Migrants: la politique du gouvernement
Re: Migrants: la politique du gouvernement
Modo : Dans tous les cas, on reste calme et TOUS les avis sont les bienvenus (que l'on soit jeune ou moins jeune)
Re: Migrants: la politique du gouvernement
En fait, non seulement on puise les ressources intellectuelles de pays pauvres, mais en plus on y colle des droits de sortie et de retours dans leur propre pays que soient limités dans le temps...
J'avoue que celle là, je ne l'avais jamais lu encore.
Non, le fantasme de croire que l'aide publique au développement, hors modèle japonais, est distribuée à tout va et sans aucun contrôle.
Et cela se constaterait si les entreprises ne feraient pas tout pour payer le moins d'impôts possible dans leur propre pays et donc si elles n'abusaient pas des optimisations fiscales en tout genre, quitte à contribuer à la mauvaise situation budgétaire de leur état...Herresca a écrit : ↑25 oct. 2017, 18:46:55La réalité des réseaux de pouvoir et renvois d'ascenseur entre privé et public, font que les banques et institutions financières d'un pays ont toujours interêt à ce que le pays en question ne sombre pas dans le chaos. Goldman Sachs n'a pas d'interêt à mettre à genoux les Etats-Unis mais ne verra aucun inconvénient à détruire la Grèce ou un autre pays d'Europe du Sud. Sans parler de la potentialité d'une réaction du public qui ne tolèrera pas qu'une banque ou institution privée nationale porte atteinte aux interêts du pays mais réagira avec plus de résignation si la prédation économique vient d'ailleurs.
Vous semblez oublier que ce qui est vrai pour Depardieu ou Pagny peut l'être aussi pour les entreprises. Il y en a d'ailleurs une illustration en Catalogne ces derniers jours (même si on parle encore ici d'un seul et même état).
Non, on y revient pas pour moi en tout cas.Herresca a écrit : ↑25 oct. 2017, 18:46:55Si pour résoudre les problèmes économiques du continent noir, il suffisait de s'en tenir à une certaine forme d'integrité dans les rapports patron-employé, capital-travail, alors cela signifie que tout le continent africain se la met à l'envers dans des proportions hallucinantes, on en revient à mon postulat de base de la mentalité (et de la surpopulation) comme élements explicatifs principaux du sous-développement de ce continent.
On peut aussi se passer de vos thèses arriérées.
Vous n'avez pas répondu à la question.Herresca a écrit : ↑25 oct. 2017, 18:46:55J'ai déja eu l'occasion de m'exprimer à ce sujet. Les peuples ont le droit de conserver leur integrité culturelle et ethnique, de refuser tout projet visant à démanteler leur identité ou porter atteinte à leur patrimoine culturel et génétique. Ils ont également le droit de s'organiser de la manière qui leur plait sans recevoir de lecons de la part de moralisateurs étrangers sur les droits de l'homme et la démocratie.Je vous ai qualifié de nationaliste racialiste, extrême-droite, ce que vous avez vigoureusement récusé.
Néanmoins, vous reconnaissez donc que vous êtes un "nationaliste".
De mémoire, je crois me souvenir que vous croyez en l'existence de races humaines, non ?
Je suis ouvert au débat mais si à chaque fois qu'il est question de mes convictions politiques, je suis amené à prouver que je ne suis pas un nazi, alors cette discussion ne m'intéresse plus.
Vous adorez cataloguer vos interlocuteurs dans des cases politiques, mais vous n'appréciez pas du tout qu'on le fasse à votre sujet.
Je n'ai jamais mentionné de près ou de loin le nazisme, mais force est de constater que la simple référence à un nationalisme racialiste (et j'insiste sur le fait que je ne parle pas de racisme mais de racialisme, encore que vos dernières thèses sur les causes du sous-développement africain s'approchent déjà un peu plus du racisme) est pour vous suffisamment honteuse pour vous inciter à la rejeter (par crainte que d'autres fassent le lien avec le nazisme) alors qu'à mon avis, ce nationalisme racialiste correspond bien à vos idées.
Re: Migrants: la politique du gouvernement
Modo : je me suis déjà exprimé. Tout "ce qui dépasse" sera donc modéré directement. Merci à vous.
