Du droit à l'indifférence au droit à la différence
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
Les jeunes qui courent devant les toros ont souvent grandi dans le coin des manades. Parfois leur père était eleveur ou employé chez un éleveur. Ils sont tombés dedans quand ils étaient petits et c'est un jeu comme la chasse, la pêche, le rugby. Bref un jeu de garçons à la campagne. Ils n'ont rien à prouver comme immigré. Il montrent juste leur adresse et leur courage. C'est pas très deconstruit mais c'est sympa.
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
@Camille :
Je sais bien que les mœurs évoluent.
Je suis conscient qu'il existe un gouffre entre mon idéal (une certaine unité sociale et culturelle) et la réalité (une société multiculturelle), je suis conscient qu'on ne reviendra pas en arrière, et je donc je sais bien qu'il vaut mieux essayer d'accompagner cette situation.
Je n'ai pas non plus la prétention de définir ce qu'est "un bon Français", et je n'ai jamais dit qu'il faut manger du saucisson, boire du vin et porter le béret pour être un bon Français.
En revanche, je me sens agressé par certaines minorités, et donc je me défends contre elles.
Je me sens agressé quand je constate une sur-représentation des immigrés dans la délinquance racaillique urbaine.
Je me sens agressé quand des drag-queens et autres militants LGBT viennent faire de la propagande aux enfants.
Je me sens agressé quand je me fais traiter d'homophobe ou de transsophobe si je refuse de reconnaître la théorie du genre.
Je me sens agressé quand je me fais traiter d'homophobe si je dis qu'un enfant doit avoir un papa et une maman.
Je me sens agressé quand je constate que la liberté d'expression a beaucoup diminué en France (et ailleurs en Occident) ces dernières décennies : il y a beaucoup de choses qu'on ne peut plus dire sous peine de se faire traiter d'homophobe, transphobe, biphobe, islamophoble, etc.
Je suis effrayé quand je constate qu'on incite beaucoup d'adolescents à entamer des transitions.
Je constate que beaucoup de musulmans, Français de papiers, se sentent davantage musulmans que français. Sinon, ils n'arboreraient de tee-shirts comme CELUI-CI ni ne célébreraient les victoires de l'équipe d'Algérie, ni ne siffleraient la Marseillaise, ni ne brûleraient de drapeaux français.
Tu écris que l'islam "s'est acclimaté à la France", mais c'est faux ! Pour rappel, on a beaucoup tué en France, ces dernières années, au nom d'Allah. Alors qu'on n'a pas tué en France, ces dernières années, au nom de Jésus. Aujourd'hui, en France, des juifs se font agresser parce qu'ils sont juifs, comme au début du 20e siècle, sauf qu'ils se font agresser par des musulmans, pas par l'extrême-droite. Aujourd'hui, en France, plus personne n'ose critiquer publiquement leur prophète esclavagiste et pédophile, par peur de se faire trucider. Et les revendications formulées au nom de l'islam dans les services publics sont une réalité (contestation de certains enseignements, revendications de menus séparés, etc.). Quant à la condition des femmes dans les banlieues islamisées, que tu le veuilles ou non, elle marque une très forte régression par rapport à tous les progrès réalisés au cours du 20e siècle. L'islam "s'est acclimaté à la France", vraiment ?
Je sais bien que les mœurs évoluent.
Je suis conscient qu'il existe un gouffre entre mon idéal (une certaine unité sociale et culturelle) et la réalité (une société multiculturelle), je suis conscient qu'on ne reviendra pas en arrière, et je donc je sais bien qu'il vaut mieux essayer d'accompagner cette situation.
Je n'ai pas non plus la prétention de définir ce qu'est "un bon Français", et je n'ai jamais dit qu'il faut manger du saucisson, boire du vin et porter le béret pour être un bon Français.
En revanche, je me sens agressé par certaines minorités, et donc je me défends contre elles.
Je me sens agressé quand je constate une sur-représentation des immigrés dans la délinquance racaillique urbaine.
Je me sens agressé quand des drag-queens et autres militants LGBT viennent faire de la propagande aux enfants.
Je me sens agressé quand je me fais traiter d'homophobe ou de transsophobe si je refuse de reconnaître la théorie du genre.
Je me sens agressé quand je me fais traiter d'homophobe si je dis qu'un enfant doit avoir un papa et une maman.
Je me sens agressé quand je constate que la liberté d'expression a beaucoup diminué en France (et ailleurs en Occident) ces dernières décennies : il y a beaucoup de choses qu'on ne peut plus dire sous peine de se faire traiter d'homophobe, transphobe, biphobe, islamophoble, etc.
