Quelles mesures pour le sommet sur l'emploi en janvier ?

[Ilikeyourstyle]

Il va finir par s'auto détruire ce gros naze. La crise est la, tout le monde le sait, et même si une majorité de personnes récuse l'action du petit président durant cette crise qui coïncide avec son petit septennat, la principale inquiétude des français est le chomage.

Ce que ne comprend pas l'ump, c'est que toucher à ce secteur en y introduisant plus d'exploitation de flexibilité / précarité n'aura pas d'autres effets que de diminuer le nombres de chomeurs de classe A. il y a longtemps que les français ont compris la manœuvre... le faire, serait suicidaire et l'opinion risque fort de lui faire payer (enfin) le prix fort.

Petit septennat ? Tu n'as pas peur du ridicule, mon grand. invision:

[lancelot]

Ben oui ... un petit septennat, c'est un quinquennat ... tu as vraiment aucun sens de l'humour ... C'est ça la droite ... toujours au premier degré, et encore .... icon_mrgreen

[Beret Man]

Ben voyons FIFI72, il faut être réaliste.
Il est connu que les chômeurs ne sont que des assistés, comme tous les bénéficiaires d'allocations, qui se complaisent dans la pauvreté !
C'est tellement confortable de vivre sous le seuil de pauvreté, tellement plus valorisant qu'un travail avec un vrai salaire.
C'est tellement plaisant de se battre au quotidien pour trouver à manger, conserver l'électricité ou même un toit.
Tu as bien raison, mps, ces salauds de chômeurs sont des jouisseurs. C'est feignasse et compagnie !

[politicien]

Bonjour,

Voici un article intéressant paru sur Slate :

Chômage: qu’est-ce qui marche ailleurs?

Au sein de l’Union européenne, l’Autriche est, avec les Pays-Bas, le meilleur élève pour l’emploi. Le taux de chômage n’y est que de 4,1% (chiffre d’octobre 2011), contre 9,8% pour l’Union européenne. L’Autriche l’est aussi pour l’emploi des jeunes, avec un taux de chômage de 8,8% contre 21% en moyenne pour les autres pays européens.

Ce résultat s’explique par une politique ancienne et déterminée. Chaque jeune se voit proposer, au bout de trois mois sans activité, soit un emploi, soit une formation, soit un apprentissage. On compte une cinquantaine de filières de formation, les jeunes y touchent 240 euros par mois pendant deux ans, puis 555 euros la troisième année. L’apprentissage est une priorité, comme chez le voisin allemand: il occupe 40% des jeunes.

«Task force» dédiée
En Australie, le budget des organismes d’emploi est directement lié à la vitesse à laquelle ils arrivent à retrouver du travail pour les chômeurs dont ils ont la charge. Ces organismes sont privés, entreprises, associations, on en compte une centaine. Ils perçoivent une somme, dépendant de la qualification des chômeurs (l’employabilité), et doivent la dépenser au mieux en coaching personnel ou par groupe, en insertion dans un emploi aidé, etc. Le chômeur choisit son organisme au départ. Au bout d’un an, s’il n’a pas retrouvé du travail, il doit accepter une formation ou prendre un travail d’intérêt général.

En Finlande, lorsqu’une grande entreprise décide d’une restructuration, l’équivalent de Pôle Emploi se déplace et déploie une «task force» dédiée. Celle-ci s’occupe aussi des suppressions d’emplois indirectes chez les sous-traitants et fournisseurs.

(...)

Menaces
Menace grave dans les pays développés puisque la reprise, avant de s’étioler, n’avait pas été accompagnée de fortes créations d’emplois. Les exemples des Etats-Unis et de l’Espagne montrent ce phénomène nouveau, car général, de «reprise sans emplois». Conséquence: les chômeurs ont moins de chance de retrouver un emploi et le chômage menace de devenir de longue durée, «structurel». Avec toutes les difficultés accrues que cela entraîne pour les personnes privées d’emploi depuis longtemps et découragées.

(...)

