Délires féministes : suite et pas fin
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Encore heureux que ces différences existent. Nous sommes complémentaires et c'est très bien comme ça.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
On appelle ça la variabilité génétique. Et qu'on le veuille ou non, la testostérone est l'un des driver de l'agressivité et de tous les comportements qui en découlent. Mais un jour, on considérera que les niveaux masculins de testostérone sont une pathologie, vous verrez. Ce sera la suite logique de tout ce qui est en train de se passer.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Après, tout dépend de ce qu'on veut justifier avec la testostérone...Nombrilist a écrit : ↑18 mars 2021, 09:08:29On appelle ça la variabilité génétique. Et qu'on le veuille ou non, la testostérone est l'un des driver de l'agressivité et de tous les comportements qui en découlent. Mais un jour, on considérera que les niveaux masculins de testostérone sont une pathologie, vous verrez. Ce sera la suite logique de tout ce qui est en train de se passer.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
J'ai trouvé que ces lignes de Olivier Amiel me semblaient exprimer, mieux que je ne saurais le faire, le contenu de cette cancel culture à laquelle les outrances féministes peuvent peut-être être rattachées:
Olivier Amiel. Je reprends l’expression utilisée par Bret Easton Ellis dans son essai White en 2019 d’une « épidémie de supériorité morale ». C’est-à-dire une idéologie dominante et faussement bienveillante, qui dégouline de bons sentiments avec un discours victimaire et surprotecteur des offensés de tout poil. Ce mouvement militant a la particularité d’être porté par des personnes s’autoproclamant « progressistes » et pensant avoir seules la vérité face aux autres forcément « fascistes ». Sauf que pour imposer leur vision du monde, ils n’hésitent pas à agir eux-mêmes comme les vrais fascistes allant jusqu’à vouloir interdire, bannir, censurer, effacer, les idées, les œuvres et même les individus qui ne pensent pas comme eux. C’est la fameuse « Cancel culture »
Olivier Amiel. Je reprends l’expression utilisée par Bret Easton Ellis dans son essai White en 2019 d’une « épidémie de supériorité morale ». C’est-à-dire une idéologie dominante et faussement bienveillante, qui dégouline de bons sentiments avec un discours victimaire et surprotecteur des offensés de tout poil. Ce mouvement militant a la particularité d’être porté par des personnes s’autoproclamant « progressistes » et pensant avoir seules la vérité face aux autres forcément « fascistes ». Sauf que pour imposer leur vision du monde, ils n’hésitent pas à agir eux-mêmes comme les vrais fascistes allant jusqu’à vouloir interdire, bannir, censurer, effacer, les idées, les œuvres et même les individus qui ne pensent pas comme eux. C’est la fameuse « Cancel culture »
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Je ne vois pas bien de quoi il parle, je crois que je ne vis pas dans le même monde que lui en fait.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Quand Mme Agacinski ou Mme Badinter sont interdites de conférence, quand un prof ne peut proposer une discussion comportant le terme islamophobie, quand on interdit la représentation d'une pièce d'Eschyle etc.. , faits caractéristiques de la cancel culture qui interdit l'expression de ce qui n'est pas la pensée autorisée par les tenants de cette cancel culture, ça ne vous choque pas ?
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Mme Agacinski a été annulée parce qu'elle était opposée à la PMA.
Moi ça ne me choque pas forcément qu'on sélectionne des invités sur la base de leurs opinions politiques, qu'on boycotte Zemmour, etc.
Seuls les médias (notamment publics) doivent selon moi avoir un devoir de diffuser la parole issue d'un large spectre politique.
Moi ça ne me choque pas forcément qu'on sélectionne des invités sur la base de leurs opinions politiques, qu'on boycotte Zemmour, etc.
Seuls les médias (notamment publics) doivent selon moi avoir un devoir de diffuser la parole issue d'un large spectre politique.
