Les réformes que propose Athènes

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politicien
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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par politicien » 11 juil. 2015, 20:31:51

Le ministre grec de l'Economie demande aux frondeurs de démissionner
Le ministre grec de l'Economie George Stathakis prévient que les parlementaires de l'aile gauche de Syriza, même s'ils sont ministres, devraient démissionner s'ils ne sont pas d'accord avec la ligne du gouvernement concernant les propositions de réformes qui ont été présentées aux créanciers internationaux.

"Si un parlementaire de l'aile gauche du parti n'est pas d'accord avec la politique du gouvernement, ils doivent malgré tout suivre cette ligne et s'ils ressentent un désaccord profond, ils doivent démissionner", a affirmé le ministre d'Alexis Tsipras.

Sans le nommer, Stathakis fait référence au ministre grec de l'Energie qui était l'un de ceux qui n'ont pas voté les mesures présentées présentées par Alexis Tsipras, le chef du gouvernement grec.

(...)

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015 ... groupe.php
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Golgoth
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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par Golgoth » 11 juil. 2015, 21:07:01

Il faut regarder là où c'est important : hier tous les merdias parlaient de "capitulation" et la France soutenait à fond Tsipras. Aujourd'hui, les boches débarquent et jettent d'entrée un froid. Ils prétendent parler au nom de plusieurs pays, mais lesquels ? Comme déjà dit, il y a un petite porte ouverte qui peut permettre d'envoyer les boches aux "poubelles de l'histoire" et c'est maintenant que cela se joue.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI. :mrgreen2:

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Narbonne
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Message non lu par Narbonne » 11 juil. 2015, 21:10:46

Le portugal et l espagne sans doute
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.

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albert
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Message non lu par albert » 11 juil. 2015, 21:15:00

Golgoth » Sam 11 Juil 2015, 21:07:01 a écrit :Il faut regarder là où c'est important : hier tous les merdias parlaient de "capitulation" et la France soutenait à fond Tsipras. Aujourd'hui, les boches débarquent et jettent d'entrée un froid. Ils prétendent parler au nom de plusieurs pays, mais lesquels ? Comme déjà dit, il y a un petite porte ouverte qui peut permettre d'envoyer les boches aux "poubelles de l'histoire" et c'est maintenant que cela se joue.
Parmi les pays demandant un Grexit ("si la Grèce n'améliore pas ses propositions..."), il y aurait l'Allemagne, la Finlande, l'Estonie, la Lituanie, les Pays-Bas, la Slovaquie, la Slovénie... Selon la télé finlandaise, la Finlande pourrait mettre son veto au programme d'aide.
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Message non lu par Golgoth » 11 juil. 2015, 21:22:21

On commence à y voir clair sur les deux blocs de l'Europe :) Si Hollande (via Sapin) a un peu de coucougnette, c'est le moment.
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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par Nombrilist » 11 juil. 2015, 22:36:29

"Le ministre grec de l'Economie George Stathakis prévient que les parlementaires de l'aile gauche de Syriza, même s'ils sont ministres, devraient démissionner s'ils ne sont pas d'accord avec la ligne du gouvernement concernant les propositions de réformes qui ont été présentées aux créanciers internationaux."

La partie est terminée. Syriza est devenue l'équivalent du PASOK (lui-même équivalent du PS français d'aujourd'hui) et les allemands ont gagné.

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Narbonne
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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par Narbonne » 11 juil. 2015, 22:44:26

Il faut attendre la fin de l histoire pour conclure quelque chose.
Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.

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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par politicien » 11 juil. 2015, 22:50:11

21 h 55. Le ministre grec de l'Economie, George Stathakis, s'est exprimé sur la chaîne de télévision Mega TV. Selon Le Figaro, il a assuré que les banques grecques pourraient rouvrir dès la semaine prochaine si un accord est trouvé ce week-end. En revanche, les limitations sur les retraits d'argent et l'exportation de devises devraient rester en place "pour deux mois ou quelques mois".

21 h 44. Alors que les discussions ont reprises à Bruxelles, l'Eurogroupe pourrait se terminer vers 22 heures, ce soir. Les ministres des Finances devraient ainsi passer la main aux 28 dirigeants européens qui se réuniront une nouvelle fois demain à Bruxelles pour un sommet crucial.