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Re: Migrants: la politique du gouvernement
Herresca, tu évoques,à juste titre les différences culturelles, de ce point de vue, nous ne pouvons que nous rejoindre, c'est précisément pour cette raison que nous devons nous doter de structure qui permettent l'assimilation, et non la confrontation des cultures.
certes, certains croient aux thèses du choc des civilisations, ce n'est pas mon cas car dans bien des domaines les individus recherchent et poursuivent globalement des objectifs qui leur permettent de constituer une société, à la seule condition qu'il y ait une autorité supérieure qui détermine ce qui est bon et mauvais pour l'ensemble. Une autorité supérieure légitime, issus de scrutins démocratiques et susceptibles d'imposer, de définir les valeurs de la société. C'est cette acception que les libéraux refusent et qui me rendent en divergences avec eux, sur ce point.
certes, certains croient aux thèses du choc des civilisations, ce n'est pas mon cas car dans bien des domaines les individus recherchent et poursuivent globalement des objectifs qui leur permettent de constituer une société, à la seule condition qu'il y ait une autorité supérieure qui détermine ce qui est bon et mauvais pour l'ensemble. Une autorité supérieure légitime, issus de scrutins démocratiques et susceptibles d'imposer, de définir les valeurs de la société. C'est cette acception que les libéraux refusent et qui me rendent en divergences avec eux, sur ce point.
Re: Migrants: la politique du gouvernement
@Yakiv Oui, pour expliquer posément mon sentiment, il faut savoir qu'à l'époque nous luttions pour exactement les mêmes choses en terme d'écologie, de qualité de vie, de diététique. Seulement, partisans ou non d'une révolution écologique douce, on savait que l'on avait du temps, parce que les schémas statistiques nous indiquaient précisément 2030 ou 2050, pour ce qui est des prémices de "l’Armageddon", si je peux m'exprimer ainsi. Et on avait aussi compris (quelques uns seulement) que la seule chance de l'écologie, dans une société à la fois progressiste et capitaliste, c'était d'être source d'emploi et de création de richesse. C'est pourquoi, bien des écologistes (dont la signification n'était pas encore politique, ou presque), dans le genre Nicolas Hulot, savait qu'on ne ferait pas d'écologie avec des ouvriers aux fin de mois difficiles, pas plus qu'avec des spéculateurs en bourses. On se disait qu'il fallait infiltrer les milieux de droite et du centre, car en fait nous étions presque tous libéraux avec des projets de justice sociale (pas d'égalité absolue).
Tout fut un échec, avec l'arrivée des "années frics". Anne Gaillard, chroniqueuse, journaliste, animatrice dans les médias, était à l'époque une "tornade". Quand on voit ce qu'elle a été dans l'affaire L’Oréal, ou celle du talc Morhange. Cette baroudeuse féministe loquace dérangeait le pouvoir: virée par Mitterrand. Elle était une figure, à faire pâlir Elise Lucet. Elle était l'espoir de beaucoup, dans la défense du consommateur, sans jamais faire de populisme ni de récupération, était aimée à droite comme à gauche. Un caillou dans la chaussure de la préparation du monde d'aujourd'hui, celui des gros monopôles privés, celui de la lâcheté du peuple face à l'initiative économique, celui de la société spectacle.
Fouille de ce côté là sur la toile, tu verras. L'écologie, mais aussi la défense de la diversité des classes avait cours. Un appel à un pays de ne pas se laisser engourdir dans les promesses industrielles et sociales doucereuses... Peut être comprendras tu pourquoi je pense que l'écologie s'est suicidée en se rangeant dans une gauche un peu racaille, façon auberge espagnole, jamais sortie de l'amphi, sans cals aux mains, fichée à la banque de France. Tu verras aussi que le peuple français fut neuneu à souhait, bourgeoisie comprise, dans ces années 80 propices à la "revanche des médiocres", et à la lapidation des intellectuels, parce que penser, c'est bourgeois. Le vrai champion, c'est Tapie.
Après avoir vu tout cela, tu sais qu'il est trop tard. C'est le syndrome du Titanic, et c'est valable à tous les ponts.
Mais, comme Michel Onfray, je pense que cela est cyclique, et que vive le déclin, puisque l'histoire en est remplie, par alternance des embellies qu'on apprécie aussi. Ce n'est pas du "déclinisme" que de constater le déclin. C'est plutôt ne pas le constater qui est pathologique, et penser que 3 ou 4 mesures ou manœuvres hystériques instantanées peuvent encore détourner la trajectoire du paquebot, alors que ça aggrave son exposition à l'impact.
Hier soir sur LCP, un agriculteur (écrivain) rescapé des toxicités du "Lasso" de Monsato disait comme je le pense: rien ne sert d'arrêter brutalement le Round up. Lui aussi s'est battu très longtemps, espérant un vrai départ d'une transition décennale. Mais Yakiv était il à l'écoute il y a 10 15 ans, ou a t il attendu que les médias battent enfin l'enclume parce qu'il y a du trash? Yakiv a t il cessé d'acheter tout ce qui est susceptible d'avoir pris forme avec du Monsanto, ou a t il seulement fait (au mieux) des pétitions de canapé en 2 clics? Je ne te provoque pas. J'essaie juste de provoquer ta réflexion sur notre société.
