Délires féministes : suite et pas fin
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Cela n'a rien à voir avec du sexisme !!!
"Dans la profondeur de l'hiver, j'ai finalement appris qu'il y avait en moi un soleil invincible."
Albert Camus
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Peut-être que tu préfères ceci: elle a eu un comportement d'institutrice (ou instituteur) devant sa classe, je m'imagine que n'importe quel député(e) aurait été agacé(e) et fait la remarque au président de séance.Yakiv a écrit : ↑26 janv. 2018, 00:05:47Ça n'a strictement rien à voir.
Les rappels au règlement sont courant au parlement, en commission ou hors commission. Personne n'a jamais fait référence à un discours d'un père qui réprimande ses enfants lorsque le président de séance était un homme, il faut arrêter le délire.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Ce genre de rappel au règlement au parlement n'a rien d'exceptionnel, il y en a très régulièrement.
Ici, le député a cru bon de devoir évoquer sa mère pour humilier la présidente de séance parce que c'était une femme.
Il va sans dire qu'il n'aurait pas eu de propos équivalents si le président de séance avait été un homme.
Ici, le député a cru bon de devoir évoquer sa mère pour humilier la présidente de séance parce que c'était une femme.
Il va sans dire qu'il n'aurait pas eu de propos équivalents si le président de séance avait été un homme.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
En même temps, l'expression classiquement utilisée est "t'es pas ma mère", pas "t'es pas mon père".
- Cheshire cat
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Banalement cøn .
“On commence par se tromper soi-même ; et ensuite on trompe les autres. ”
Oscar Wilde
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Comme une remarque sexiste !Cheshire cat a écrit : ↑27 janv. 2018, 22:07:30Banalement cøn .
"Ils ne se révolteront que lorsqu’ils seront devenus conscients et ils ne pourront devenir conscients qu’après s’être révoltés" - George Orwell, «1984»
Re: Délires féministes : suite et pas fin
La question est de savoir s'il aurait eu ce même genre de remarque avec un homme, je suis tout à fait persuadé que non, et dans ce cas là, la remarque est par définition sexiste.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
'Tu pourrais être mon pere'. Cela se dit également. Sexiste pourquoi ? Si c'est à cause de l'idée que les femmes cachent davantage leur âge que ne le font les hommes, alors ce sont les acusatrices qui sont sexistes.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
???
Le monsieur n'a pas supporté qu'une femme lui fasse des remontrances, tout simplement.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Parce que c'est une femme.
Il n'aurait pas eu l'idée d'imaginer que le président de séance était un vieux c.. donneur de leçon.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Effectivement on ne peut pas le prouver, et c'est sans doute ça qui met en lumière le caractère sexiste de cette remarque, mais pour ma part, j'en suis tout à fait persuadé.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Cette suite de discussions est l'exemple même des polémiques qui vont devenir la règle.
Je préfère qu'on s'occupe des vrais conflits et irrespects entre hommes et femmes, qui sont à mon avis trop souvent cachés et se passent bien souvent en famille, et pas uniquement dans des environnements professionnels ou publiques.
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