Les jeunes sont, au nord comme au sud, les populations qui risquent de souffrir le plus de la crise prolongée. On l’a vu au printemps en Tunisie où le «printemps arabe» a été le fait de jeunes diplômés à la rue ou contraints d’accepter des jobs déqualifiés. Mais la Chine connaît le même problème: les places à l’université ont été doublées, mais un tiers des étudiants ne trouvent plus automatiquement un métier à la sortie de la faculté. Le manque d’emplois qualifiés rend leur situation difficile et inquiète les autorités.

(...)


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Qu'en pensez vous ?

A plus tard,

[mps]

Une forte natalité amène trop de jeunes vers des emplois standard, au moment où la combinaison de la crise et du coût excessif des salaires brut oblige les entreprises à restreindre leurs effectifs.

Par contre, il y a des tas de créneaux vacants, simplement parce que les gens n'y pensent pas. Le coaching privé, rémunéré aux résultats, est évidemment un pas dans la bonne direction.

[El Fredo]

Je ne sais pas si on peut parler de forte natalité ou de coûts salariaux excessifs pour la Chine...

[phoenix72]

Malheureusement tout ceci est des solutions d'attente pour cacher le véritable problème =l'emploi
Dans les années 70/80 on se posait pas ses questions on quittait une entreprise car on avait un autre emploi à la clé
Les formations ont toujours excitées ,les formations étaient réalisées en cours du soir ou à l'Anpe sans problème de budget
Les gens n'avaient pas besoin d'apprendre à rechercher du travail c'était évident du moment que l'expertise professionnelle était là.
A ce jour le problème est un manque d'emploi dans l'industrie les offres sont minimes ,la plupart du temps se sont des emplois précaires et peu payés.
Les formations aujourd'hui coutent une fortune pôle emploi n'a pas le budget nécessaire pour préconiser des formations à tout le monde ,les vieux sont mis de coté malgré la pression de recherche d'emploi.
La première erreur est d'avoir repousser l'age de départ à la retraite des chômeurs âgés et de leur avoir supprimer la DRE
La deuxième erreur est le manque de moyen budgétaire pour les jeunes
L'autre erreur c'est de laisser l'industrie délocaliser les emplois tout en aidant les grandes entreprises
et la dernière pour moi car il y a encore beaucoup c'est de ne pas avoir donner les moyens aux PME de se développer
Donc créer de l'emploi et plus besoin de tous ses artifices

[mps]

Tu oublies le changement des mentalités. Dans les années 70, le nouveau venu était modeste et avait soif d'apprendre et de plaire à son patron. On lui pardonnait facilement ses imperfections, on l'aidait à s'améliorer.
A présent, l'arrogance des incapables est devenue sans limite : il leur faut de plus en plus de pognon, ils ne supportent aucune remarque, et certains à 20 ans en sont à calculer leur future retraite. Donc, on recherche des gens sains d'esprit et capables ... ce que notre système produit de moins en moins.

[Aska]

C'est une généralisation idiote.
Évidemment tu as des crétins qui arrivent la g..... enfariné a leur premier emploi. Mais de là a dire qu'ils sont sou pareil, ca me fait marrer.
A ton époque y'en avait autant.

[phoenix72]

Tu oublies le changement des mentalités. Dans les années 70, le nouveau venu était modeste et avait soif d'apprendre et de plaire à son patron. On lui pardonnait facilement ses imperfections, on l'aidait à s'améliorer.
A présent, l'arrogance des incapables est devenue sans limite : il leur faut de plus en plus de pognon, ils ne supportent aucune remarque, et certains à 20 ans en sont à calculer leur future retraite. Donc, on recherche des gens sains d'esprit et capables ... ce que notre système produit de moins en moins.

Incroyable cette facilité à raisonner par clichés

Donc si je comprends bien le patron c'est le père le référent parfait courageux intègre sur qui on droit prendre exemple et de l'autre se sont les vilains ouvriers qui n'ont pas réussi dans la vie parce que se sont des paresseux et des incapables qui ne cherchent qu'a exploiter le gentil patron.

Donc si je résume le raisonnement un bon salarié doit être modeste ,doit s'appliquer à plaire à son patron doit avoir soif d'apprendre pour améliorer sa rentabilité et écouter le gentil patron qui lui apprend à s'améliorer car le pauvre salarié et bourrer d'imperfections.Et surtout en conclusion le bon salarié doit être sain d'esprit et capable.