Je ne me sers pas de mon âge pour tenter d'avoir autorité. Il est juste triste d'avoir du vécu et de devoir hausser le ton pour dire que l'histoire n'est pas sur internet, mais dans le témoignage des réservoirs de vécu que sont les vieux ou presque vieux. Sinon, vieillir est plus qu'un naufrage: une connerie. Plus on vieillit, plus on rit de la précipitation, et encore plus quand, plus jeune, on avait posé une balise de signalisation devant l'obstacle dans lequel tout le monde tombe en courant. C'est tordant à mourir. La véritable histoire est dans les EHPAD, là ou on met le savoir en quarantaine, de peur qu'il ne se divulgue, de peur de ce qu'il a à dire, entre 2 crises de Parkinson.
Mais de quoi parle t on dans un fil qui traite de la politique migratoire?
Tout fut un échec, avec l'arrivée des "années frics". Anne Gaillard, chroniqueuse, journaliste, animatrice dans les médias, était à l'époque une "tornade". Quand on voit ce qu'elle a été dans l'affaire L’Oréal, ou celle du talc Morhange. Cette baroudeuse féministe loquace dérangeait le pouvoir: virée par Mitterrand. Elle était une figure, à faire pâlir Elise Lucet. Elle était l'espoir de beaucoup, dans la défense du consommateur, sans jamais faire de populisme ni de récupération, était aimée à droite comme à gauche. Un caillou dans la chaussure de la préparation du monde d'aujourd'hui, celui des gros monopôles privés, celui de la lâcheté du peuple face à l'initiative économique, celui de la société spectacle.
Fouille de ce côté là sur la toile, tu verras. L'écologie, mais aussi la défense de la diversité des classes avait cours. Un appel à un pays de ne pas se laisser engourdir dans les promesses industrielles et sociales doucereuses... Peut être comprendras tu pourquoi je pense que l'écologie s'est suicidée en se rangeant dans une gauche un peu racaille, façon auberge espagnole, jamais sortie de l'amphi, sans cals aux mains, fichée à la banque de France. Tu verras aussi que le peuple français fut neuneu à souhait, bourgeoisie comprise, dans ces années 80 propices à la "revanche des médiocres", et à la lapidation des intellectuels, parce que penser, c'est bourgeois. Le vrai champion, c'est Tapie.
Après avoir vu tout cela, tu sais qu'il est trop tard. C'est le syndrome du Titanic, et c'est valable à tous les ponts.
Mais, comme Michel Onfray, je pense que cela est cyclique, et que vive le déclin, puisque l'histoire en est remplie, par alternance des embellies qu'on apprécie aussi. Ce n'est pas du "déclinisme" que de constater le déclin. C'est plutôt ne pas le constater qui est pathologique, et penser que 3 ou 4 mesures ou manœuvres hystériques instantanées peuvent encore détourner la trajectoire du paquebot, alors que ça aggrave son exposition à l'impact.
Hier soir sur LCP, un agriculteur (écrivain) rescapé des toxicités du "Lasso" de Monsato disait comme je le pense: rien ne sert d'arrêter brutalement le Round up. Lui aussi s'est battu très longtemps, espérant un vrai départ d'une transition décennale. Mais Yakiv était il à l'écoute il y a 10 15 ans, ou a t il attendu que les médias battent enfin l'enclume parce qu'il y a du trash? Yakiv a t il cessé d'acheter tout ce qui est susceptible d'avoir pris forme avec du Monsanto, ou a t il seulement fait (au mieux) des pétitions de canapé en 2 clics? Je ne te provoque pas. J'essaie juste de provoquer ta réflexion sur notre société.
Je ne me sers pas de mon âge pour tenter d'avoir autorité. Il est juste triste d'avoir du vécu et de devoir hausser le ton pour dire que l'histoire n'est pas sur internet, mais dans le témoignage des réservoirs de vécu que sont les vieux ou presque vieux. Sinon, vieillir est plus qu'un naufrage: une connerie. Plus on vieillit, plus on rit de la précipitation, et encore plus quand, plus jeune, on avait posé une balise de signalisation devant l'obstacle dans lequel tout le monde tombe en courant. C'est tordant à mourir. La véritable histoire est dans les EHPAD, là ou on met le savoir en quarantaine, de peur qu'il ne se divulgue, de peur de ce qu'il a à dire, entre 2 crises de Parkinson.
Mais de quoi parle t on dans un fil qui traite de la politique migratoire?
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Re: Migrants: la politique du gouvernement
René Dumont était de droite ?
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.
Re: Migrants: la politique du gouvernement
Si un travailleur hautement qualifié veut vivre et travailler en France, et que nous lui ouvrons nos portes, il m'apparait logique que tout retour dans son pays d'origine devrait être temporaire.
Tu dois être le genre de type qui accepte volontiers que des "réfugiés" syriens, afghans et somaliens obtiennent l'asile dans un pays européen puis repartent en vacance dans leur pays d'origine l'air de rien. Un peu de cohérence.