21 h 3. L'ambiance serait-elle tendue au dîner de l'Eurogroupe ? Oui à en croire une journaliste sur place qui assure que les ministres sont très silencieux.

20 h 39. Après plus de cinq heures de discussions, l'Eurogroupe est divisé. A en croire Isabelle Ory, la correspondante d'Europe 1 à Bruxelles, certains pays estiment qu'un Grexit coûterait très cher pour les créanciers.

20 h 5. Il n'y aura surement pas d'accord ce soir, rapporte Kattalin Landaburu, la correspondante de France 24 à Bruxelles.

(...)

http://www.lepoint.fr/economie/en-direc ... 684_28.php
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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par johanono » 11 juil. 2015, 23:04:45

Nombrilist » Sam 11 Juil 2015 - 22:36 a écrit :"Le ministre grec de l'Economie George Stathakis prévient que les parlementaires de l'aile gauche de Syriza, même s'ils sont ministres, devraient démissionner s'ils ne sont pas d'accord avec la ligne du gouvernement concernant les propositions de réformes qui ont été présentées aux créanciers internationaux."

La partie est terminée. Syriza est devenue l'équivalent du PASOK (lui-même équivalent du PS français d'aujourd'hui) et les allemands ont gagné.
Les Allemands n'ont pas complètement gagné, car ils devront quand même faire quelques concessions, par rapport à leur idée de départ qui était de ne rien céder du tout.

Mais globalement, oui, on peut dire que Syriza se renie, et c'était très prévisible. Je l'avais depuis le début : faute de vouloir sortir de l'euro, Tspiras and co devront se renier. Et cette ambiguïté concerne aussi Mélenchon chez nous.

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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par johanono » 11 juil. 2015, 23:48:56

Voici une analyse intéressante du revirement de Tsipras :
Pourquoi Alexis Tsipras a capitulé devant les exigences du FMI

Le Premier Ministre grec vient d’opérer un étonnant virage à 180°, en moins d’une semaine. Au moins trois raisons expliquent ce revirement total.

suite

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albert
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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par albert » 12 juil. 2015, 06:47:49

Les conditions d’un “Grexit” - PAR JACQUES SAPIR
La question d’un possible « Grexit » a été à nouveau évoquée lors de la réunion de l’Eurogroupe ce samedi 11 juillet. Il s’apparenterai dans les faits à une expulsion de la Grèce, à moins que son Premier ministre ne consente à présenter sa démission, et ce en dépit d’un vote de confiance massif au Parlement dans la nuit de vendredi à samedi, et en dépit du succès remporté par le « non » au référendum du dimanche 5 juillet. Les conditions d’une sortie de la Grèce de l’Euro dans l’urgence doivent être étudiées très sérieusement compte tenu des positions de l’Allemagne à l’Eurogroupe. Si le blocage des négociations à l’Eurogroupe persiste, et devant la mauvaise fois désormais évidente de certains interlocuteurs, au nombre desquels il faut compter M. Schäuble, le Ministre allemand des finances ou M. Dijsselbloem, le Président de l’Eurogroupe, on ne peut exclure un « Grexit » dans l’urgence dès le début de la semaine prochaine. Confrontée à cette éventualité la Grèce serait dans une situation certes difficile, car les banques sont à cours de liquidités, avec des problèmes de bilans très sérieux, et la Banque Centrale (ou BofG) n’a pas de réserves. Mais cette situation est loin d’être insoluble et ne doit pas effrayer outre mesure le gouvernement grec. Si donc un « Grexit » en urgence doit être envisagé il faudra traiter les problèmes suivants, qui vont des réserves de la Banque Centrale aux liquidités en passant par la question de la dette :

La question des réserves de la Banque Centrale

On admet qu’un taux de réserves par rapport au PIB de 1/30 à 1/20 suffit pour un pays dont le compte courant (balance des exports-imports de biens et services) est à l’équilibre. Le PIB de la Grèce est aujourd’hui de 200 milliards d’Euros, soit approximativement 220 milliards de dollars. Un rapport de 1/20 donnerait donc 11 milliards de dollars. Portons à 20 milliards cette somme pour se prémunir contre tout imprévu. Cette somme pourrait venir de plusieurs sources :

- Le gouvernement pourrait gager une partie des ressources du tourisme, qui représente 17% du PIB actuellement. Si on applique un taux de TVA à 23% sur ce secteur (hôtels et restaurants), les revenus fiscaux gagés vont représenter 8,5 milliards de dollars. Le gouvernement pourrait émettre des certificats gagés sur cette somme.

