Val Fourré : des briades de protection des médecins bientôt mises en place
- Baltorupec
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Re: Val Fourré : des briades de protection des médecins bientôt mises en place
On devrait interdire les agresseurs de médecins de soins qu'ils crèvent de gangrène.
“Tout ce que tu peux régler pacifiquement, n’essaie pas de le régler par une guerre ou un procès.” Jules Mazarin
- mordred
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Re: Val Fourré : des briades de protection des médecins bientôt mises en place
Il fut un temps où les français n'avaient pas peur des nord-africains et autres. En ces temps que j'ai connu, ils étaient traités de bougnouls; de bon à ramasser les poubelles; de ratons. Aujourd'hui, je pense que leurs fils se vengent, d'une certaine façon.
Je serais président, j'ordonnerais une amnistie générale. Et pour les délits à suivre; pour ceux qui n'auraient pas compris; la Guyane. Et pour longtemps. Des "souchiens" seraient bien sûr les bienvenus.
Je serais président, j'ordonnerais une amnistie générale. Et pour les délits à suivre; pour ceux qui n'auraient pas compris; la Guyane. Et pour longtemps. Des "souchiens" seraient bien sûr les bienvenus.
"La mer était très forte. Je pense qu'il était bien trop vieux pour aller à la pêche aux maquereaux".
Feu Dédé la fleur; bien souffrant (Ouessant) et Yann Tiersen (mondialement connu).
Feu Dédé la fleur; bien souffrant (Ouessant) et Yann Tiersen (mondialement connu).
Re: Val Fourré : des briades de protection des médecins bientôt mises en place
Le ras-le-bol des médecins des Mureaux Quentin Laurent 19.04
Le départ de la jeune femme médecin agressée aux Mureaux relance le débat sur l’avenir des praticiens en zone sensible.
« Je n’ai pas envie de risquer ma vie tous les jours, j’estime que je ne peux plus exercer mon métier dans des conditions convenables. » En janvier dernier, cette jeune médecin généraliste se faisait braquer à l’arme à feu dans son propre cabinet, situé dans le quartier de Grand-Ouest aux Mureaux. Trois mois après, elle a décidé de quitter la ville pour aller exercer autre part.
A regret, elle l’affirme. « On a toute notre place pour faire notre travail ici », lâche-t-elle pourtant d’une voix désolée. « Mais pas dans ces conditions », reprend-elle.
Après cette agression, la totalité des professionnels de la santé de la ville s’était mis en grève pour soutenir la jeune femme, demandant que des mesures soient prises pour assurer la sécurité des praticiens. De son côté, la police se dit toujours vigilante mais rappelle qu’il s’agissait là d’un « acte isolé ».
(...)
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