L'aide au développement sur laquelle tu fais des gorges chaudes ne fonctionne pas. Sauf si tu considères que maintenir en état d'assistance respiratoire des pays pauvres sans leur permettre de créer des richesses est un succès en soi. Pas moi. J'ai déja proposé de la soumettre à la mise en place d'un planning familial dans les pays africains qui en bénéficient. Des familles à 7 enfants dans le désert du Sahel, ce n'est pas viable.Non, le fantasme de croire que l'aide publique au développement, hors modèle japonais, est distribuée à tout va et sans aucun contrôle.
Je ne defendrai pas une banque ou un fond spéculatif francais qui auraient recours à une optimisation fiscale, mais ce type de procédé, en termes de potentiel de nuisance vis à vis des finances d'un pays, ne représente absolument rien à l'échelle de ce que peut autoriser un système ou l'état ne peut emprunter qu'auprès des marchés financiers. Tu fais une comparaison malvenue entre une banque qui aurait recours a une magouille pour payer 5 % d'impots en moins dans son pays d'origine et la même banque qui s'autoriserait à faire imposer un plan d'austérité dans un pays débiteur, entrainant chômage de masse et effondrement du tissu social.Et cela se constaterait si les entreprises ne feraient pas tout pour payer le moins d'impôts possible dans leur propre pays et donc si elles n'abusaient pas des optimisations fiscales en tout genre, quitte à contribuer à la mauvaise situation budgétaire de leur état...
Vous semblez oublier que ce qui est vrai pour Depardieu ou Pagny peut l'être aussi pour les entreprises. Il y en a d'ailleurs une illustration en Catalogne ces derniers jours (même si on parle encore ici d'un seul et même état).
Pourtant, au moins une de ces deux hypothèses doit être vraie. Soit le tissu économique africain est en grande majorité entre les mains d'étrangers et cela signifierait que les africains eux-mêmes ne disposent pas du savoir nécessaire à la création de richesse, soit ils y arrivent et des considérations liées à la mentalité et aux pratiques commerciales freinent le développement de ce continent.Non, on y revient pas pour moi en tout cas.
On peut aussi se passer de vos thèses arriérées.
Il m'apparait évident que ta démarche n'est pas motivée par le fait de savoir ce que je pense réellement mais de me coller une étiquette qui convient à ta vision du monde, tout en me demandant de me justifier par rapport à tes propres préjugés sur ce que je pourrais penser.Vous n'avez pas répondu à la question.
Vous adorez cataloguer vos interlocuteurs dans des cases politiques, mais vous n'appréciez pas du tout qu'on le fasse à votre sujet.
Je n'ai jamais mentionné de près ou de loin le nazisme, mais force est de constater que la simple référence à un nationalisme racialiste (et j'insiste sur le fait que je ne parle pas de racisme mais de racialisme, encore que vos dernières thèses sur les causes du sous-développement africain s'approchent déjà un peu plus du racisme) est pour vous suffisamment honteuse pour vous inciter à la rejeter (par crainte que d'autres fassent le lien avec le nazisme) alors qu'à mon avis, ce nationalisme racialiste correspond bien à vos idées.
Les réponses à tes questions sur mon appartenance politique se trouvent au sein de cette page wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Ethno-différencialisme
Re: Migrants: la politique du gouvernement
Il n'y a absolument aucune cohérence à vouloir contrôler dans le temps le retour d'un immigré dans son pays d'origine.Herresca a écrit : ↑28 oct. 2017, 00:09:11Si un travailleur hautement qualifié veut vivre et travailler en France, et que nous lui ouvrons nos portes, il m'apparait logique que tout retour dans son pays d'origine devrait être temporaire.
Tu dois être le genre de type qui accepte volontiers que des "réfugiés" syriens, afghans et somaliens obtiennent l'asile dans un pays européen puis repartent en vacance dans leur pays d'origine l'air de rien. Un peu de cohérence.
Vous vous imaginez quoi, le rapatrier de force s'il ne revient pas à l'heure ?
Et vous vous gaussez d'être dans la cohérence ?
Il n'y a là que des affirmations fausses ou à minima péremptoires.Herresca a écrit : ↑28 oct. 2017, 00:09:11L'aide au développement sur laquelle tu fais des gorges chaudes ne fonctionne pas. Sauf si tu considères que maintenir en état d'assistance respiratoire des pays pauvres sans leur permettre de créer des richesses est un succès en soi. Pas moi. J'ai déja proposé de la soumettre à la mise en place d'un planning familial dans les pays africains qui en bénéficient. Des familles à 7 enfants dans le désert du Sahel, ce n'est pas viable.
Les pays en développement présentent des taux de croissance supérieurs à ceux de nos pays actuellement. Alors l'aide au développement n'est certainement pas xxx mais on ne peut pas dire que "l'aide au développement ne fonctionne pas". Sauf à s'attendre qu'elle permettrait d'égaliser les niveaux de vie de tous les pays, ce qui serait une croyance profondément stupide.
