J'avais exprimé (maladroitement peut-être) un avis inverse: laisser les vacances d'été comme une coupure essentielle de l'année et raccourcir les vacances intermédiaires, celles de Toussaint et de Février, à 1 semaine. Les vacances de Noel et Pâques doivent, selon moi, rester à 15 jours car elles coupent carrément un trimestre alors que celle de milieu de trimestre, raccourcies à une semaine, permettraient de regagner ce qu'il faut de 1/2 journées pour revenir à une semaine de 4 jours au lieu de 4.5.Aiden a écrit : ↑26 août 2017, 09:29:59Les vacances scolaires sont effectivement un sujet importants, notamment les vacances estivales. Je suis d'accord pour dire que ces dernières devraient être raccourcies d'un mois. Si l'on se réfléchit du point de vu de la réussite scolaire de l'élève, on ne peut que constater l'évidence: elles font oublier une partie non-négligeable du programme. Bien évidemment, l'oubli n'est pas uniquement lié aux vacances. Les méthodes des professeurs pourraient être interrogés. Mais elles jouent tout de même un rôle. Cette évidence soulève deux questions, dont une a été soulevé par les discussions. La première concerne le tourisme. Comme il a été proposé, on pourrait peut-être faire varier un peu les dates des vacances pour compenser. Mais même si cette réforme doit impacter les grandes stations touristiques, ce n'est pas une raison pour faire marche arrière. Les parents pourraient très bien essayer de trouver d'autres lieux moins connus , peut-être plus près de chez-eux ce qui ferrait tourner l'économie locale tout en étant neutre sur le tourisme national. Cela pourrait peut-être servir à rééquilibrer en partie le territoire national. Parlons maintenant des entreprises. Certes, un départ massif pourrait les gêner. Là encore, l'étalement des vacances est une solution partielle. Que fais t'on si cela empêche certains de partir? Réponse: rien. Vivre bien ne nécessite pas nécessairement de se rendre à la plage chaque année. Et puis les parents pourraient partir à un autre moment, lors des périodes scolaires. Certes les enfants seraient laissés derrière, peut-être chez les grands-parents. Cela ne me choquerait pas. La deuxième question concerne la localisation de ces vacances. Il est de plus en plus difficile de prévoir le ou les mois les plus chauds. Depuis quelques années je me rend compte que septembre devient plus agréable que juillet et août. Peut-être faut-il en mettre un peu en juin-juillet puis en septembre. Je ne sais pas trop.
Pourquoi raccourcir les vacances me direz-vous? Eh bien pour prolonger certaines vacances intermédiaires. Je pense particulièrement aux vacances de Noël qui ne sont pas très reposantes. J'ai presque envie de dire que toutes les vacances secondaires devraient idéalement faire trois semaine. Les devoirs et les révisions fait que les élèves ont l'esprit partagé entre profiter des vacances et faire attention à la rentrée qui se rapproche. Ce n'est peut-être pas universel, mais mon expérience me dit que ce cas arrive. Trois semaines permettraient donc de vraiment profiter des congés scolaires. Ou alors il faudrait penser à une autre organisation du temps scolaire: moins de devoirs lors des vacances et/ou une réduction du temps scolaire. Dernière chose, les vacances d'hiver m'ont toujours paru moins utile que les autres mais je ne sais pas pourquoi.
Évidemment ce message concerne les vacances du primaire et du secondaire, pas des vacances dans le supérieur.
Quant aux vacances, les parents, à l'exception de ceux qui sont enseignants, n'ont pas autant de vacances que leurs enfants. Le tourisme n'aurait donc à pâtir que du raccourci des vacances de milieu de trimestre.