Ce que je dis concerne aussi les parents. Je considère que les enfants ne sont pas la propriété de leurs parents mais que le rôle des parents est de permettre de s'épanouir de manière saine et sécurisés et de s'intégrer dans la société.
De ce fait ce n'est pas aux parents de décider si l'enfant est dysphorique ou non. Si l'enfant pense l'être, les parents ne doivent pas le nier mais l'accompagner tout en veillant à mettre des gardes fou pour éviter les décisions trop hâtives. A l'inverse, des parents n'ont pas à forcer cette dysphorie en poussant par exemple leurs fils à devenir une fille car ils voulaient une fille.