- Les grecs ont sortis ces derniers mois plus de 35 milliards d’euros (équivalents à 39 milliards de dollars). Ils devront les réintroduire dans la circulation monétaire ne serait-ce que pour payer les impôts. Dans ces conditions 20% de cette somme pourrait être affectée aux réserves de la Banque Centrale, soit 7 milliards de dollars.

- La Grèce pourrait demander à des pays avec lesquels elle entretient de bonnes relations un prêt complémentaire de 5 milliards de dollars.

Cet argent irait abonder un fonds de réserve de la nouvelle monnaie. Compte tenu de l’équilibre de la balance courante, il serait suffisant pour stabiliser cette monnaie. En fait, et compte tenu du quasi-équilibre de la balance courante, on peut penser que ce fonds de réserve serait très peu utilisé. Le contrôle des capitaux déjà en vigueur permet de limiter les prises de positions spéculatives sur la future monnaie grecque.

La question des liquidités

La Grèce est aujourd’hui étranglée par le manque de liquidités. C’est un fait bien établi. Cet étranglement, la version moderne du lacet des assassins ottomans, est entièrement lié à la politique de la Banque Centrale Européenne. Face à cela, le gouvernement grec peut émettre des reconnaissances de dette à trois ou six mois auxquelles il confèrerait le cours légal et qu’il accepterait en paiement des impôts. Ceci permettrait à l’économie de retrouver de la liquidité.

Mais, comme on l’a dit dans une précédente note, la solution qui s’impose serait en réalité une réquisition de la Banque Centrale. Cette réquisition doit être faite dans le cadre des pouvoirs d’urgence que le gouvernement grec ne manquerait pas d’invoquer si un « Grexit » était constaté. Cette réquisition permet, de manière temporaire et en attendant qu’une nouvelle loi précisant l’organisation bancaire ne soit votée, de placer la BofG sous le contrôle direct du Ministère des finances et de remplacer son directeur actuel. Cette opération permettrait au gouvernement de libérer les réserves détenues soit à la BofG soit sous contrôle de la BofG dans les banques commerciales. De toute manière, dans le cas d’une sortie de l’Euro, la réquisition de la Banque Centrale s’impose. En combinant ces deux méthodes, le gouvernement grec desserrerait le lien qui aujourd’hui l’étrangle. Il montrerait aussi à tous les agents, qu’ils soient grecs ou étranger, sa résolution à reprendre en main sa monnaie et son destin.

la question de la dette

Le problème de la dette grecque se pose ensuite. Cette dette est importante par rapport au PIB, représentant 341 milliards d’euros. En cas de dépréciation de la nouvelle monnaie, il est clair que le poids de cette dette, qui pèse déjà très lourdement sur la Grèce, serait accru. Cette dette a été émise de Bruxelles et de Francfort dans le cadre des plans d’aide qui furent en réalité des plans de transfert des créances détenues par des banques privées vers les Etats de la zone Euro. Cela constitue une importante différence avec la dette de la France ou de l’Italie, dette qui est émise dans des conditions bien plus normales et qui est majoritairement (à plus de 97% dans le cas de la France) émise dans le droit national. Dans le cas de la Grèce le problème est que – dans ces conditions particulières – la lex monetae ne s’applique pas. Il n’y a donc pas de solution autre que le défaut sur la dette, comme le fit la Russie en 1998. Une fois ce défaut réalisé, la condition de reconnaissance de la dette (à 20% ou 30 de sa valeur faciale) pourra être discutée. Mais, il est très important que le gouvernement grec annonce le défaut sur sa dette en même temps qu’il constatera que l’Euro ne peut plus avoir cours légal sur son territoire. En fait, la question du changement de monnaie et du défaut sont étroitement liées.