Je suis effrayé quand je constate qu'on incite beaucoup d'adolescents à entamer des transitions.
Je constate que beaucoup de musulmans, Français de papiers, se sentent davantage musulmans que français. Sinon, ils n'arboreraient de tee-shirts comme CELUI-CI ni ne célébreraient les victoires de l'équipe d'Algérie, ni ne siffleraient la Marseillaise, ni ne brûleraient de drapeaux français.
Tu écris que l'islam "s'est acclimaté à la France", mais c'est faux ! Pour rappel, on a beaucoup tué en France, ces dernières années, au nom d'Allah. Alors qu'on n'a pas tué en France, ces dernières années, au nom de Jésus. Aujourd'hui, en France, des juifs se font agresser parce qu'ils sont juifs, comme au début du 20e siècle, sauf qu'ils se font agresser par des musulmans, pas par l'extrême-droite. Aujourd'hui, en France, plus personne n'ose critiquer publiquement leur prophète esclavagiste et pédophile, par peur de se faire trucider. Et les revendications formulées au nom de l'islam dans les services publics sont une réalité (contestation de certains enseignements, revendications de menus séparés, etc.). Quant à la condition des femmes dans les banlieues islamisées, que tu le veuilles ou non, elle marque une très forte régression par rapport à tous les progrès réalisés au cours du 20e siècle. L'islam "s'est acclimaté à la France", vraiment ?
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
Quand je disais que l'islam s'était acclimaté, je voulais dire qu'il imprègne aujourd'hui notre quotidien. Ce n'est pas un fait nouveau, il fait partie des "meubles" (croiser un musulman est devenu banal, beaucoup plus que croiser un juif), avec ce que ça implique comme désagréments. Le mot est peut-être mal choisi mais je voulais dire par là que ce n'est plus un phénomène lié à l'immigration. C'est devenu un phénomène français, avec des descendants d'immigrés qui sont 100% français et même des Français de souche qui se convertissent. Mais on continue de le traiter comme une menace venant de l'extérieur dont il faut se prémunir. Et donc, il est vain et non pertinent d'appeler les musulmans qui sont déjà français à "s'intégrer". En France, quand on parle d'intégration, c'est donc surtout de conformisme dont il est question.
Quand aux agressions dont tu dis être victimes, c'est risible. Ce sont des problèmes de riches.
Quand aux agressions dont tu dis être victimes, c'est risible. Ce sont des problèmes de riches.
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
OK, d'accord pour ne pas parler d'intégration.Camille a écrit : ↑24 juil. 2023, 16:44:36Quand je disais que l'islam s'était acclimaté, je voulais dire qu'il imprègne aujourd'hui notre quotidien. Ce n'est pas un fait nouveau, il fait partie des "meubles" (croiser un musulman est devenu banal, beaucoup plus que croiser un juif), avec ce que ça implique comme désagréments. Le mot est peut-être mal choisi mais je voulais dire par là que ce n'est plus un phénomène lié à l'immigration. C'est devenu un phénomène français, avec des descendants d'immigrés qui sont 100% français et même des Français de souche qui se convertissent. Mais on continue de le traiter comme une menace venant de l'extérieur dont il faut se prémunir. Et donc, il est vain et non pertinent d'appeler les musulmans qui sont déjà français à "s'intégrer". En France, quand on parle d'intégration, c'est donc surtout de conformisme dont il est question.
Mais il y a quand même une problématique liée à l'islam, et il faut savoir comment on la traite, intégration ou pas. Est-ce qu'on laisse faire, au nom de la liberté, au nom de l'inclusion, à la façon des Anglais, ou des Canadiens et de leurs accommodements raisonnables ? Ou bien est-ce qu'on définit certains interdits, non pas au nom de la laïcité, mais au nom de l'ordre public ? Moi, je retiens clairement dans l'option n° 2. Toi aussi, je crois, ce qui signifie que, malgré les apparences, nous ne sommes pas si éloignés que ça l'un de l'autre.
En revanche, j'attends toujours que tu dises ce que tu penses du voile et, plus généralement, de la condition des femmes dans les banlieues.
Au-delà de mon cas personnel, il y a la situation du pays.Quand aux agressions dont tu dis être victimes, c'est risible. Ce sont des problèmes de riches.
La liberté d'expression est en régression dans mon pays.
La condition des femmes est en régression dans mon pays (au moins dans certains quartiers).
L'antisémitisme est en progression dans mon pays.
Certaines normes disparaissent progressivement (le concept de famille avec un papa et une maman, etc.).
Et plus généralement, il y a une explosion de la délinquance racaillique urbaine.
Ces sujets-là me semblent importants, et m'inquiètent.
