Non. Les mots ont un sens. Cela n'a rien à voir avec l'esclavage, puisque les personnes concernées reçoivent une rémunération de la part de la collectivité. Il n'est donc pas choquant, en soi, qu'en contrepartie de cette rémunération, ces personnes exercent une activité pour le compte de la collectivité.Nombrilist a écrit : ↑29 mars 2022, 09:27:31De force et mal payé, oui. ça a un nom: ça s'appelle l'esclavage.
La difficulté porte sur les modalités d'organisation de cette activité. En pratique, il faudra bien recruter des encadrants supplémentaires, des gestionnaires, etc. Le dispositif risque de coûter plus cher qu'il ne rapportera.