L'aide au développement vise justement à permettre aux pays en développement de produire. C'est un peu différent de l'aide de première urgence plutôt assurée par les ONG même si cette dernière est aussi nécessaire.
Quant au contrôle de la natalité, si elle se pouvait se faire en claquant des doigts, on vous aurez peut-être appelé, mais comme ce n'est pas le cas...
En fait, vos solutions "ya ka" sont à l'image du mépris que vous portez pour ces pays et ces peuples.
Ce ne sont jamais les banques qui imposent des plans d'austérité mais les institutions.Herresca a écrit : ↑28 oct. 2017, 00:09:11Je ne defendrai pas une banque ou un fond spéculatif francais qui auraient recours à une optimisation fiscale, mais ce type de procédé, en termes de potentiel de nuisance vis à vis des finances d'un pays, ne représente absolument rien à l'échelle de ce que peut autoriser un système ou l'état ne peut emprunter qu'auprès des marchés financiers. Tu fais une comparaison malvenue entre une banque qui aurait recours a une magouille pour payer 5 % d'impots en moins dans son pays d'origine et la même banque qui s'autoriserait à faire imposer un plan d'austérité dans un pays débiteur, entrainant chômage de masse et effondrement du tissu social.
Or, si les institutions "dépannent" en imposant leurs conditions, c'est bien parce que les créanciers qu'ils soient nationaux ou étrangers veulent être payés et veulent des garanties. Un créancier ne va pas se mettre à devenir altruiste sous prétexte qu'il partage la même nationalité que son débiteur. Les créanciers de tout pays ont 1 seul objectif : être payé, et donc un 1 seul intérêt vis-à-vis de leur débiteur : qu'il soit solvable, par tous les moyens.
Votre capacité à raisonner se résume toujours à 2 hypothèses ?Herresca a écrit : ↑28 oct. 2017, 00:09:11Pourtant, au moins une de ces deux hypothèses doit être vraie. Soit le tissu économique africain est en grande majorité entre les mains d'étrangers et cela signifierait que les africains eux-mêmes ne disposent pas du savoir nécessaire à la création de richesse, soit ils y arrivent et des considérations liées à la mentalité et aux pratiques commerciales freinent le développement de ce continent.
Mon analyse était donc juste contrairement à ce que vous avez prétendu et même si vous avez beaucoup de mal à le reconnaître.Herresca a écrit : ↑28 oct. 2017, 00:09:11Il m'apparait évident que ta démarche n'est pas motivée par le fait de savoir ce que je pense réellement mais de me coller une étiquette qui convient à ta vision du monde, tout en me demandant de me justifier par rapport à tes propres préjugés sur ce que je pourrais penser.
Les réponses à tes questions sur mon appartenance politique se trouvent au sein de cette page wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Ethno-différencialisme
Ceci étant dit, vous devez savoir que je ne critique pas les gens pour ce qu'ils sont ou même pour leur affiliation politique supposée mais pour ce qu'ils disent et écrivent.
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Re: Migrants: la politique du gouvernement
Herresca, de ce point de vue Yakiçv a, sur de nmobreux dossiers l'habitude d'évaluer plutôt le contenu que les étiquettes réelles ou supposées des individus et c'est une qualité. Encore qu'il ne le fasse pas sur certains sujets préférant voir en moi un partisan de la Russie, quand je plaide plutôt pour un équilibre subtil en guise de stratégie diplomatique différente.
Concernant les politiques migratoires, chacun peut débattre des modalités, mais revenir aussi à la raison, étant dans le cadre juridique de l'Union Européenne, nous ne sommes pas en mesure d'en décider, il est donc nécessaire de remettre les choses dans leur contexte.
Concernant les politiques migratoires, chacun peut débattre des modalités, mais revenir aussi à la raison, étant dans le cadre juridique de l'Union Européenne, nous ne sommes pas en mesure d'en décider, il est donc nécessaire de remettre les choses dans leur contexte.
Re: Migrants: la politique du gouvernement
Bien des attributs de souveraineté ont été délégués, totalement ou partiellement, aux institutions de l'Union Européenne. Si nous commençons à nous restreindre au niveau des sujets de débats sur la base de ce critère, alors l'immigration n'est pas le seul sujet sur lequel toute discussion est inutile.wesker a écrit : ↑04 nov. 2017, 12:31:43Concernant les politiques migratoires, chacun peut débattre des modalités, mais revenir aussi à la raison, étant dans le cadre juridique de l'Union Européenne, nous ne sommes pas en mesure d'en décider, il est donc nécessaire de remettre les choses dans leur contexte.
Je répondrai de manière détaillée à Yakiv plus tard.