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Il y a une différence entre boycotter et menacer.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Boycotter c'est refuser d'aller voir. Si je refuse d'aller voir quelqu'un parce qu'il ne me plaît pas je n'ai pas à en dégouter les autres et surtout à interdire. Mme Agacinski est hostile à la PMA pour toutes les femmes, c'est son droit, non ? On ne peut pas se proclamer un pays ou on a la liberté d'expression est contraindre les autres à se taire. C'est une méthode de nazi. Même chose pour Zemmour. Il passe sur une chaîne TV et ne nous plaît pas, on change de chaîne. Il y a quelques sujets que l'on ne peut accepter, lé négationnisme l'antisémitisme, le racisme, l'appel à la violence OK. Pour le reste je reprendrai le slogan de 1968 : il est interdit d'interdire.Yakiv a écrit : ↑27 mars 2021, 09:39:54Mme Agacinski a été annulée parce qu'elle était opposée à la PMA.
Moi ça ne me choque pas forcément qu'on sélectionne des invités sur la base de leurs opinions politiques, qu'on boycotte Zemmour, etc.
Seuls les médias (notamment publics) doivent selon moi avoir un devoir de diffuser la parole issue d'un large spectre politique.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Instaurer le double nom de famille à la naissance, le combat du collectif "Porte mon nom"
Le collectif "Porte mon nom" milite pour une automatisation du double-nom pour les enfants et pour une simplification des démarches pour ajouter un des deux noms.
suite
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Re: Délires féministes : suite et pas fin
Il est déjà possible de donner un double nom ou le nom de la mère à l'enfant (parcontre, ce qui est décidé pour le premier enfant est obligatoire pour les enfants suivants). Cela se fait en accord au sein du couple. Donc, encore des excitées qui comptent prendre des décisions à la place des femmes elles-mêmes et sans leur demander leur consentement.
Après, il y a peut-être des choses à revoir en cas de divorce ou de mauvais traitements. Mais ça devrait aller dans les deux sens. Si on se contente d'inverser le problème...
Après, il y a peut-être des choses à revoir en cas de divorce ou de mauvais traitements. Mais ça devrait aller dans les deux sens. Si on se contente d'inverser le problème...
Re: Délires féministes : suite et pas fin
C'est une très bonne idée.johanono a écrit : ↑25 mai 2021, 08:56:47Instaurer le double nom de famille à la naissance, le combat du collectif "Porte mon nom"
Le collectif "Porte mon nom" milite pour une automatisation du double-nom pour les enfants et pour une simplification des démarches pour ajouter un des deux noms.
suite
En fait, j'avais formulé ici : viewtopic.php?p=615424#p615424 (dernier §) une proposition qui allait encore un peu plus loin : déterminer que le nom de la mère soit le nom de l'enfant par défaut.
Je suis content qu'il existe un mouvement qui aille dans ce sens.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
On n'attendait pas autre chose de toi.Yakiv a écrit : ↑25 mai 2021, 09:55:56C'est une très bonne idée.johanono a écrit : ↑25 mai 2021, 08:56:47Instaurer le double nom de famille à la naissance, le combat du collectif "Porte mon nom"
Le collectif "Porte mon nom" milite pour une automatisation du double-nom pour les enfants et pour une simplification des démarches pour ajouter un des deux noms.
suite
En fait, j'avais formulé ici : viewtopic.php?p=615424#p615424 (dernier §) une proposition qui allait encore un peu plus loin : déterminer que le nom de la mère soit le nom de l'enfant par défaut.
Je suis content qu'il existe un mouvement qui aille dans ce sens.
Si on comprend bien, dans ta logique, le père est désormais simplement bon à donner une goûte de sperme. Et à payer la pension alimentaire.
Re: Délires féministes : suite et pas fin
Suis-je si féministe que ça ? Je n'en ai pas l'impression en tout cas.
Non, mais la femme supporte une charge physiologique lorsqu'elle est enceinte qu'un homme ne supporte pas.
Je ne trouverais donc pas ça illogique que les enfants héritent par défaut du nom de leur mère.
De ton côté, quels sont tes arguments pour que les enfants héritent par défaut du nom du père ?
Re: Délires féministes : suite et pas fin
L'argument de la tradition et de l'équilibre familial. La mère transmet la vie, le père transmet le nom. Cela fait des siècles que ça se passe comme ça, alors pourquoi changer ?
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