c'est un grand flop ! Un coût affreux pour surveiller ces travaux, des asbl qui accueillent ces forçats et leur font la vie belle (tu n'es pas venu mais on va cocher té case), bref,du n'importe quoi ...
Voila la suggestion d'un ingénieur de mes amis :
TRAVAUX D'INTÉRÊT GÉNÉRAL À VÉLO
Les travaux d'intérêt général actuellement prescrits comme alternative à une amende ou un emprisonnement ont l'inconvénient de nécessiter une surveillance et/ou un contrôle qu'il n'est pas toujours facile de mettre en œuvre sans perturber le travail des personnes qui en ont la charge.
Par ailleurs, ces travaux sont souvent prestés avec peu de motivation, à la mesure de la satisfaction de ceux au profit desquels ils sont fournis.
C'est pourquoi il serait souhaitable de mettre à la disposition du Pouvoir Judiciaire un type supplémentaire de travaux d'intérêt général.
Ce travail consisterait à pédaler sur un vélo stationnaire, dont la roue serait freinée par un petit générateur électrique connecté au réseau 220 V à travers un compteur d'énergie (compteur plombé).
Au lieu d'être condamné à "X" heures de travaux d'intérêt général, le délinquant serait tenu de fournir "Y" kiloWattheures au réseau électrique.
Certes, la quantité d'énergie ainsi fournie serait très faible et l'aide qu'elle apporterait à la Belgique pour respecter les prescriptions du protocole de Kyoto serait négligeable.
Mais ce nouveau type de travail aurait de nombreux avantages :
1) La production d'énergie non polluante est dans l'air du temps.
2) Le délinquant peu motivé pédalerait à faible puissance (p.ex. 20 W) et serait ainsi tenu de pédaler longtemps alors que le délinquant motivé pédalerait à plus forte puissance (p.ex. 80 ou 100 W) de façon à en finir au plus vite, ce qui donnerait aux délinquants un goût de la motivation (qui leur fait souvent défaut) et libèrerait plus vite le vélo pour un autre délinquant.
3) Comme il faudrait beaucoup de vélos, une société pourrait être constituée pour fabriquer des vélos correspondant au modèle présenté ci-dessus, créant ainsi des emplois nouveaux.
4) Ces vélos pourraient être installés dans toutes les prisons et dans toutes les commissariats de police, si bien que les peines pourraient être infligées sans retard : actuellement, des petits délinquants (voleurs de sacs, pickpockets, etc.) sont relâchés parce qu'il n'y a pas de place pour les enfermer et ils ne sont jugés que beaucoup plus tard, si bien que la peine infligée n'a plus l'effet attendu. De la même façon qu'un policier téléphone au Parquet pour signaler un excès de vitesse et reçoit l'ordre de retirer sur-le-champ le permis de conduire pour 8 jours, il recevrait l'ordre de faire fournir par le délinquant 0,5 kWh (p.ex.) sur-le-champ avec une paire de menottes reliant un poignet au guidon, puis encore 3 kWh (p.ex.) dans les 8 jours qui suivent.
5) Puisque la peine serait infligée pour un nombre déterminé de kWh, elle pourrait être fractionnée en autant de séances que le délinquant le voudrait, étant entendu qu'elle devrait être entièrement prestée avant une date fixée par le Parquet. Les vélos seraient équipés d'une espèce de composteur dans lequel le délinquant devrait introduire la carte donnée par le policier ; sur cette carte seraient indiqués le nom du délinquant, le nombre de kWh à fournir avant telle date et l'adresse du poste de police auquel elle doit être retournée à la fin du travail : à la fin de chaque séance de pédalage, le délinquant composterait sa carte où s'inscrirait le nombre de kWh fournis, si bien que ces séances pourraient être prestées à des endroits différents.
6) Des vélos de différentes tailles pourraient être prévus, si bien que même les jeunes délinquants de petite taille et les gros obèses pourraient être condamnés à pédaler.
7) Certains jeunes délinquants pourraient prendre goût au cyclisme et grâce à la motivation acquise en pédalant au commissariat, ils pourraient peut-être devenir de grands champions.
travaux d'intérêt général.
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