- wesker
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Re: Migrants: la politique du gouvernement
Herresca qu'on le veuille ou non, débattre de sujets qui ne dépendent plus de nous ne mène à rien. La Hongrie, par exemple décide d'appliquer une politique restrictive en matière migratoire mais elle fut rappelé à l'ordre par la Cour de Justice européenne qui l'invite à respecter les traités que ses dirigeants ratifièrent. C'est le fondement même du fonctionnement de l'Union européenne, et prétendre vouloir profiter de l'emballage tout en refusant de se soumettre à des orientations, des directives qui ne conviendraient pas relève d'un miroir aux alouettes destinés à rassurer les citoyens, surtout en période électorale. La réalité est bien plus simple et juridique que cela, si l'on accepte l'appartenance à l'Union Européenne et qu'on en ratifie les principe, les traités, on se doit, ensuite de les appliquer que cela nous convienne ou pas à un moment donné.
tu peux prétendre qu'ériger des miradors et des tourelles ralentirait l'immigration, mais les traités actuels de l'Union européenne t'interdisent de le faire. Tu peux au contraire prétendre que la TVA est excessive et qu'il faudrait la réduire, cela ne dépend pas, non plus des décisions nationales mais d'hasardeux compromis européens, de même que la politique commerciale que les parlements nationaux n'ont pas ratifiés mais qui, par exemple sur le CETA s'applique d'ores et déjà.
tu peux prétendre qu'ériger des miradors et des tourelles ralentirait l'immigration, mais les traités actuels de l'Union européenne t'interdisent de le faire. Tu peux au contraire prétendre que la TVA est excessive et qu'il faudrait la réduire, cela ne dépend pas, non plus des décisions nationales mais d'hasardeux compromis européens, de même que la politique commerciale que les parlements nationaux n'ont pas ratifiés mais qui, par exemple sur le CETA s'applique d'ores et déjà.
Re: Migrants: la politique du gouvernement
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2 ... _3212.html
24 octobre 2017
"
"L’Afrique n’a pas besoin d’aide, un système financier moins cynique lui suffirait "
« l’aide au développement » masque les flux Sud-Nord ()
La source de ces flux est triple. Premièrement, le remboursement des dettes. Selon la Banque mondiale, les pays pauvres paient environ 200 milliards de dollars par an en seuls intérêts financiers à des pays développés – un montant de loin supérieur à celui de « l’aide au développement ». Le comble est qu’une partie de ces sommes concerne parfois des stocks de dettes contractées il y a des décennies par des dictateurs complaisamment soutenus par nos généreux « donateurs ».
Deuxièmement, le rapatriement de profits par les multinationales occidentales qui opèrent dans nos pays – une pratique, rappelle Jason Hickel, qui s’est accélérée dans le sillage de la libéralisation des flux de capitaux au début des années 1980. Ces multinationales rapatrieraient environ 500 milliards de dollars chaque année, somme qui excéderait jusqu’au montant des investissements directs étrangers reçus par nos pays.
Enfin, la fuite des capitaux. GFI estime que la seule falsification de factures commerciales, qui permet par exemple à des entreprises d’effectuer des transactions avec des filiales installées dans des paradis fiscaux, souvent via des sociétés intermédiaires, coûterait environ 700 milliards de dollars par an aux pays pauvres. ()
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24 octobre 2017
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"L’Afrique n’a pas besoin d’aide, un système financier moins cynique lui suffirait "
« l’aide au développement » masque les flux Sud-Nord ()
La source de ces flux est triple. Premièrement, le remboursement des dettes. Selon la Banque mondiale, les pays pauvres paient environ 200 milliards de dollars par an en seuls intérêts financiers à des pays développés – un montant de loin supérieur à celui de « l’aide au développement ». Le comble est qu’une partie de ces sommes concerne parfois des stocks de dettes contractées il y a des décennies par des dictateurs complaisamment soutenus par nos généreux « donateurs ».
Deuxièmement, le rapatriement de profits par les multinationales occidentales qui opèrent dans nos pays – une pratique, rappelle Jason Hickel, qui s’est accélérée dans le sillage de la libéralisation des flux de capitaux au début des années 1980. Ces multinationales rapatrieraient environ 500 milliards de dollars chaque année, somme qui excéderait jusqu’au montant des investissements directs étrangers reçus par nos pays.
Enfin, la fuite des capitaux. GFI estime que la seule falsification de factures commerciales, qui permet par exemple à des entreprises d’effectuer des transactions avec des filiales installées dans des paradis fiscaux, souvent via des sociétés intermédiaires, coûterait environ 700 milliards de dollars par an aux pays pauvres. ()
"
Et pendant ce temps, les déchets nucléaires sont stockés dans les piscines...
- wesker
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Re: Migrants: la politique du gouvernement
Celui qui dispose d'équipements et de capacités d'interventions extérieures a largement les moyens de soumettre les débiteurs à des échéances dont les montants et intérêts peuvent varier en fonction de son attitude à l'égard du créancier....
