la castration physique
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Bonsoir.
Que faut-il en penser ?
Serait-elle efficace contre les récidivistes ?
Resterait-il de la violence physique, non plus sexuelle ?
Le Gouvernement en parle aujourd'hui sur France 2 :
La castration physique est interdite en France
"Quand quelqu'un dit : 'Je sais que je suis dangereux, je ne veux pas l'être et je demande à pouvoir être libéré de mes pulsions', c'est quelque chose qui nous interpelle", ajoute Michèle Alliot-Marie.
Un pédophile récidiviste, Francis Evrard, a écrit au président Nicolas Sarkozy pour lui demander le droit de subir "une ablation des testicules par chirurgie".
Pour l'instant, la castration physique est interdite en France. Elle existe cependant ailleurs, rappelle la ministre.
Elle refuse cependant de dire si une telle disposition sera introduite dans le projet de loi sur la lutte contre la récidive criminelle qu'elle prépare et qui sera soumis à l'Assemblée nationale en novembre.
"Un sujet aussi délicat mérite une réflexion approfondie, une consultation des experts", fait-elle valoir. "C'est une question qui touche à l'éthique : un ministre ne saurait y répondre seul."
Que faut-il en penser ?
Serait-elle efficace contre les récidivistes ?
Resterait-il de la violence physique, non plus sexuelle ?
Le Gouvernement en parle aujourd'hui sur France 2 :
La castration physique est interdite en France
"Quand quelqu'un dit : 'Je sais que je suis dangereux, je ne veux pas l'être et je demande à pouvoir être libéré de mes pulsions', c'est quelque chose qui nous interpelle", ajoute Michèle Alliot-Marie.
Un pédophile récidiviste, Francis Evrard, a écrit au président Nicolas Sarkozy pour lui demander le droit de subir "une ablation des testicules par chirurgie".
Pour l'instant, la castration physique est interdite en France. Elle existe cependant ailleurs, rappelle la ministre.
Elle refuse cependant de dire si une telle disposition sera introduite dans le projet de loi sur la lutte contre la récidive criminelle qu'elle prépare et qui sera soumis à l'Assemblée nationale en novembre.
"Un sujet aussi délicat mérite une réflexion approfondie, une consultation des experts", fait-elle valoir. "C'est une question qui touche à l'éthique : un ministre ne saurait y répondre seul."
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Il n'y a pas grand chose a en penser. Deux remarques cependant :
- ce n'est pas réversible
- Mécaniquement, cela n'élimine pas les pulsions, les diminue seulement, et n'empêche pas le castra volontaire d'avoir une érection.
En clair, la castration chimique est plus efficace.
A noter aussi que celui qui demande cela le fait dans le but d'être libéré, bien que les termes de son courrier(public) ne le stipulent pas. Le reste de la démarche est dans l'ombre des cabinets de la magistrature.
- ce n'est pas réversible
- Mécaniquement, cela n'élimine pas les pulsions, les diminue seulement, et n'empêche pas le castra volontaire d'avoir une érection.
En clair, la castration chimique est plus efficace.
A noter aussi que celui qui demande cela le fait dans le but d'être libéré, bien que les termes de son courrier(public) ne le stipulent pas. Le reste de la démarche est dans l'ombre des cabinets de la magistrature.
Je pense comme Lancelot que la castration chimique est plus efficace même si elle est moins spectaculaire et a une portée moins symbolique. A noter que MAM s'est exprimée intelligemment sur le sujet en évoquant la nature éthique du problème qu'un ministre seul ne saurait résoudre. Cette modestie, tout en laissant les pistes ouvertes, est tout à son honneur.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
En fait, il y a deux pathologies sexuelles très différentes :
- l'une est surtout mentale, comme le plaisir de manger de la chair fraîche ou de dominer plus faible que soi, comme les pédophiles. Dans ces cas, la castration physique n'a aucun effet, et la perversion restera la même, même s'il faut avoir recours à des "instruments". La catastration chimique ne sera que d'un faible secours, diminuant plus ou moins les pulsions, mais toujours sujette à la prise de médicaments, ce qui est très difficile à contrôler.
