Le chef de police fait classer une plainte contre son fils
tu as raison d'avoir peu d'espoir, mais c'est aussi la faute des français qui votent avec leurs pieds et font confiance aux slogans à 2 balles de la droite avant de découvrir qu'on leur a menti.racaille a écrit : C'est d'ailleurs assez marrant de constater que l'idée de passe-droit soit si bien ancré chez certains français. C'est tellement répandu que ça en devient "normal" et, selon ces derniers, ça ne vaut même pas la peine d'être relevé.
La question de la probité en politique et dans la fonction publique sera peut-être une petite composante de la prochaine campagne présidentielle - si les thèmes de l'insécurité et de la xénophobie lui laissent un peu de place - mais j'ai peu d'espoir que les choses changent dans les faits.
Personellement, je ne me suis jamais investi dans la politique, seulement dans le syndicalisme privé (oui ça existe) et ce phénomène que tu soulignes, je le vois tous les jours, ainsi que d'autres comme les faux droits, car cela aussi est un fléau de la culture française.
Et même ? Tout père tente d'influencer la décision, non ? L'éboueur municipal va faire les yeux doux au flic pour qu'il retire sa plainte contre "le bon petit", le chômeur maghrébin va sanglotter en parlant de ses 8 enfants et du mal qu'il se donne, le pompier va la jouer "collégiale", etc. C'est humain, et tout à fait normal.Enfin Mps la loi est pour tout le monde la même, que le père soit ami ou non de Nicolas Sarkozy, je pense qu'avec sa fonction il a influencé la décision.
Finalement, c'est plus délicat quand on a une fonction supérieure, qui risque d'attiser la vindicte.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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