Et, au risque de surprendre Yakiv, la Russie est loin d'être la seule à utiliser cette influence afin de faire valoir ses intérêts mais bon, il y d'un côté les gentils et de l'autre les échéants, l'axe du bien contre l'axe du mal qui est, par définition fluctuant etc...
Et, au risque de surprendre Yakiv, la Russie est loin d'être la seule à utiliser cette influence afin de faire valoir ses intérêts mais bon, il y d'un côté les gentils et de l'autre les échéants, l'axe du bien contre l'axe du mal qui est, par définition fluctuant etc...
Re: Migrants: la politique du gouvernement
Invalider son permis de travail est une solution.
Déja, toute comparaison entre la croissance africaine et celle des pays développée est inopérante, étant donné les différences énormes en termes de structure économique, de PIB et de volumes d'échanges.Il n'y a là que des affirmations fausses ou à minima péremptoires.
Les pays en développement présentent des taux de croissance supérieurs à ceux de nos pays actuellement. Alors l'aide au développement n'est certainement pas xxx mais on ne peut pas dire que "l'aide au développement ne fonctionne pas". Sauf à s'attendre qu'elle permettrait d'égaliser les niveaux de vie de tous les pays, ce qui serait une croyance profondément stupide.
L'aide au développement vise justement à permettre aux pays en développement de produire. C'est un peu différent de l'aide de première urgence plutôt assurée par les ONG même si cette dernière est aussi nécessaire.
Quant au contrôle de la natalité, si elle se pouvait se faire en claquant des doigts, on vous aurez peut-être appelé, mais comme ce n'est pas le cas...
En fait, vos solutions "ya ka" sont à l'image du mépris que vous portez pour ces pays et ces peuples.
Malgré le pétrole et les minerais, la part de l'Afrique dans les échanges mondiaux (importations plus exportations), est en effet dérisoire. De 6% en 1980, elle s’est effondrée à 2% dans la décennie 1990, avant de "remonter" à 2,8% en 2007, puis à 3,2% en 2008, 3,4% en 2010 (Rapport Economique sur l’Afrique, Addis-Abeba, 2010) et 3,2% en 2013 (Rapport sur les échanges internationaux et intra-africains. Nations Unies, Conseil Economique et Social, Commission Economique pour l’Afrique, Addis Abeba février 2013). Commercialement, elle n’existe donc pas, même si certains pays-comptoirs ne s'en tirent pas trop mal.
L'économie africaine n'a pas connu de diversification et pas davantage d'industrialisation par le biais de la transformation des ressources naturelles. L'industrie extractive qui dope les PIB des pays producteurs de matières premières ne créé pas d'emplois, car elle ne concerne que moins de 1% des travailleurs, sans parler du fait qu'elle est entre les mains de sociétés étrangères.
Cette croissance n'est, de plus, pas homogène, la différence est considérable entre les pays producteurs de pétrole ou de gaz bénéficiant de cette industrie extractive et les autres. Comme le montrent les exemples de l'Algérie et du Nigeria, les hydrocarbures font peut-être enfler les courbes de croissance, mais ils n'empêchent pas la faillite économique et sociale, laquelle peut être liée a des problématiques de répartition des richesses et de démographie, mais il n'y a pas que cela.
Comme le montre l'exemple de la Sierra Leone, partir du principe que faire progresser les courbes économiques règlera les problèmes du continent africain est tout simplement faux.
Avant 1991, la Sierra Leone avait un taux de croissance moyen de 7%. Surnommée alors la "petite Suisse africaine", elle avait hérité d’une solide organisation léguée par le colonisateur britannique et était bien gérée par ses élites krio, descendants d’esclaves affranchis.
Or, du jour au lendemain, ce paradis tropical, destination touristique à la mode, sombra dans l’horreur et dans la plus totale sauvagerie pour des raisons purement ethniques.
Les évènements atroces se succédèrent alors avec mises à mort, torture, mutilation des victimes et même retour à des pratiques de cannibalisme. En 1999 la capitale Freetown connut la terreur avec l'opération "No living thing" (littéralement, plus rien ne doit vivre) alors que miliciens et Karamajors, chasseurs traditionnels initiés de sociétés animistes s'entre-massacraient. Sans tenir compte du PIB et des annonces de croissance postulées par les technocrates occidentaux, la "petite Suisse africaine" avait renoué avec les guerres précoloniales.
Ce que les statistiques ne montraient pas, c'était que les Limba et les Temné ne voulaient pas d'une domination des Mendé. Ce n'est pas plus bête que cela.
La Sierra Leone n'est pas le seul exemple du caractère inopérant d'une grille de lecture purement économique;
En 2013, le FMI déclarait que le Soudan du Sud allait connaître une croissance de 24,7% (FMI, 8 octobre 2013), depuis le pays a explosé. L'ONU et l'Union africaine annonçaient une croissance de 7% en Libye, qui s'est désintegrée peu après.
