Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Venez nous parler des problèmes de nos écoles ( service minimum, l'accueil des enfants, effectifs dans les classes ... )
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Nombrilist
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Nombrilist » 07 juin 2018, 08:02:54

Si ça te choque pas, c'est que tu n'es pas dans la branche. Le diplôme, une fois que tu es en école, tu peux faire n'importe quoi, à la fin tu l'as quand même.

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Yakiv
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Yakiv » 07 juin 2018, 17:07:15

Nombrilist a écrit :
07 juin 2018, 08:02:54
Si ça te choque pas, c'est que tu n'es pas dans la branche. Le diplôme, une fois que tu es en école, tu peux faire n'importe quoi, à la fin tu l'as quand même.
Le taux de diplômés des entrants est si haut que ça ?
J'aurais peut-être du tenter dans ce cas.

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Nombrilist
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Nombrilist » 08 juin 2018, 07:43:03

Il suffit de réussir les concours, et après c'est bon, ça roule. De toute façon, l'école est bien moins difficile que le concours lui-même.

Dianthus
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Dianthus » 08 juin 2018, 15:59:37

Yakiv a écrit :
06 juin 2018, 20:05:30
()Autrement dit, "lire, écrire, compter", c'est peut-être suffisant pour les humanoïdes (qu'on pourra facilement remplacer par des ordinateurs, ce qui est déjà quasiment le cas), mais pas pour des êtres humains.
C'est aussi en apprenant à respecter les autres qu'on devient humain.
L'uniforme comme signe d'appartenance à son école, peut aider à cet apprentissage.

https://www.youtube.com/watch?v=IxwKTeoTBB4
Et pendant ce temps, les déchets nucléaires sont stockés dans les piscines...

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Yakiv
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Yakiv » 08 juin 2018, 19:09:15

Dianthus a écrit :
08 juin 2018, 15:59:37
C'est aussi en apprenant à respecter les autres qu'on devient humain.
L'uniforme comme signe d'appartenance à son école, peut aider à cet apprentissage.

https://www.youtube.com/watch?v=IxwKTeoTBB4
Oui ça dans l'absolu, j'y serais plutôt favorable.

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Jeff Van Planet
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Jeff Van Planet » 08 juin 2018, 19:39:06

L'uniforme à un effet bénéfique sur le porte monnaie des parents qui voient leurs enfants user moins de vêtements et avoir besoin de moins de diversité.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
J.Saramago

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Nolimits
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Nolimits » 08 juin 2018, 20:05:27

Jeff Van Planet a écrit :
08 juin 2018, 19:39:06
L'uniforme à un effet bénéfique sur le porte monnaie des parents qui voient leurs enfants user moins de vêtements et avoir besoin de moins de diversité.
Tu crois vraiment dans ce que tu viens d'écrire ? (parce que tu sais très bien que les mômes ne changent pas de fringues parce...qu'elles sont usées mais juste parce que Nike vient de sortir la "X Max Plus V3 Vintage colored limited edition" et qu'il y a "déjà 3 copines qui l'ont"... :tel:

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Jeff Van Planet
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Jeff Van Planet » 09 juin 2018, 07:42:21

Nolimits a écrit :
08 juin 2018, 20:05:27
Jeff Van Planet a écrit :
08 juin 2018, 19:39:06
L'uniforme à un effet bénéfique sur le porte monnaie des parents qui voient leurs enfants user moins de vêtements et avoir besoin de moins de diversité.
Tu crois vraiment dans ce que tu viens d'écrire ? (parce que tu sais très bien que les mômes ne changent pas de fringues parce...qu'elles sont usées mais juste parce que Nike vient de sortir la "X Max Plus V3 Vintage colored limited edition" et qu'il y a "déjà 3 copines qui l'ont"... :tel:
Je fais mieux que de le croire, je l'ai vu de mes yeux vu. Quand j'ai vu la taille de l'armoire à vêtements des enfants d'amis qui vivent en Angleterre, j'ai halluciné.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
J.Saramago

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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Nombrilist » 09 juin 2018, 08:53:40