Drôle très drôle invision:

[Nombrilist]

"Dans les années 70, le nouveau venu était modeste et avait soif d'apprendre et de plaire à son patron. On lui pardonnait facilement ses imperfections, on l'aidait à s'améliorer."

Dans les années 70, le rapport de force était en faveur de l'ouvrier. Rien de plus.

[politicien]

Bonjour,

Un accord minimal, mais juste à temps pour le sommet social. Patronat et syndicats, à l'exception de la CGT, se sont entendus sur un projet de texte sur le chômage partiel, vendredi 13 janvier. Cetes, le texte acte uniquement une prolongation des accords de 2009, qui permettaient de prendre en compte les primes dans le calcul de l'indemnité et de maintenir les jours de congé, mais il permet aux partenaires sociaux d'afficher leur sens des responsabilités alors que le chômage augmente fortement.

(...)

Les partenaires sociaux demandent également à l'Etat de " raccourcir les délais de versement à l'entreprise des allocations spécifiques de chômage partiel " . " Il faut parfois deux à trois mois pour que l'Etat verse sa participation, ce qui peut entraîner la fermeture d'entreprises qui sont déjà en grande difficulté de trésorerie ", plaide Laurent Berger de la CFDT. Les partenaires sociaux demandent que la formation soit favorisée pendant les périodes de chômage partiel, avec une indemnisation du salarié à 100 %, contre un peu plus de 90 % actuellement. " Le patronat est prêt à faire un geste pour rehausser l'indemnisation ", a confirmé Benoit Roger-Vasselin, négociateur pour le Medef. La question de l'offre de formation qui peut être faite à des salariés en chômage partiel reste toutefois ouverte.

(...)

La CGT regrette également que les réformes plus profondes, notamment l'éventuelle fusion des trois dispositifs, soit renvoyées à plus tard. Le texte évoque en effet, prudemment, " une possible unification " comme objectif des prochaines négociations qui doivent se tenir en février et mars. Cette mention constitue toutefois une évolution de la part du Medef, divisé jusqu'ici entre l'industrie, très consommatrice de chômage partiel, et les services, qui ne voulaient pas forcément mettre la main à la poche.

(...)
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Qu'en pensez vous ?

A plus tard,

[mps]

Donc si je comprends bien le patron c'est le père le référent parfait courageux intègre sur qui on droit prendre exemple et de l'autre se sont les vilains ouvriers qui n'ont pas réussi dans la vie parce que se sont des paresseux et des incapables qui ne cherchent qu'a exploiter le gentil patron.
Donc si je résume le raisonnement un bon salarié doit être modeste ,doit s'appliquer à plaire à son patron doit avoir soif d'apprendre pour améliorer sa rentabilité et écouter le gentil patron qui lui apprend à s'améliorer car le pauvre salarié et bourrer d'imperfections.Et surtout en conclusion le bon salarié doit être sain d'esprit et capable.


Si les évidences te font hoqueter de rire, c'est ton problème.
Le patron n'est pas une bonne d'enfants. Il a de lourdes responsabilités, travaille souvent comme un fou, et s'il engage un collaborateur, ce n'est évidemment pas pour encore se compliquer la vie. Les faiseurs d'emm... n'ont pas place dans les entreprises.

[politicien]

Bonjour,

La préparation du sommet social de mercredi entre dans sa dernière ligne droite. Le gouvernement va limiter et étaler la hausse de la TVA.

La TVA augmentée, mais pas trop… Le gouvernement poursuit ses préparatifs sur le sommet social de mercredi dans le plus grand secret, mais les contours se précisent. Pour éviter d’offrir une tribune anti-sarkozyste aux syndicats à la sortie de l’Elysée en fin d’après-midi, différentes idées susceptibles de plaire aux leaders ont été retenues ou testées. Nicolas Sarkozy a également confié une mission de dialogue à deux anciens ministres du Travail leur ayant laissé un bon souvenir, Gérard Larcher et Jean-Louis Borloo, qui ont rencontré toutes les centrales.

