Tu fais référence à des cas ou il n'est pas question d'immigration mais d'exil fiscal. Le départ d'un français capable, par sa force de travail, ses capacités financières ou son influence positive, de tirer le pays vers le haut, sera toujours une perte. Je fais également référence a la fuite des cerveaux que nous subissons depuis plusieurs décennies.wesker a écrit : ↑29 sept. 2017, 13:38:36Ah oui, donc l'immigration ne pose pas de soucis, selon le niveau du compte en banque, Herresca, j'avais pas bien perçu cette nuance.
Tu évoques le fait qu'on ne va chercher personnes, tu as sans doute raison, mais nous participons à des coalitions militaires qui, parfois interviennent militairement dans ces pays, alors qu'à travers notre appartenance à ces coalitions, nous devrions agir en faveur de la paix dans ces territoires, seule en mesure d'offrir des perspectives d'évolutions, et de développement pour ces populations, avec lesquelles nous devrions travailler en bonne intelligence afin de relever les défis communs qui nous caractérise.
C'est ca le projet auquel nous sommes sensés adhérer ? Laisser partir nos meilleurs éléments et les remplacer par des types qui savent à peine lire et écrire ? Tu ne vois pas un problème là-dedans ?
L'explication de le l'immigration de masse en tant que conséquence des interventions militaires ne tient pas la route quand on sait que les pays scandinaves sont également touchés et n'ont jamais lâché une seule bombe en Afrique ou au Moyen-Orient.
J'ai déja abordé le sujet du développement et je ne prétend pas avoir la recette magique pour faire passer l'Afrique de la pauvreté à la prospérité, mais la première chose à faire serait une politique de planning familial crédible, comme condition à l'aide internationale.
Pas de limitation des naissances ? pas d'aide au développement.
Un pays désertique composé de familles à 7 ou 10 enfants, c'est famine, migrations et guerres assurées. Cela doit changer, on pourra parler de projets de développement plus tard, proposer des deals equitables type matières premières contre produits finis à prix cassés.