Les réformes que propose Athènes
Re: Les réformes que propose Athènes
Peut-être que tout ça, c'est une stratégie de Tsipras pour faire porter la responsabilité de l'échec des négociations à l'Allemagne ?
Re: Les réformes que propose Athènes
On le saura bien vite.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
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Re: Les réformes que propose Athènes
C'est ce que nous pensons depuis longtemps, mais ça fait un peu longuet comme stratégie maintenant. J'y ai cru, mais depuis peu de temps, je doute.johanono » Dim 12 Juil 2015 - 22:29 a écrit :Peut-être que tout ça, c'est une stratégie de Tsipras pour faire porter la responsabilité de l'échec des négociations à l'Allemagne ?
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Re: Les réformes que propose Athènes
Itélé : Sommet €uro : "Nous sommes mécontents du montant des privatisations, de leur modalités et de l'absence d'aide d'urgence", un proche de Tsipras
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Re: Les réformes que propose Athènes
Si Tsipras cède en acceptant un accord, il sera en difficulté politique face à sa propre majorité parlementaire. Si Merkel cède en faisant trop de concessions, elle sera en difficulté politique face à sa propre majorité parlementaire. C'est là qu'on constate le caractère irréconciliable des positions allemande et grecque.
Re: Les réformes que propose Athènes
Entre faire des concessions et faire de la surenchère, il y a une différence. Merkel n'a fait aucune concession, elle en demande toujours plus à la Grèce.johanono » Dim 12 Juil 2015, 22:53:16 a écrit :Si Tsipras cède en acceptant un accord, il sera en difficulté politique face à sa propre majorité parlementaire. Si Merkel cède en faisant trop de concessions, elle sera en difficulté politique face à sa propre majorité parlementaire. C'est là qu'on constate le caractère irréconciliable des positions allemande et grecque.
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Re: Les réformes que propose Athènes
Tsipras a au moins le mérite de ne pas être un paillasson.
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Re: Les réformes que propose Athènes
S'il accepte l'inacceptable, il sera un paillasson. Verdict sans doute dans les heures qui viennent.Baltorupec » Dim 12 Juil 2015, 23:20:52 a écrit :Tsipras a au moins le mérite de ne pas être un paillasson.
Le plan proposé par l'Allemagne est une déclaration de guerre qui soulève l'indignation partout dans le monde : #ThisIsACoup trending
Tsipras doit quitter la table des négociations : c'est l'appel qui lui est lancé par les internautes. #TsiprasLeaveEUSummit
Désormais, quel que soit ce que l'on peut penser ou craindre d'un Grexit, c'est la moins pire des solutions.
L'Allemagne a porté un coup terrible, peut-être fatal, au projet européen. C'est ce que dit Paul Krugman.
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Re: Les réformes que propose Athènes
8h49 : 15 heures plus tard, un accord "a été trouvé"
Le Premier ministre belge l'annonce sur son compte Twitter.
5h00 : un projet de compromis a été rédigé par Tsipras, Hollande et Merkel. Les discussions reprennent
Un brouillon de compromis a été rédigé par Alexis Tsipras, François Hollande, Angela Merkel et Donald Tusk, a annoncé lundi ce dernier, le porte-parole de ce dernier, président du Conseil européen. Les 19 se réunissent à nouveau pour le discuter. Lire ici.
3h00 : Alexis Tsipras, Angela Merkel et François Hollande ont entamé une nouvelle réunion en petit comité
23h35 : dans l'impasse, les négociations sont de nouveau suspendus
Sept heures après le début du sommet de la zone euro, les négociations sont actuellement dans une impasse. Les dirigeants européens ne parviennent pas à s'entendre sur la question des privatisations, et une deuxième pause pourrait bientôt avoir lieu pour de nouvelles discussions bilatérales. La possibilité d'un "Grexit temporaire" serait pour le moment abandonnée, selon la journaliste Tara Palmeri (Politico). Joseph Muscat, Premier ministre de Malte, a annoncé sur Twitter une deuxième suspension de séance :
(...)
http://www.lejdd.fr/International/UE/Su ... ece-741896
Edit : Accord unanime de la zone euro pour négocier un 3e programme d'aide (officiel)Dans la nuit de dimanche à lundi, et après près de 13 heures de discussion sur les solutions pour sortir de la crise grecque, Angela Merkel, français François Hollande, Alexis Tsipras et Donald Tusk ont élaboré un projet de compromis, qui est en discussion.
Les dirigeants de la zone euro s'efforçaient de trouver un compromis pour maintenir la Grèce dans l'euro tôt lundi matin, quelques heures avant que la Banque centrale européenne ne décide de maintenir ou non l'économie grecque sous perfusion.
Après près de treize heures de discussions, et de nombreuses interruptions de séance, un projet de compromis a été mis sur la table par la chancelière allemande Angela Merkel, le président français François Hollande, le Premier ministre grec Alexis Tsipras et le président du Conseil européen, Donald Tusk, a indiqué une source proche des discussions. Ce texte est maintenant soumis aux 19 dirigeants de la zone euro, a indiqué cette source, quelques minutes après que le Conseil européen eut annoncé la reprise des discussions au sommet avec "un compromis" sur la table. A 6 heures, le sommet était à nouveau suspendu pour des "consultations finales" sur ce texte.