- mais il existe aussi des pulsions sexuelles violentes, d'origine "mécanique". On se souvent de l'"assassin de la lune blanche", il y a une bonne trataine d'année, qui tous les mois tuait une prostituée. Son tableau de chasse était bien de 14 ou 15 victimes quand la Police a enfin pu mettre la main sur lui.
Mari et père de famille modèle, artisan très apprécié, il souffrait d'un genre de kyste mal placé, qui le rendait soudain enragé ! Or, en un peu moins de deux ans, il avait écrit pas moins de 7 lettres au Procureur , au Maire, et à d'autres personnalités, pour expliquer sa pathologie, et demander une aide financière à une indispensable intervention. Il n'avait jamais reçu la moindre réponse !
Surtout ne me répondez pas sur la gratuité actuelle de ce type d'intervention !
Mais ce n'est pas sur un forum qu'on va décréter ce qui peut se faire ou non. Laissons les sexologues décider, en respectant leur serment d'Hyppocrate.
- l'une est surtout mentale, comme le plaisir de manger de la chair fraîche ou de dominer plus faible que soi, comme les pédophiles. Dans ces cas, la castration physique n'a aucun effet, et la perversion restera la même, même s'il faut avoir recours à des "instruments". La catastration chimique ne sera que d'un faible secours, diminuant plus ou moins les pulsions, mais toujours sujette à la prise de médicaments, ce qui est très difficile à contrôler.
- mais il existe aussi des pulsions sexuelles violentes, d'origine "mécanique". On se souvent de l'"assassin de la lune blanche", il y a une bonne trataine d'année, qui tous les mois tuait une prostituée. Son tableau de chasse était bien de 14 ou 15 victimes quand la Police a enfin pu mettre la main sur lui.
Mari et père de famille modèle, artisan très apprécié, il souffrait d'un genre de kyste mal placé, qui le rendait soudain enragé ! Or, en un peu moins de deux ans, il avait écrit pas moins de 7 lettres au Procureur , au Maire, et à d'autres personnalités, pour expliquer sa pathologie, et demander une aide financière à une indispensable intervention. Il n'avait jamais reçu la moindre réponse !
Surtout ne me répondez pas sur la gratuité actuelle de ce type d'intervention !
Mais ce n'est pas sur un forum qu'on va décréter ce qui peut se faire ou non. Laissons les sexologues décider, en respectant leur serment d'Hyppocrate.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Autant vous me connaissez, je suis assez radical aussi dans mes propos.
Mais là, je m'interroge surtout sur le "apres" de l'intervention.
La haine ou l'envie ne disparaitront pas de la tête des delinquants sexuels.
Le risque qu'ils compensent par une autre violence est loin d'être negligeable, on en remediant à un probleme, j'ai bien peur que l'on en cree un autre.
Mais là, je m'interroge surtout sur le "apres" de l'intervention.
La haine ou l'envie ne disparaitront pas de la tête des delinquants sexuels.
Le risque qu'ils compensent par une autre violence est loin d'être negligeable, on en remediant à un probleme, j'ai bien peur que l'on en cree un autre.
Maintenant que j'habite en province, je suis devenu peace and love. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ( surtout les descendants d'immigrés des cités que j'adore dorénavant )
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C'est bien ce que je pense.lucifer a écrit :Autant vous me connaissez, je suis assez radical aussi dans mes propos. Mais là, je m'interroge surtout sur le "après" de l'intervention.La haine ou l'envie ne disparaitront pas de la tête des delinquants sexuels.
Le risque qu'ils compensent par une autre violence est loin d'être negligeable, on en remediant à un probleme, j'ai bien peur que l'on en cree un autre.
Faudrait pouvoir "entrer" dans le cerveau et bloquer les désirs sexuels des pervers.
Mais là aussi, c'est un autre débat !
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Bonjour,
Mps je te demanderais un peu plus de respect envers les intervenants, ce que l'on dit pour certains est valable pour tous, à savoir le respect pour tous les membres.
Merci d'avance.
A plus tard,
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Merci d'avance.
A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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Bonjour,
Mps si on part de ton principe il n'y aura plus de débats d'ici quelques temps, et ça c'est inconcevable, donc comme on le dit depuis 1 an, du respect pour tous les membres du forum.
La parenthèse est close.
A plus tard,
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