Nolimits a écrit :
08 juin 2018, 20:05:27
Jeff Van Planet a écrit :
08 juin 2018, 19:39:06
L'uniforme à un effet bénéfique sur le porte monnaie des parents qui voient leurs enfants user moins de vêtements et avoir besoin de moins de diversité.
Tu crois vraiment dans ce que tu viens d'écrire ? (parce que tu sais très bien que les mômes ne changent pas de fringues parce...qu'elles sont usées mais juste parce que Nike vient de sortir la "X Max Plus V3 Vintage colored limited edition" et qu'il y a "déjà 3 copines qui l'ont"... :tel:
On sent le vécu là :star3:

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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Papibilou » 09 juin 2018, 10:06:28

Nolimits a écrit :
08 juin 2018, 20:05:27

Tu crois vraiment dans ce que tu viens d'écrire ? (parce que tu sais très bien que les mômes ne changent pas de fringues parce...qu'elles sont usées mais juste parce que Nike vient de sortir la "X Max Plus V3 Vintage colored limited edition" et qu'il y a "déjà 3 copines qui l'ont"... :tel:
Pas faux en dehors de l'école , mais au moins pour le temps de l'école ils ont une tenue d'été et une d'hiver, point, alors que sans uniforme ils adorent faire "peter" la tenue à la mode.

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Jeff Van Planet
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Jeff Van Planet » 09 juin 2018, 11:00:58

on est bien d'accord.
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
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asterix
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par asterix » 09 juin 2018, 22:37:39

Dianthus a écrit :
06 juin 2018, 13:18:16
Calvero a écrit :
05 juin 2018, 10:13:23
()
Le but d'un enfant c'est qu'il s'émancipe qu'il laisse exploser sa créativité, sa personnalité et nous à l'envers de ça on va vers l'uniformisation...
()
Le but n'est-il pas d'apprendre à l'enfant à lire, écrire, compter et respecter les profs et les autres élèves ?
D'autant que nous savons aujourd'hui ce que c'est qu'un enfant émancipé qui laisse exploser sa créativité peut faire: foutre la m.... et dire que c'est de l'art, balancer une canette de coca par la vitre de la voiture à 180 sur le périph, harceler les autres par jeux, maltraiter les biens publics et privés, conformément à sa créativité allergique à la beauté écœurante du conformisme . Et du coup, nous voilà devant une belle uniformisation: un société éclatée, mais bien d'accord sur une chose: la défiance, le consumérisme, le narcissisme.
Le monde devient comme ça depuis les grandes réformes d'éducations des années 70. J'ai moi même fait la première partie de ma scolarité dans l'ancien monde, puis la fin dans le nouveau. J'ai vu l'arrivée de l'irrespect des gens et des choses, de la nourriture et des valeurs morales. Il se disait que c'était normal, et que les jeunes finirait par comprendre d'eux même ou est l'intérêt commun.
Alors, c'est un échec à 65% selon mon ressentit. D'autant que trop de jeunes, de ce fait, moins jeunes maintenant, ne se sont jamais trouvé, n'ont toujours pas fait, à 40 ans, connaissance avec le statut d'adulte, d'ou l'appellation déjà ancienne, d'adulescent, incapable soit de lâcher les parents, soit d'assurer leur vie de couple ou même leur travail avec constance. Des nomades pique-assiette quelques fois, prisonniers de leurs émotions, de leurs pulsions...