Le sujet principal reste la TVA sociale, que les syndicats reprouvent. Elle est rebaptisée TVA anti-délocalisation par le gouvernement. Un terme emprunté au secrétaire général de l’UMP Jean-François Copé.

(...)

La mission Borloo-Larcher
Tout n’est pas décidé. Côté recettes, deux scénarios émergent pour un montant proche de 15 milliards d’euros. Une hausse de deux points de la TVA, ou bien une hausse d’un point et demi complétée par 0,75 point de CSG, pour amoindrir l’impact sur les prix. Cette crainte conduira le gouvernement à étaler les mesures dans le temps. Pas question, donc, d’accepter les projets maximalistes allant jusqu’à 5 points de TVA. La taxe sur les transactions financières pourrait éventuellement compléter le financement. Son instauration sera liée à la réciproque en Allemagne.

(...)

Autre projet conflictuel, le gouvernement veut présenter la mesure juridique qui permet à un accord d’entreprise de modifier les éléments individuels du contrat de travail. Cette "révolution", dit-on, baptisée accords de compétitivité, permettrait en cas de coup dur sur les carnets de commande de baisser du temps de travail ou les salaires, en contrepartie du maintien de l’emploi. Comme en Allemagne. Au gouvernement, on veut y voir "un espace de négociation colossal". La CFDT ne serait "pas hostile à la discussion mais après la présidentielle", veut-on espérer...

Xavier Bertrand à la manoeuvre
Les autres sujets sont beaucoup plus consensuels. Le gouvernement va annoncer une série de simplifications pour le recours au chômage partiel, notamment en direction des PME. Il applaudira les avancées réalisées par les syndicats et le patronat au cours de négociations de vendredi. Les partenaires sociaux veulent créer un dispositif nouveau permettant au salarié de toucher 100% de son salaire net s’il suit une formation pendant son chômage partiel. Par ailleurs, l’Etat financera sans limite les demandes des entreprises, "à guichet ouvert", dit-on. Autre idée sur la table, la Préparation opérationnelle à l’emploi, mise en œuvre à Pôle Emploi, sera développée. Elle permet à un chômeur de se former pour un emploi précis proposé par une entreprise.

(...)

Le projet de loi qui découlera du sommet sera inscrit à l’ordre du jour de la session ordinaire du Parlement, prolongée pour ce motif fin février. Il ne s’agira pas à proprement parler d’une session extraordinaire. Retrouvez l'intégralité de cet article sur

Qu'en pensez vous ?

A plus tard,

[phoenix72]

Donc si je comprends bien le patron c'est le père le référent parfait courageux intègre sur qui on droit prendre exemple et de l'autre se sont les vilains ouvriers qui n'ont pas réussi dans la vie parce que se sont des paresseux et des incapables qui ne cherchent qu'a exploiter le gentil patron.
Donc si je résume le raisonnement un bon salarié doit être modeste ,doit s'appliquer à plaire à son patron doit avoir soif d'apprendre pour améliorer sa rentabilité et écouter le gentil patron qui lui apprend à s'améliorer car le pauvre salarié et bourrer d'imperfections.Et surtout en conclusion le bon salarié doit être sain d'esprit et capable.


Si les évidences te font hoqueter de rire, c'est ton problème.
Le patron n'est pas une bonne d'enfants. Il a de lourdes responsabilités, travaille souvent comme un fou, et s'il engage un collaborateur, ce n'est évidemment pas pour encore se compliquer la vie. Les faiseurs d'emm... n'ont pas place dans les entreprises.

Je ne répondrais que ceci
Le salarié n'est pas une bonne d'enfants,il a de lourdes responsabilités sa famille ,travaille effectivement comme un fou pour deux balles et il s'engage dans un job ce n'est évidemment pas pour se faire plumer mais pour participer aux gains de l"entreprise.Les patrons voyous en effet n'ont pas de place dans la création d'entreprise. cheesygrin!

Je réitère encore une fois ,stop à la stigmatisation ,il y a des patrons responsables et des salariés responsables et il y a aussi des patrons voyous et des salariés malhonnêtes.
Ce qu'il ne faut surtout pas faire c'est de privilégier les intérêts des uns contre les autres il faut que ce soit équitable pour les uns et les autres. sparkle!