Et j'ai l'impression qu'il y a un grand renversement des valeurs. Sur la liberté d'expression, la condition des femmes, la lutte contre l'antisémitisme, la gauche fut jadis à la pointe du combat, face à une droite plutôt autoritaire, machiste et antisémite. Les progrès obtenus sont menacés, mais on dirait bien que la gauche a désormais déserté ces combats.
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
Difficile de dire que parce qu'un musulman est légalement de nationalité française il est français. Quand on voit que plus de 50% des jeunes placent la charia au dessus des lois de la république, ou que l'on siffle l'hymne national, ou que l'on s'attaque aux symboles de la république: écoles, bibliothèques, mairies, commissariat, etc .; on peut se demander si être français ne signifie que avoir la nationalité française sur le papier. Doit on parler là de lutte contre un conformisme ?Camille a écrit : ↑24 juil. 2023, 16:44:36Quand je disais que l'islam s'était acclimaté, je voulais dire qu'il imprègne aujourd'hui notre quotidien. Ce n'est pas un fait nouveau, il fait partie des "meubles" (croiser un musulman est devenu banal, beaucoup plus que croiser un juif), avec ce que ça implique comme désagréments. Le mot est peut-être mal choisi mais je voulais dire par là que ce n'est plus un phénomène lié à l'immigration. C'est devenu un phénomène français, avec des descendants d'immigrés qui sont 100% français et même des Français de souche qui se convertissent. Mais on continue de le traiter comme une menace venant de l'extérieur dont il faut se prémunir. Et donc, il est vain et non pertinent d'appeler les musulmans qui sont déjà français à "s'intégrer". En France, quand on parle d'intégration, c'est donc surtout de conformisme dont il est question.
Quand aux agressions dont tu dis être victimes, c'est risible. Ce sont des problèmes de riches.
Non ce n'est pas seulement une menace de l'extérieur. Elle est de l'extérieur car les pays musulmans financent les mosquées, forment les imams, mais c'est une menace de l'intérieur car l'Islam pour sa population non intégrée a construit un communautarisme ou la loi est la charia ou les femmes ne peuvent se vêtir comme elles le souhaitent, ou elles ne peuvent fréquenter des garçons d'une autre confessionnalité, etc.
- les orteils
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Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
D'ailleurs nombre d'attentats ont été commis par des Français. La force des islamistes est précisément de convaincre les musulmans sans se préoccuper de leur nationalité : c'est la charia qui prime. Et si le prochain président sera du RN et non de gauche, il y a une raison.
C'est toujours hier que commence le futur, mais la France continue de penser que tout commence demain. (Boualem SANSAL)
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
Le voile ne violente pas directement la femme.johanono a écrit : ↑24 juil. 2023, 13:13:32Là, comme ça, je ne mets pas tout à fait sur le même plan les barbus islamistes et des gamins de 8/10 ans jouant au foot dans une cour d'école...
Je ne vois rien de politique ou de religieux dans le fait que des gamins jouent au foot dans une cour d'école. C'est l'innocence de l'enfance... Un barbu islamiste qui impose à sa femme de porter le voile, des femmes qui ne peuvent pas se promener en jupe dans certains quartiers sans se faire siffler voire insulter, des gitans qui imposent la "cérémonie du mouchoir" aux jeunes mariées : cela me semble autrement plus grave.
Le voile est une marque de soumission de la femme (tu l'as toi-même dit). Je ne vois aucune soumission dans le fait que des filles préfèrent jouer à la marelle plutôt qu'au foot. Juste une question de goûts. Cessez donc de vouloir tout politiser et de voir dans le moindre geste de la vie quotidienne le symbole à combattre de je ne sais quelle société patriarcale et discriminante !
Par contre, c'est effectivement un marqueur de soumission, un révélateur, un élément qui symbolise le statut de second rang attribué aux femmes. Je ne retire pas un mot de ce que j'ai dit.
Et que tu le veuilles ou non, quand les filles n'ont pas les moyens d'investir la place centrale d'un lieu de récréation, c'est aussi un marqueur, un révélateur de quelque chose, le symbole que dès le plus jeune âge, les filles peuvent être mises à l'écart à leur détriment. Il y a beaucoup de choses qui se jouent dès l'enfance. Tu seras à mon avis le 1er à dire que pour éviter la délinquance future, l'importance d'une éducation forte et ferme est déterminante. Par contre, je me demande bien par quelle obscure théorie tu en viens à considérer que l'éducation, avec notamment la question du partage de l'espace entre garçons et filles, n'aurait strictement aucune influence sur les attitudes machistes de demain. Comme toujours, tu choisis les sujets qui t'arrange. Ce qui vaut pour la délinquance ne vaut plus pour l'émancipation des femmes.