Bref, l'explosion d'une créativité qui éclabousse de bave, comme une jeune chien, tout ce qu'il y a dans le périmètre. Difficile avec cela, de maintenir un état, de faire vivre un esprit de nation, d'avoir un cap commun. Difficile d'avoir un cap, un projet de société, avec des gens qui savent à peine se projeter un jour à l'avance, qui gavent le frigo pour être sur de ne rien manquer, puis qui en jettent la moitié après la date de péremption, tout en se mettant à pleurer le 25 du mois, parce que le compte est à découvert.
Voilà, @Calvero , l'explosion de créativité qu'à déclenché la pédagogie post soixante-huitarde. En 4ème, (1975) je me suis demandé longtemps pourquoi ma prof de français venait en cours avec un décolleté jusqu'au nombril. Était ce dans un but pédagogique, d'une explosion créative, pour nous donner la passion de Molière? Pourquoi fumait elle 2 cigarettes par heure de cours dans la classe? encore de la pédagogie? Heureusement, des profs de l'ancien monde gardaient le cap, pourtant eux même un peu perdu dans cette monumentale transgression. Et ce trouble de l'enseignement n' a jamais pris fin, il est toujours là, car dès premiers dégâts constatés, au lieu de faire machine arrière sur certains points, nous sommes allés dans la surenchère. Comme si le mal venait d'un sous dosage des nouvelles visions psycho-pédiatriques et pédagogiques. Donc la société d'aujourd'hui est déjà la résultante d'un libertarianisme non régulé, ou d'un laxisme total. Dans le sens ou donner des libertés n'est pas néfaste, par contre dispenser l'individu d'en assumer les responsabilités, c'est cataclysmique, et producteur de tyrannie.
L'Homme ne va pas naturellement vers ce qui est difficile et contraignant. Qu'on se le dise. Etre propre, c'est déjà contraignant. Respecter, c'est aussi contraignant. Se cultiver, c'est aussi contraignant. Pour certains moins que pour d'autres certes, mais il faut que notre mode éducatif soit adapté aux plus retords. C'est comme ça. C'est le prix de l'harmonie sociale.
A l'époque pré soixantehuitarde, nous n'avions pas d'uniforme. Mais aucune tenue vestimentaire fantaisiste ou ostentatoire d'un niveau social n'était tolérée: nous étions tous habillés sobrement mais qualitativement, les parents, riches ou pauvres y veillaient. Certains avaient les pantalons un peu usés, certaines les jupons troués. Et bien les mères aisées, par le biais du secours catholique ou d'Emmaüs, faisaient donner des vêtement corrects aux familles en difficulté. Donc on oubliait dans la cour de récré, nos différences sociales, ce qui était propice à la collaboration scolaire: avoir un pote ou une copine en tête de classe, ça aidait.
Donc si ça peut faire disparaître les tongs, les slips et pantalons qui laissent voir la raie du cul, ou les tee shirts au dessus du nombril, une fois le défilé des horreurs de la mode terminé, on pourra faire cours, le smart phone éteint, sur le bureau. Faire cours, et dispenser un peu de culture, donner du vocabulaire. Car il est bien connu que le niveau de violence des gens se mesure à la pauvreté de leur vocabulaire, c'est presque mathématique.
Vos mains ont un cerveau: ne les mettez pas dans vos poches

