Emmanuel, tu devrais te renseigner. Certains traumatismes de l'enfance cassent littéralement un indivdu,même si l'effet spectaculaire n'apparait que bienpous tard.
Un enfant qui a eu une éducation ferme, affectueuse, pleine d'humour et formant son mental sera au contraire blindé contre les pires vicissitudes.
L'école en France : une souffrance pour les enfants ?
Alors Mps ne fait pas la morale à quelqu'un qui justement est renseigné !!! MOI, et oui MOI, j'ai eu une formation de plus de 300 heures de théoriques en psychiatrie et pédopsychiatrie, plus de 50 heures en pédiatrie, et plus de 300 heures de pratique EN ETABLISSEMENT PSYCHIATRIQUE.mps a écrit :Emmanuel, tu devrais te renseigner. Certains traumatismes de l'enfance ...
Avec des jeunes, des moins jeunes, pleins de gens qui font des TDS, des psychotiques, des névrosés, et des gens qui ont eu des psychotraumatismes.
Alors les connaissances je les ai, et certes la construction de l'individu se fait notamment par l'Oedipe (selon la psychanalyse freudienne) et durant son enfance (stade du miroir, objet transitionnel, renseigne toi MPS, lis un peu de Winnicot et reviens me voir). Mais le psychotraumatisme (qui peut pousser au suicide un individu) il peut arriver à n'importe quel âge, par n'importe quel fait, et plusieurs fois dans la vie...
Donc ton "tu devrais te renseigner", je le prend très mal, mais je te le renvoie, car c'est à toi qu'il s'adresse davantage.
Je pense qu'il n'y en a pas qu'une. Que l'on ne peut pas tout expliquer par l'éducation que l'on a reçu (notamment par ses parents).
Tu vois on peut donc aborder le psychotraumatisme, le stress au travail (notamment dû au monde contemporain compétitif et visant la rentabilité à tout prix), le deuil non réussi (d'un individu, d'un objet, ...), la souffrance physique, et j'en passe, je trouve ça bête de discutailler sur les raisons du suicide. Peut-être que notre cher juriste n'avait pas si tort.
Tu vois on peut donc aborder le psychotraumatisme, le stress au travail (notamment dû au monde contemporain compétitif et visant la rentabilité à tout prix), le deuil non réussi (d'un individu, d'un objet, ...), la souffrance physique, et j'en passe, je trouve ça bête de discutailler sur les raisons du suicide. Peut-être que notre cher juriste n'avait pas si tort.
Emmanuel, Cobalt - si vous reveniez donc sur le thème réel du fil et de ce rapport qui traitent de la souffrance de l'enfant à l'école..
une chose m'étonne tout de même.. si l'école ne va pas si mal que cela, en théorie c'est sans doute vrai.. mais alors, pourquoi ne pas avoir intégrer dans ce rapport les solutions puisqu'est concerné "qu'un" enfant sur dix ?
Peut-être parce que le nombre de personnes concernées est important et que justement ce sont des personnalités, pas qu'un chiffre.
une chose m'étonne tout de même.. si l'école ne va pas si mal que cela, en théorie c'est sans doute vrai.. mais alors, pourquoi ne pas avoir intégrer dans ce rapport les solutions puisqu'est concerné "qu'un" enfant sur dix ?
Peut-être parce que le nombre de personnes concernées est important et que justement ce sont des personnalités, pas qu'un chiffre.
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Tu es mort de rire ...tout cela pour dire qu'au fond tu ne sais rien, et qu'il n'y pas de solution. Et cela après 650 heures théoriques et de la pratique ...Emmanuel a écrit : Mdr !!! Donc on a compris que les parents et leur éducation qu'il transmette à l'enfant est en grande partie responsable des tentatives de suicide de l'enfant.
Mais une question, à partir de quand, quel âge est-on soit même responsable de son suicide ?
Vous n'allez pas me dire qu'un grand enfant de 54 ans qui se suicide, c'est à cause de l'éducation de ses parents... icon_cheesygrin
C 'est vraiment utile tout ce temps perdu pour en arriver à une conclusion de journaliste? icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin
GIBET
Le silence est un ami qui ne trahit jamais
Emmanuel, ta petite formation (350 heures, on rigole) ne doit pas te permettre d'éluder le fond du problème.
Devant une difficulté analogue, un indvidu mordra sur sa chique, fera appel à se créativité, et se redressera, alors que son voisin sombrera immédiatement.
La différence ? Principalement sa musculation mentale ! Un enfant entraîné progressivement à surmonter des difficultés, voire à la ignorer pour regarder plus loin, et bien construit émotivement, réagira avec une force et une sérénité qu'on ne peut attendre d'un petit chapon élevé entre parents nerveux et télé.
Devant une difficulté analogue, un indvidu mordra sur sa chique, fera appel à se créativité, et se redressera, alors que son voisin sombrera immédiatement.
La différence ? Principalement sa musculation mentale ! Un enfant entraîné progressivement à surmonter des difficultés, voire à la ignorer pour regarder plus loin, et bien construit émotivement, réagira avec une force et une sérénité qu'on ne peut attendre d'un petit chapon élevé entre parents nerveux et télé.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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