Les animaux ont le droit d'être bêtes

[Ramdams]

Ou alors, sur la base du volontariat, avec indemnisation.

Logé, nourri, blanchi au frais du contribuable, c'est pas assez comme paye ?! icon_evil

Je parlais en dehors des murs des prisons. Les Roms pourraient être intéressés. Il y a déjà eu des cas où des parents roms avaient amputé leur rejeton des deux jambes pour susciter davantage la pitié des passants. Sans parler des affaires de proxénétisme. Vendre leur corps ne leur fait pas peur.

[omega95]

Ou alors, sur la base du volontariat, avec indemnisation.

Logé, nourri, blanchi au frais du contribuable, c'est pas assez comme paye ?! icon_evil

Je parlais en dehors des murs des prisons. Les Roms pourraient être intéressés. Il y a déjà eu des cas où des parents roms avaient amputé leur rejeton des deux jambes pour susciter davantage la pitié des passants. Sans parler des affaires de proxénétisme. Vendre leur corps ne leur fait pas peur.

Avec un peu de chance, y'en a même qui pourraient oublié qu'il avaient déjà donné un rein et vendre le second par inadvertance... icon_mrgreen ;lau;

[Nombrilist]

Les molécules médicamenteuses sont TOUJOURS essayées sur des humains avant d'être commercialisées.

[Ramdams]

Oui mais en amont, au stade de la recherche, ce sont toujours les animaux qui trinquent.

[Nombrilist]

Encore heureux. Tu préfèrerais que l'on tue des humains ? As-tu entendu parler du scandale du thalidomide ?

[Nombrilist]

Tiens, j'ai eu accès à la feuille de route de la Commission Européenne en matière de classification des perturbateurs endocriniens. Certains pays, dont la France, poussent pour une réglementation drastique. D'après les données expérimentales, on classerait les PE en 3 classes:

- Avérés (effets nocifs avérés sur l'organisme et mécanisme de perturbation endocrinienne prouvé)
- Suspectés (effets nocifs suspectés sur l'organisme et mécanisme de perturbation endocrinienne prouvé)
- Suspectables (mécanisme de perturbation endocrinienne prouvé)

Les mécanismes sont identifiés par étude in vivo (sur l'animal) et in vitro. Les effets nocifs ne peuvent être identifiés QUE in vivo. On s'aperçoit donc que grâce aux abrutis qui ont réussi à interdire l'expérimentation animale en cosmétique, on ne pourra JAMAIS identifier les perturbateurs endocriniens dans ces produits. Ce n'est pas moi qui l'invente, c'est marqué texto dans la feuille de route de la commission !

[Georges]

Oui mais en amont, au stade de la recherche, ce sont toujours les animaux qui trinquent.

C'est faux, de nombreux étudiants paient une partie de leurs études en servant de cobaye aux laboratoires. Certains SDF le fond également.

[Ramdams]

Ah bon ? Si tu peux me donner quelques adresses, je serais intéressé pour me faire un peu d'argent de poche.

[Nombrilist]

C'est exact. J'ai moi-même été approché en école d'ingénieur. Le gars tentait de recruter parmi les élèves.

[Ramdams]

Je suis déjà tombé sur un appel à "cobayes" pour goûter plusieurs eaux minérales mais je n'ai jamais été témoin personnellement d'expérimentations plus "à risques".

[Nombrilist]

Tiens, j'ai appris aujourd'hui que l'industrie cosmétique est en fait toujours autorisée par la réglementation cosmétique à utiliser des produits chimiques qui ont été testés sur animaux. Simplement, la réglementation cosmétique interdit l'expérimentation animale sur les substances qui ne sont pas concernées par d'autres réglementations (type REACh) qui elles imposeraient l'expérimentation animale. En gros, les substances utilisées dans les cosmétiques qui sont produites/importées à moins d'une tonne par an ne seront jamais testées sur animaux. Au dessus d'une tonne, elles le seront toutes à partir de 2018.