Flics, profs, même combat : confrontés à la violence sur le terrain, ils ne sont absolument pas soutenus par leur hiérarchie. L'agression qui s'est produite à Créteil n'est qu'un fait divers parmi d'autres qui ne sont pas médiatisés. Il est salutaire que des profs se révoltent sur les réseaux sociaux pour dénoncer la couardise de leur hiérarchie et ainsi, peut-être, forcer le gouvernement à prendre les choses en mains.Les professeurs dénoncent l’abandon de leur hiérarchie avec le hashtag #pasdevague
REVUE DE TWEETS - À la suite de la diffusion d’une vidéo d’un lycéen braquant un professeur, les enseignants dénoncent en masse sur Twitter l’abandon de leur hiérarchie, face à la violence en milieu scolaire.
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Les professeurs dénoncent l’abandon de leur hiérarchie avec le hashtag #pasdevague
Les professeurs dénoncent l’abandon de leur hiérarchie avec le hashtag #pasdevague
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Re: Les professeurs dénoncent l’abandon de leur hiérarchie avec le hashtag #pasdevague
Violence à l'école : les Français demandent plus d'autorité
25 oct. 2018, 18:00:57
SONDAGE - La vidéo d'un lycéen braquant son enseignante a choqué une large majorité des Français, selon une enquête Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et Franceinfo. Jean-Michel Blanquer suscite…
Pour l'immense majorité des personnes interrogées (91 %), cette séquence révèle surtout un climat de violence généralisé dans les établissements scolaires. MYCHELE DANIAU/AFP
SONDAGE - La vidéo d'un lycéen braquant son enseignante a choqué une large majorité des Français, selon une enquête Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et Franceinfo. Jean-Michel Blanquer suscite quant à lui toujours l'adhésion.
Un jeune homme pointant son pistolet vers le visage de son enseignante, qui, sous les quolibets, obtempère à ses ordres: diffusée sur les réseaux sociaux, cette vidéo a profondément choqué les Français, comme le souligne un sondage Odoxa réalisée pour Le Figaro et Franceinfo. Pour l'immense majorité des personnes interrogées (91 %), cette séquence révèle surtout un climat de violence généralisé dans les établissements scolaires. Un point de vue que les électeurs de La France insoumise, du PS et de LaREM partagent, mais dans une moindre proportion que ceux de LR ou du RN.
» LIRE AUSSI - L'enseignante braquée à Créteil «n'arrive pas à dormir» depuis les faits
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- les orteils
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Re: Les professeurs dénoncent l’abandon de leur hiérarchie avec le hashtag #pasdevague
A l'éducation Nationale comme souvent ailleurs, on essaie toujours d'éviter la mauvaise publicité, ce qui se traduit par un soutien affiché mais très relatif auprès des enseignants.
C'est toujours hier que commence le futur, mais la France continue de penser que tout commence demain. (Boualem SANSAL)
Re: Les professeurs dénoncent l’abandon de leur hiérarchie avec le hashtag #pasdevague
Je pense que les choses sont en train d'évoluer.les orteils a écrit : ↑25 oct. 2018, 20:14:41A l'éducation Nationale comme souvent ailleurs, on essaie toujours d'éviter la mauvaise publicité, ce qui se traduit par un soutien affiché mais très relatif auprès des enseignants.
- Nombrilist
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Re: Les professeurs dénoncent l’abandon de leur hiérarchie avec le hashtag #pasdevague
Mais comment on fait concrètement ? On créée une salle prison à l'intérieur de l'école, on y met les énergumènes et on leur dit de faire un battle royal ?
Re: Les professeurs dénoncent l’abandon de leur hiérarchie avec le hashtag #pasdevague
Les élèves et leurs parents doivent (ou devraient) savoir que tout comportement condamnable doit faire l'objet d'une sanction, et que le professeur sera aidé par sa hiérarchie. La première sanction suffit généralement à la plupart des enfants dissipés (heure de colle, puis exclusion de 3 jours. Au delà de 2 exclusions le comportement pose un réel problème social et les enfants par trop difficiles doivent être séparés des autres en les mettant dans des structures fermées.Nombrilist a écrit : ↑27 oct. 2018, 10:36:07Mais comment on fait concrètement ? On créée une salle prison à l'intérieur de l'école, on y met les énergumènes et on leur dit de faire un battle royal ?
Il se trouve que j'ai été prof (un an seulement mais ça m'a suffit) dans une structure ou les enfants étaient placés par le juge. Parmi eux il y avait des drogués (pas mal) et même des assassins. Autant dire que l'encadrement doit être formé à ce genre d'enfants.
Au delà de mon expérience qui n'a que peu d'intérêt je pense que ces enfants doivent être séparés des autres car ils constituent pour les autres des objets d'admiration.
NB: ce type de centres existe déjà mais est d'un nombre ridiculement bas (moins de 30 si mes souvenirs sont exacts avec une dizaine d'enfants dans chacun ).
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