Le Burkina Faso, l'un des pays d'Afrique les plus pauvres et les plus défavorisés, se voit attribuer un taux de croissance de 7,2% en 2014.
La Somalie, pays ravagé la guerre et la misère, se voit attribuer un taux de croissance de 3% en 2014 et de 4% en 2015.
Comment faire enfin confiance à des statistiques qui ont fait bondir le PIB du Ghana de près de 100% en 2010, qui classent le Rwanda au 25e rang mondial pour la "facilité à faire des affaires" devant la Suisse qui n'occupe que le 29e rang ? (Banque mondiale, 2014).
Dans tous les modèles proposés ou imposés à l’Afrique sub saharienne, l’économique a en effet toujours été mis en avant. Or, les vrais problèmes du continent sont d’abord politiques, démographiques et sociologiques puisqu’ils découlent de la non prise en compte de la réalité humaine qui est à base ethnique. Certes, l’ethnie n’explique pas tout, mais rien ne s’explique sans l’ethnie.
De ton coté et de celui de ta famille politique, le refus d’admettre la différence est réel: les Africains n’étant pas des Européens pauvres à la peau noire, c’est parce que le corps social africain n’est pas celui de l’Europe, ou celui de l’Asie, que les modèles de développement transposés au forceps ont échoué.
Ce refus de changer de grille de lecture amène, sur le territoire français, a l'incompréhension de cette gauche progressiste face au phénomènes du communautarisme qu'elle considère comme subi, et de la délinquance ethnique qu'elle nie en lui attribuant des causes économiques et sociales.
Et concernant mon prétendu mépris des pays d'émigration, c'est le chameau qui se moque du bossu. De nous deux ce n'est pas moi qui passe mon temps à poster des topics visant à démontrer qu'une nation en particulier représente le mal incarné.
C'est sans compter les mécanismes de cooptation ainsi que la mathématisation de l'économie, une banque telle que Goldman Sachs n'a pas besoin de faire le moindre lobbying que ce soit, car premièrement elle est suffisamment puissante pour placer directement ses hommes aux postes clefs d'institutions telle que le FMI et la Banque Mondiale, deuxièmement la mathématisation de l'économie fait que plus personne ne comprend les rouages profonds de la finance mis à part une petite élite de technocrates passés par les grandes banques privées, ce qui fournit un prétexte à la collusion et la subversion de ces institutions par les agents de grandes banques d'affaires et autres institutions financières.Ce ne sont jamais les banques qui imposent des plans d'austérité mais les institutions.
Or, si les institutions "dépannent" en imposant leurs conditions, c'est bien parce que les créanciers qu'ils soient nationaux ou étrangers veulent être payés et veulent des garanties. Un créancier ne va pas se mettre à devenir altruiste sous prétexte qu'il partage la même nationalité que son débiteur. Les créanciers de tout pays ont 1 seul objectif : être payé, et donc un 1 seul intérêt vis-à-vis de leur débiteur : qu'il soit solvable, par tous les moyens.
Lucas Papademos, Mario Monti, José Manuel Barroso, Mario Draghi, autant d'hommes clefs au centre du processus décisionnaire qui passent de la banque à l'administration publique sans que personne n'y trouve à redire. Et je ne cite que les plus connus. Antonio Borges est lui aussi un cas d'école, issu de Goldman Sachs, c'est DSK qui l'a nommé au poste de directeur du FMI pour l'Europe, il a supervisé les prêts accordés à la Grece et à L'irlande, tiens donc.
Si tu ne fais pas la différence entre ethno-differencialisme et racisme, c'est ton problème.Mon analyse était donc juste contrairement à ce que vous avez prétendu et même si vous avez beaucoup de mal à le reconnaître.
Ceci étant dit, vous devez savoir que je ne critique pas les gens pour ce qu'ils sont ou même pour leur affiliation politique supposée mais pour ce qu'ils disent et écrivent.
- wesker
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Re: Migrants: la politique du gouvernement
Herresca, l'histoire permets, peut être de comprendre cette situation...
Mais, précisément si nous voulons parvenir à trouver des solutions raisonnables, réalistes il faut parvenir à une modification de nos relations auprès de ces pays, agir davantage en faveur de la paix et de la démocratie que poursuivre des objectifs d'influence geostratégique au détriment, parfois des populations locales. C'est, de cette manière qu'on serait susceptible de contrôler les mouvements migratoires qui n'auraient plus de raison d'être.
Mais, précisément si nous voulons parvenir à trouver des solutions raisonnables, réalistes il faut parvenir à une modification de nos relations auprès de ces pays, agir davantage en faveur de la paix et de la démocratie que poursuivre des objectifs d'influence geostratégique au détriment, parfois des populations locales. C'est, de cette manière qu'on serait susceptible de contrôler les mouvements migratoires qui n'auraient plus de raison d'être.
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