La question des banques commerciales

Les banques commerciales grecques, dans le cas d’un défaut sur la dette et d’une rupture avec la BCE, se trouveront en faillite. Le montant nécessaire pour leur recapitalisation est évalué actuellement à 25 milliards d’euros par le FMI. C’est une somme considérable. Ces banques commerciales doivent donc être nationalisées, mais, s’inspirant de l’exemple islandais, le gouvernement grec ferait bien de ne pas chercher à les recapitaliser entièrement. En fait la partie « banque d’investissement » doit être laissée à elle-même et doit faire faillite. Par contre la partie banque de circulation doit elle être sauvée. Cette partie pouvant opérer sous le contrôle de l’Etat, avec une garantie des dépôts de la population à travers une aide exceptionnelle apportée par la Banque Centrale, la BofG, qui aura été au préalable réquisitionné ». Cette partie devra être recapitalisée et le gouvernement devrait pour cela déclarer un emprunt obligatoire sur tous les ménages gagnant plus de 60 000 euros par an, emprunt dont les intérêts seraient égaux à l’inflation.



Telles sont les mesures qui s’imposeraient si la Grèce devait se faire expulser de la zone Euro, mesure inouïe, et qui libérerait la Grèce de l’obligation de respecter les traités, du moins dans le domaine monétaire. Ceci n’épuise pas le sujet. Il est clair que les responsabilités de l’Allemagne seraient alors immenses, et que d’autres pays pourraient très sérieusement songer à quitter l’Euro, provoquant de fait sa dissolution. Mais, aujourd’hui, l’urgence est de montrer le chemin que la Grèce peut suivre afin que ce « Grexit » se passe le mieux possible, quitte à par la suite attaquer en justice la BCE et l’Allemagne.
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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par Golgoth » 12 juil. 2015, 07:36:58

Ça me plait bien tout cela :) on sera fixé aujourd'hui et demain. J'espère que vous ne boursicotez pas trop les gars.
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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par Jeff Van Planet » 12 juil. 2015, 08:50:36

Sapir me fait bien rire avec ses conversions d'Euros en Dollars^^ Il essaye vraiment de faire passer l'idée que le dollar aurait plus de légitimité que l'Euro...

A part ça, il ne fait que parler de comme cela pourrait se passer, libre à vous d'interpréter cela comme "il faut le faire".
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
J.Saramago

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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par Golgoth » 12 juil. 2015, 09:01:49

Le dollar a en tout cas une vie plus longue que l'euro, qui ne dépassera pas les 20 ans.
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Re: Les réformes que propose Athènes

Message non lu par politicien » 12 juil. 2015, 09:27:40

00h14 : "des discussions toujours difficiles" selon le président de l'Eurogroupe

Jeroen Dijsselbloem, le président néerlandais de l'Eurogroupe, a brièvement résumé la réunion de samedi devant les journalistes : "Les discussions sont toujours difficiles, mais le travail continue." Le responsable a annoncé la reprise des négociations pour 11 heures, dimanche matin.

00h01 : fin de la réunion de l'Eurogroupe à Bruxelles, aucun accord conclu
L'Eurogroupe a suspendu ses discussions. A la sortie de la réunion, Alexander Stubb, le ministre des Finances finalandais, a confirmé qu'aucun accord n'avait été conclu. Mais "les discussions ont "bien progressé", a-t-il tenu à ajouter. La reprise des négociations est prévue pour dimanche, a-t-il précisé sur Twitter :


22h20 : L'Eurogroupe planche sur des mesures supplémentaires
Selon l'agence Reuters, les ministres des Finances de la zone euro travaillent à la rédaction d'un communiqué comprenant de nouvelles mesures à prendre par Athènes avant un possible troisième plan de sauvetage pour garder la Grèce dans le bloc monétaire, a indiqué samedi soir une source proche des négociations.

21h37 : la Finlande pourrait mettre son veto contre le plan d'aide à la Grèce
Selon un média local, la Finlande pourrait mettre son veto contre un troisième plan d'aide à la Grèce. Le ministre des Finances finlandais Alexander Stubb a en effet été sommé par le Parlement de son pays de négocier une sortie de la Grèce de la zone euro, a affirmé samedi soir la télévision publique Yle. Ce qui ne manque de faire réagir Laurence Parisot, l'ancienne patronne du Medef

(...)

http://www.lejdd.fr/International/UE/Su ... ece-741896
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