajem devrait convertir sa créance de 10 millions d'euros et détenir 25% des parts du volailler. Mais le saoudien a demandé un délai pour vérifier l'état des dettes brésiliennes de Doux. Son entrée au capital ne devrait donc être effective que fin février ou début mars 2014.

UNE ENVELOPPE D'AIDE SUPPLÉMENTAIRE
Reste au « nouveau Doux », dirigé par le manager de crise Arnaud Marion, associé à Martin Calmels, fils de Didier Calmels, et à Jean-Charles Doux, fils de Charles Doux, à prouver sa viabilité. L'arrêt, prononcé cet été, des « restitutions », soutien de Bruxelles aux exportations de poulets, qui lui ont rapporté près de 50 millions d'euros en 2012, rend l'exercice plus délicat. D'autant que la concurrence des géants brésiliens profitant d'un réal dévalué face à un euro fort s'exacerbe.

(...)

L'intégralité de cet article à lire sur Le Monde.fr
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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par mordred » 30 nov. 2013, 16:44:20

Des saoudiens dans le Finistère ! Nous ferons en France ce qu'on fait les bolcheviks en URSS ou Nasser à Suez. Nous nationaliserons tout les biens économiques des étrangers. Sinon, plus rien ne sera à nous.
Ils ont vendu il y a quelques années le siège de Météo France aux russes ! Ils vendent les hôtels de luxe aux arabes !
Nous devons dire non ! Nous; le Peuple Souverain.

PS. Je vous rappelle que vous pouvez envoyer des e-mails au Flan, à son vizir et au reste du Cirque Politique par Internet. Ce que je fais; le plus poliment possible.
"La mer était très forte. Je pense qu'il était bien trop vieux pour aller à la pêche aux maquereaux".
Feu Dédé la fleur; bien souffrant (Ouessant) et Yann Tiersen (mondialement connu).

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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par politicien » 23 mars 2015, 23:08:31

Bonjour,
Le groupe (2.200 emplois directs, 5.000 indirects) spécialiste du poulet destiné à l'exportation a annoncé lundi un financement de 5 millions d'euros par la Banque publique d'investissement (BPI) afin de soutenir son plan de modernisation de ses usines en France.

Retour à l'équilibre financier, annonce d'embauches, entrée d'un nouvel actionnaire... Et maintenant un prêt de la BPI. Le Groupe Doux retrouve la voie de la croissance. Les cinq millions d'euros alloués par la Banque publique d'investissement au premier volailler français devrait lui permettre de moderniser ses unités de productions françaises.

Accélération du plan d'investissement
Trois abattoirs, une usine de produits élaborés, deux couvoirs et deux usines d'aliment bénéficieront notamment du financement de la BPI. Mais celui-ci concerne "exclusivement" les unités de production françaises, précise le communiqué. Pour Arnaud Marion, président du directoire du Groupe Doux, ce soutien constitue "un excellent signal donné à nos éleveurs, à nos fournisseurs, à la Région, et à nos banques".

(...)

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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par Nombrilist » 23 mars 2015, 23:10:36

Le chantage a l'emploi a bien fonctionné. Les hectomillionnaires de la famille Doux se sont fait remplumer sans débourser un kopeck de leur propre argent.

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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par johanono » 23 mars 2015, 23:15:31

Donc ils continueront à produire leur m.... aux frais du contribuable ?

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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par Nombrilist » 23 mars 2015, 23:16:30

Exactement.

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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par johanono » 23 mars 2015, 23:17:50

Le chantage à l'emploi, c'est comme le vote utile : des arguments très pratiques qui évitent d'avoir à s'interroger sur certaines vieilles pratiques.

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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par politicien » 11 juin 2015, 17:47:43

Bonjour,
Il est un peu plus de 16 heures, ce 1er juin, lorsqu’Arnaud Marion, le PDG du volailler Doux, reçoit un SMS de Stéphane Le Foll. Le ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire a été ravi de sa visite le matin même au siège du volailler à Châteaulin, dans le Finistère. Le message est agrémenté d’un smiley, une figurine tout sourire... Dommage que les émoticons n’émettent pas de son, on aurait pu entendre retentir un "cocorico".

Entre des mains françaises
Stéphane Le Foll a de quoi se réjouir : le volailler, en prise à de graves difficultés financières et sociales depuis une décennie, a repris du poil de la bête. Le groupe (2 200 salariés) envisage de réaliser 25 millions d'euros de résultat opérationnel en 2015 et 530 millions de chiffre d’affaires. Et puis, tout le monde le dit, les relations entre partenaires sociaux se sont apaisées. Dans une Bretagne où le souvenir du mouvement des Bonnets rouges est encore vif, cela compte double.

"Cocorico" aussi, car le volailler change d’actionnaire principal. D’un Français à l’autre… L’homme d’affaires Didier Calmels, spécialiste du retournement d’entreprises, qui détient à travers son holding Développement et Partenariat 52,2 % du capital de Doux, après avoir mis 18-19 millions d’euros sur la table fin 2012 et racheté une partie de la dette du groupe, est entré en négociation exclusive avec la coopérative Terrena (4,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel, dont 888 millions avec sa filiale de volailles Gastronome).

(...)

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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par Nombrilist » 11 juin 2015, 21:44:29

Doux continuera donc à fourguer ses poulets de m.... au Moyen-Orient tandis qu'on continuera d'importer le poulet de qualité ?

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Re: Quel avenir pour le groupe volailler Doux ?

Message non lu par johanono » 13 mars 2018, 08:13:55

Doux. L’inquiétude des salariés du groupe volailler

La coopérative Terrena, propriétaire du groupe volailler Doux s’est donné jusqu’au 31 mars pour finaliser son projet de transformation de Doux. La dernière réunion du comité central d’entreprise, ce mardi matin à Châteaulin (Finistère), n’a pas rassuré les élus du personnel.

Image

Article complet sur https://www.ouest-france.fr/bretagne/ch ... er-5562973
Donc le cirque avec Doux va recommencer. Cette entreprise n'a toujours pas entamé sa nécessaire montée en gamme, elle continue à produire du poulet low-cost pour lequel elle est concurrencée par d'autres pays à bas coûts de production, donc fatalement, elle continue à perdre de l'argent... Les mêmes causes produisent les mêmes effets.

Et gageons que les pouvoirs publics seront obligés de mettre la main à la poche pour soutenir, une fois encore, ce canard boiteux non rentable. Comme ce fut le cas récemment pour GM&S. Parce qu'on peut faire confiance aux Bretons pour manifester durement et médiatiser leur problème. Parce que c'est la circonscription de Richard Ferrand. Et parce que Macron, accusé d'être le président des riches et des grandes villes, ne peut pas se voir reprocher dans cette affaire d'abandonner une fois encore les "territoires" éloignés de Paris.

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