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asterix
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par asterix » 09 juin 2018, 22:43:15

Jeff Van Planet a écrit :
08 juin 2018, 19:39:06
L'uniforme à un effet bénéfique sur le porte monnaie des parents qui voient leurs enfants user moins de vêtements et avoir besoin de moins de diversité.
Ça a aussi cet avantage.
Vos mains ont un cerveau: ne les mettez pas dans vos poches

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Yakiv
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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Yakiv » 10 juin 2018, 09:51:59

asterix a écrit :
09 juin 2018, 22:37:39
D'autant que nous savons aujourd'hui ce que c'est qu'un enfant émancipé qui laisse exploser sa créativité peut faire: foutre la m.... et dire que c'est de l'art, balancer une canette de coca par la vitre de la voiture à 180 sur le périph, harceler les autres par jeux, maltraiter les biens publics et privés, conformément à sa créativité allergique à la beauté écœurante du conformisme . Et du coup, nous voilà devant une belle uniformisation: un société éclatée, mais bien d'accord sur une chose: la défiance, le consumérisme, le narcissisme.
Le monde devient comme ça depuis les grandes réformes d'éducations des années 70. J'ai moi même fait la première partie de ma scolarité dans l'ancien monde, puis la fin dans le nouveau. J'ai vu l'arrivée de l'irrespect des gens et des choses, de la nourriture et des valeurs morales. Il se disait que c'était normal, et que les jeunes finirait par comprendre d'eux même ou est l'intérêt commun.
Alors, c'est un échec à 65% selon mon ressentit. D'autant que trop de jeunes, de ce fait, moins jeunes maintenant, ne se sont jamais trouvé, n'ont toujours pas fait, à 40 ans, connaissance avec le statut d'adulte, d'ou l'appellation déjà ancienne, d'adulescent, incapable soit de lâcher les parents, soit d'assurer leur vie de couple ou même leur travail avec constance. Des nomades pique-assiette quelques fois, prisonniers de leurs émotions, de leurs pulsions...
Bref, l'explosion d'une créativité qui éclabousse de bave, comme une jeune chien, tout ce qu'il y a dans le périmètre. Difficile avec cela, de maintenir un état, de faire vivre un esprit de nation, d'avoir un cap commun. Difficile d'avoir un cap, un projet de société, avec des gens qui savent à peine se projeter un jour à l'avance, qui gavent le frigo pour être sur de ne rien manquer, puis qui en jettent la moitié après la date de péremption, tout en se mettant à pleurer le 25 du mois, parce que le compte est à découvert.
Voilà, @Calvero , l'explosion de créativité qu'à déclenché la pédagogie post soixante-huitarde. En 4ème, (1975) je me suis demandé longtemps pourquoi ma prof de français venait en cours avec un décolleté jusqu'au nombril. Était ce dans un but pédagogique, d'une explosion créative, pour nous donner la passion de Molière? Pourquoi fumait elle 2 cigarettes par heure de cours dans la classe? encore de la pédagogie? Heureusement, des profs de l'ancien monde gardaient le cap, pourtant eux même un peu perdu dans cette monumentale transgression. Et ce trouble de l'enseignement n' a jamais pris fin, il est toujours là, car dès premiers dégâts constatés, au lieu de faire machine arrière sur certains points, nous sommes allés dans la surenchère. Comme si le mal venait d'un sous dosage des nouvelles visions psycho-pédiatriques et pédagogiques. Donc la société d'aujourd'hui est déjà la résultante d'un libertarianisme non régulé, ou d'un laxisme total. Dans le sens ou donner des libertés n'est pas néfaste, par contre dispenser l'individu d'en assumer les responsabilités, c'est cataclysmique, et producteur de tyrannie.
L'Homme ne va pas naturellement vers ce qui est difficile et contraignant. Qu'on se le dise. Etre propre, c'est déjà contraignant. Respecter, c'est aussi contraignant. Se cultiver, c'est aussi contraignant. Pour certains moins que pour d'autres certes, mais il faut que notre mode éducatif soit adapté aux plus retords. C'est comme ça. C'est le prix de l'harmonie sociale.
A l'époque pré soixantehuitarde, nous n'avions pas d'uniforme. Mais aucune tenue vestimentaire fantaisiste ou ostentatoire d'un niveau social n'était tolérée: nous étions tous habillés sobrement mais qualitativement, les parents, riches ou pauvres y veillaient. Certains avaient les pantalons un peu usés, certaines les jupons troués. Et bien les mères aisées, par le biais du secours catholique ou d'Emmaüs, faisaient donner des vêtement corrects aux familles en difficulté. Donc on oubliait dans la cour de récré, nos différences sociales, ce qui était propice à la collaboration scolaire: avoir un pote ou une copine en tête de classe, ça aidait.
Donc si ça peut faire disparaître les tongs, les slips et pantalons qui laissent voir la raie du cul, ou les tee shirts au dessus du nombril, une fois le défilé des horreurs de la mode terminé, on pourra faire cours, le smart phone éteint, sur le bureau. Faire cours, et dispenser un peu de culture, donner du vocabulaire. Car il est bien connu que le niveau de violence des gens se mesure à la pauvreté de leur vocabulaire, c'est presque mathématique.
Il ne faut pas le prendre mal mais j'ai toujours un peu de difficultés à te lire entièrement tant tu me sembles user et abuser de ce que j'appelle la "sur-interprétation".
La créativité ne se réduit pas à "il est interdit d'interdire" et donc pouvoir foutre la m.... partout et en toutes circonstances.
Ce que j'appelle la créativité, ce n'est ni plus ni moins que de "l'imagination" pour prendre un autre terme ou la capacité à se projeter (je le dis d'autant plus facilement que moi, j'en ai pas des masses...). Et l'imagination est une forme d'intelligence. Elle nous pousse à chercher la résolution d'un problème en dehors des méthodes déjà apprises ou connues.
Alors au risque de sur-interpréter à mon tour (c'est pour donner l'image), j'ai l'impression que c'est ce qui fait en partie la différence entre l'ingénieur et le technicien.
Modifié en dernier par Yakiv le 10 juin 2018, 10:10:48, modifié 1 fois.

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Re: Et si l'uniforme revenait au goût du jour ?

Message non lu par Nombrilist » 10 juin 2018, 10:05:28

Je suis d'accord avec @Yakiv . Les gens qui font avancer l'humanité ne sont pas des perroquets.

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