Du point de vue de la théorie économique classique, il faut taxer les activités polluantes pour réduire les pollutions.
L'augmentation de la taxation des carburants automobiles en France a causé quelques réticences.
Du point de vue de la théorie économique classique, il faut taxer les activités polluantes pour réduire les pollutions.
Laisser le marché réguler la pollution a été un échec. Les droits de polluer ont amené la tonne de CO2 à un montant que sont prêts à payer les multinationales, qui sont pourtant les principaux pollueurs. Le système les incite peu à trouver des alternatives. Les petites entreprises sont plus vertueuses, mais elles n'ont pas trop le choix et en plus, elles avaient à la base une contribution modeste en termes de pollution.Cheshire cat a écrit : ↑15 janv. 2019, 13:26:29Du point de vue de la théorie économique classique, il faut taxer les activités polluantes pour réduire les pollutions.
L'augmentation de la taxation des carburants automobiles en France a causé quelques réticences.
C'est un investissement lourd mais rentable . La rénovation des passoires énergétiques est amortie
Les gens sont obsédés par leur pouvoir d'achat. Ce que les gens verront, c'est que les mesures annoncées coûtent cher. Peu importe qu'elles prennent la forme d'un surcoût dans la vie de tous les jours, ou d'une augmentation d'impôts. Peu importe encore qu'elles soient amorties dans 10 ou 15 ans. Les gens verront dans l'immédiat que écologie = atteinte au pouvoir d'achat.Snark a écrit : ↑15 janv. 2019, 17:49:57C'est un investissement lourd mais rentable . La rénovation des passoires énergétiques est amortie
en quelques années et diminue les gaspillages immédiatement .
Une ligne de métro économise rapidement des accidents , du carburant et augmente l'offre de mobilité .
C'est aussi le consommateur qui gagne en utilisant des transports en commun peu onéreux , rapides et surs .pierre30 a écrit : ↑15 janv. 2019, 18:04:01Tout ça est très bien mais il va falloir que l'état prenne l'argent à quelqu'un ou alors sur du déficit.
Dans les 2 cas ça va être compliqué.
Seuls les investissements par les entreprises privées peuvent se financer sans prélèvement, mais pour ça il faut qu'il y ait de la rentabilité à la sortie, et ce n'est possible qu'en augmentant le prix de l'énergie (ou le prix des aliments dans le cas des pesticides).
Au final c'est toujours le citoyen consommateur qui paye.
Et donc il va falloir faire des choix en abandonnant soit des services publics (baisse d'impôts), soit des réglementations (baisse du coût de la vie) afin de redonner du pouvoir d'achat.
Autre solution : taxer encore plus ceux qui ont encore de la marge. Mais je crois qu'on a atteint le fond du seau.
https://www.lexpress.fr/actualite/polit ... 60141.htmlC'est un avertissement... avant un durcissement des sanctions.
La secrétaire d'État à l'Écologie Brune Poirson a convoqué ce jeudi matin
les patrons des chaînes de restauration rapide pour leur rappeler leurs obligations
en matière de tri des déchets. "Il y a eu un rappel à la loi ferme",
confirme l'entourage de la secrétaire d'État, et des échéances ont été fixées pour les mois à venir.
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