Emmanuel Macron, le début de la fin ?

[pierre30]

Il aurait fallu prévenir Valls, car il vient d'annoncer qu'il votera Macron. C'est Balo

[Narbonne]

L'Express: "Alors que l'investiture d'En Marche! dans la dixième circonscription des Hauts-de-Seine lui semblait promise au printemps prochain, le général Bertrand Soubelet sonne la retraite. Dans une longue lettre adressée à Emmanuel Macron le 28 mars, le militaire explique les raisons de son départ et sa déception.
"J'avais besoin de croire qu'une nouvelle façon de faire de la politique était en train de naître [...] Les ralliements successifs tous azimuts et symboliques à bien des égards, à commencer par ceux de l'actuel gouvernement, ne correspondent pas à ma conception du changement", écrit-il, rapporte RTL. "

[El Fredo]

J'adore le titre de l'article. Je suis sûr que le Fig' publiera en gros titre : "Macron : l'échec" dès le matin du 8 mai

[Ramdams]

Beaucoup de monde à Marseille. Pour un meeting de début de la fin, c'est pas mal.

[politicien]

Macron : la campagne plan-plan ?

Attaquer ou consolider sa base, Emmanuel Macron hésite sur la stratégie à suivre.

Après une prestation prudente mardi lors du Grand débat télévisé, Emmanuel Macron abat une carte importante, ce soir, sur France 2, dans L’Emission politique. Sera-t-il offensif ou bien va-t-il continuer à gérer son avance sur François Fillon ? Selon vous, le candidat d’En Marche hésiterait sur la stratégie à suivre.

Absolument Samuel. Et son équipe est divisée sur le sujet. D’un côté, il y a ceux qui conseillent à Emmanuel Macron de gérer son avance sur François Fillon. Selon eux, à quoi bon prendre des risques et faire pencher l’embarcation trop à gauche ou trop à droite ? Avec de six à huit points d’avance dans les sondages sur François Fillon, la qualification pour le second tour est dans la poche. De l’autre côté, il y a quelques élus, les rares vétérans de l’équipe qui s’inquiètent de cette fin de campagne "Plan-plan". Le mot n’est pas de moi. C’est François Bayrou qui l’emploi à dessein. Le centriste a quand même trois présidentielles aux compteurs. Et il redoute carrément une "juppéisation" de la campagne de son allié. D’autres parlent de "balladurisation". Allusion claire à ces candidats qui ont cru aux sondages qui les donnaient gagnant et n’ont pas vue le retournement.

(...)

http://www.europe1.fr/emissions/ledito- ... an-3222035

Qu'en pensez vous ?

[Nombrilist]

Sa campagne n'est-elle pas plan-plan depuis Août dernier (c'est à dire depuis le début) ?

[politicien]

Macron durcit le ton contre ses trois principaux adversaires

Lors d'une conférence de presse consacrée au terrorisme, Emmanuel Macron s'est fait plus offensif contre Marine Le Pen, François Fillon et Jean-Luc Mélenchon.

En baisse dans les sondages, Emmanuel Macron se fait plus offensif en cette fin de campagne. Lundi, alors qu'il tenait une conférence de presse à Paris sur le thème du terrorisme, le candidat d'En marche! a ouvert une parenthèse pour critiquer ses principaux concurrents. En commençant par Marine Le Pen, qui a jugé la veille que "la France n'est pas responsable" de la rafle du Vel d'Hiv en 1942. La candidate frontiste a commis une "faute politique et historique lourde", selon l'ex-ministre. "Jacques Chirac avait raison de reconnaître la responsabilité de la France", a affirmé le candidat d'En Marche.

Mélenchon? "Au mieux c'est de l'angélisme, au pire c'est de l'irresponsabilité"
"Y revenir (...) c'est le signe que Marine Le Pen est bien la fille de Jean-Marie Le Pen, si d'aucuns en doutait encore aujourd'hui. C'est le vrai visage de l'extrême droite française, c'est le visage que je combats", a-t-il insisté. Marine Le Pen s'est également faite attaquée par François Fillon et Benoît Hamon au cours de la journée.

(...)

"François Fillon a un problème avec la vérité, c'est désormais manifeste"
L'ex-ministre a enfin réservé une virulente sortie à François Fillon, "candidat de la droite des affaires". Le Figaro indiquait dimanche que le candidat de la droite disposerait d'un SMS que lui aurait envoyé l'ancien ministre de l'Economie dans lequel il se déclarerait en faveur de la déchéance de nationalité. "François Fillon a un problème avec la vérité, c'est désormais manifeste", a rétorqué Emmanuel Macron, en affirmant avoir "toujours eu la même position sur la déchéance de nationalité".

(...)

http://www.lejdd.fr/Politique/Macron-du ... res-859538

[Pascale]

Depuis novembre on entend ça..

[karoline]

Pour assurer une campagne électorale aussi longue et laborieuse, je pense qu'il faut avoir une résistance surhumaine!! Toute cette campagne est programmée de manière excessive et décousue. Cela coûte en plus des fortunes, pourtant il serait très facile de simplifier et réguler avec l'aide de l'internet et quelques émissions tv où chaque candidat aura les mêmes droits et même temps de parole. Je ne pense pas que c'est nécessaire que les candidats parcourent toute la France en plus pour raconter dans des salles bondées la même chose que ce qui aurait pu se faire par écrit.

[Pascale]

http://www.bfmtv.com/politique/sondage- ... 40292.html

C est bon pour nous...
Impressionnant la différence entre Fillon et Macron en cas de 2e tour...
65 % pour Macron
35 % pour Fillon

[Nico37]

Je ne trouve pas du tout, Fillon est totalement crâmé...

[Etienne Valmont]

http://www.bfmtv.com/politique/sondage- ... 40292.html

C est bon pour nous...
Impressionnant la différence entre Fillon et Macron en cas de 2e tour...
65 % pour Macron
35 % pour Fillon

C'est qui "nous"?

[Pascale]

Les électeurs de Macron.

[politicien]

La récente remontée dans les sondages de Jean-Luc Mélenchon et de François Fillon inquiète les soutiens d'Emmanuel Macron, contraint d'ajuster sa stratégie à la dernière minute.

Emmanuel Macron jouait la victoire finale, il espère désormais assurer sa qualification. Le leader d'En Marche, longtemps placé en tête des intentions de vote avec Marine Le Pen, se voit rattraper dans les sondages par Jean-Luc Mélenchon tandis que François Fillon se maintient autour des 20% des intentions de vote. Conséquence logique : il n'y a non plus deux mais quatre favoris en lice. Et seulement deux places au second tour du scrutin. Cette configuration inédite force l'ancien ministre de l'Economie à ajuster sa stratégie de fin de campagne. Quitte à improviser.

Jusqu'à lundi, Emmanuel Macron s'en tenait en effet à une ligne directrice : il ne souhaitait parler que du projet et, s'il devait avoir une cible, ce ne pouvait être que Marine Le Pen. Maintenant, fini la bienveillance. En conférence de presse lundi, il a tiré à boulets rouges sur François Fillon et Jean-Luc Mélenchon tout en maintenant ses attaques contre Marine Le Pen. Et ce, au risque de ne plus parler du projet.

Le problème des indécis, trop nombreux à une semaine du premier tour

(...)

Fillon, le "véritable adversaire"?

(...)

http://www.lejdd.fr/politique/macron-da ... in-3294671

Difficile fin de campagne pour E. Macron ?

[Jeff Van Planet]

En faite les médias lancent ce genre "d'infos" pour se couvrir.