A priori, pas de sortie de la Grèce de l'euro
Mais Athènes a rappelé que deux grandes questions restaient ouvertes, le rôle que va jouer le FMI si la Grèce obtient un nouveau plan d'aide de la zone euro, et la création hors du pays d'un fonds regroupant des actifs grecs à hauteur de 50 milliards d'euros pour garantir les privatisations promises. "Sur tout le reste, on est presque d'accord, on a dégagé le terrain", a indiqué une source gouvernementale grecque, estimant qu'"avec un pistolet sur la tempe", tout le monde serait prêt à faire des concessions.
Si le texte soumis au petit matin ne prévoit a priori pas de sortie temporaire de la Grèce de la monnaie unique, comme évoqué noir sur blanc dans un projet des ministres des Finances, il risque d'être difficile à accepter en Grèce où le gouvernement de gauche radicale d'Alexis Tsipras avait promis qu'il ne se laisserait pas imposer de nouveaux sacrifices.
(...)
http://www.lejdd.fr/International/UE/Gr ... mis-742262
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Re: Les réformes que propose Athènes
Voilà, un accord a été trouvé, c'est que je prédis depuis le début.
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Re: Les réformes que propose Athènes
Tsipras devrait donc démissionner et se retirer de la vie politique. Il a trahi sa parole, ses électeurs et son peuple qui a voté non il y a une semaine.
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Re: Les réformes que propose Athènes
Tu vois, avant le référendum, je disais que si le oui l'emportait, il ne pourrait plus appliquer sa politique et devrait démissionner, j'ai aussi dit que si le non l'emportait, la sortie de l'Euro serait inévitable (je me suis planté) et comme la sortie de l'€ n'était pas dans son programme il devrait démissionner. J'ai même conclue que ce référendum ne servait à rien pûisque dans n'importe quel cas il aurait dû démissionner. Ma dernière pensée était que ce référendum ne pouvait être qu'un coup de Jarnac.Nombrilist » 13 Juil 2015, 09:15:45 a écrit :Tsipras devrait donc démissionner et se retirer de la vie politique. Il a trahi sa parole, ses électeurs et son peuple qui a voté non il y a une semaine.
Sur ce dernier point je ne m'était pas trompé: en faite de demander de voter "non" comme un oui pour sortir de l'Euro, il à interprété ce "non" comme un plébiscite sur sa personne, lui donnant ainsi les quasis pleins pouvoirs pour négocier un délais de grâce plus du cash pour "relancer la croissance".
Le grand problème de notre système démocratique c'est qu'il permet de faire démocratiquement des choses non démocratiques.
J.Saramago
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Re: Les réformes que propose Athènes
Varoufakis révèle qu'il a été viré parce qu'il était partisan d'une ligne dure face à l'UE :
Varoufakis révèle les raisons de sa démission (Libération - AFP)
Varoufakis révèle les raisons de sa démission (Libération - AFP)
L’ancien ministre des Finances grec Yanis Varoufakis a révélé, dans un entretien publié lundi, avoir démissionné après avoir été mis en minorité, le soir du référendum, sur sa ligne dure prévue face à la BCE après la fermeture des banques grecques.
(...)
Mais dans un entretien au magazine britannique New Statesman, réalisé juste avant l’accord de lundi matin pour négocier une nouvelle aide à l’économie grecque, il révèle avoir en fait perdu à quatre contre deux lors d’une réunion de cabinet après la victoire du non, au cours de laquelle il prônait une ligne dure.
Les banques grecques sont alors fermées depuis le 29 juin, pour éviter une hémorragie de l’épargne, alors que la Banque centrale européenne a cessé d’ajuster le plafond de son aide d’urgence à ces établissements.
M. Varoufakis, persuadé d’avance que cette situation «voulue par la BCE pour sceller un accord» allait se produire, avait prévu «un triptyque» d’actions pour y répondre : «émettre des IOUs» (phonétiquement «I owe you», «je vous dois», des reconnaissances de dettes en euros); «appliquer une décote sur les obligations grecques» détenues par la BCE depuis 2012, pour réduire d’autant la dette, et «prendre le contrôle de la Banque de Grèce des mains de la BCE».
Cela laissait, selon lui, entrevoir une possible sortie de la Grèce de l’euro mais avec la certitude, explique-t-il, qu’il n’y avait de toute façon aucun moyen légal de la pousser dehors. Le tout pour faire peur et obtenir un meilleur accord des créanciers, selon lui.
Il a émis cette suggestion plusieurs fois entre le 29 juin et la victoire du non.
«Mais ce soir-là, regrette-t-il, le gouvernement a décidé que la volonté du peuple, ce +non+ retentissant, ne devait pas être le déclencheur de cette approche énergique (...) au contraire cela allait mener à des concessions majeures à l’autre camp».
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Re: Les réformes que propose Athènes
Selon lui, «il n’y a que le ministre des Finances français (Michel Sapin, ndlr)qui émettait une tonalité différente de la ligne allemande, et c’était très subtil. (...) Dans l’analyse finale, quand Doc (sic) Schäuble répondait et déterminait la ligne officielle, le ministre français finissait toujours par plier et accepter», assure-t-il.
Re: Les réformes que propose Athènes
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