Mais bon, le problème c'est que ta mauvaise foi est délirante.
Regarde avec un peu de recul comment tu présentes les choses.
Voile = barbu islamiste.
Parcage des filles = elles veulent jouer à la marelle.
Forcément, la discussion s'annonce laborieuse...
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
C'est justement ça le cœur du problème.les orteils a écrit : ↑24 juil. 2023, 14:52:26A défaut, on organise des rotations mais j'ose espérer qu'on ne laisse jamais le monopole du grand espace aux footeux et les recoins aux autres.
Il y a des types en France, à l'image de Johanono, qui sont assez tordus pour provoquer des esclandres si un professeur aurait le malheur d'organiser des rotations dans une cour de récréation et de proposer de temps en temps une alternative au foot. Car c'est l'insupportable lobby féministe / LGBT en action...
Non, il n'a jamais été question de faire une piste cyclable pour chaque sexe.les orteils a écrit : ↑24 juil. 2023, 14:52:26Je n'ai pas compris grand chose à cette histoire de pistes genrées : il y a un code de la route que chacun doit respecter. Il est déjà assez difficile d'obtenir des pistes cyclables, si en plus il en faut une pour chaque sexe... D'autant que ces remarques pourraient s'appliquer aux routes : les chauffards sont surtout masculins.
C'est beaucoup plus subtil que ça.
Des "pistes" cyclables, il y en a de toutes les sortes.
Il y a ça :
- la "A", très bien
- la "B", dégueulasse
Conclusion, si on veut que les filles fassent plus de vélo, favoriser A.
Voilà c'est tout.
Y a rien de plus que ça.
Encore une fois, aucune raison de pousser des cris d'orfraie...
Malheureusement, certains y voient une nouvelle fois l'affreux lobby féministe / LGBT à l'œuvre.
- les orteils
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Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
Merci pour ces explications. Il me reste juste une question, à l'origine de mes interrogations : pourquoi utiliser le terme de piste genrée ? La sécurité c'est pour tout le monde !
C'est toujours hier que commence le futur, mais la France continue de penser que tout commence demain. (Boualem SANSAL)
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
J'ai un gros doute sur le fait que les promoteurs de cette idée aient utilisé le terme de "piste genrée".les orteils a écrit : ↑25 juil. 2023, 07:12:48Merci pour ces explications. Il me reste juste une question, à l'origine de mes interrogations : pourquoi utiliser le terme de piste genrée ? La sécurité c'est pour tout le monde !
Je parierais plutôt sur le fait que les anti-féministes/LGBT aient usé de ce terme pour tourner la chose en ridicule.
- les orteils
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Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
C'est le terme utilisé sur ce forum, on le retrouve aussi dans certains articles de presse, d'où mon étonnement, voire mon incompréhension.
C'est toujours hier que commence le futur, mais la France continue de penser que tout commence demain. (Boualem SANSAL)
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
Et moi je te qualifie d'homophobe parce que tu as associé homosexualité et zoophilie.johanono a écrit : ↑24 juil. 2023, 16:24:38Je me sens agressé quand je me fais traiter d'homophobe ou de transsophobe si je refuse de reconnaître la théorie du genre.
Je me sens agressé quand je me fais traiter d'homophobe si je dis qu'un enfant doit avoir un papa et une maman.
Je me sens agressé quand je constate que la liberté d'expression a beaucoup diminué en France (et ailleurs en Occident) ces dernières décennies : il y a beaucoup de choses qu'on ne peut plus dire sous peine de se faire traiter d'homophobe, transphobe, biphobe, islamophoble, etc.
Certes, je pense que ça t'a un peu échappé (encore que) mais permets moi de croire que ça reflète ce que tu penses vraiment.
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
Modo : les amis @Yakiv @johanono je vous fais totalement confiance pour que ça ne dérive pas. (Je ne m'imagine même pas devoir modérer des débatteurs expérimentés comme vous)
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
A Lyon, ils ont parlé de pistes cyclables non genrées :Yakiv a écrit : ↑25 juil. 2023, 08:43:32J'ai un gros doute sur le fait que les promoteurs de cette idée aient utilisé le terme de "piste genrée".les orteils a écrit : ↑25 juil. 2023, 07:12:48Merci pour ces explications. Il me reste juste une question, à l'origine de mes interrogations : pourquoi utiliser le terme de piste genrée ? La sécurité c'est pour tout le monde !
Je parierais plutôt sur le fait que les anti-féministes/LGBT aient usé de ce terme pour tourner la chose en ridicule.
https://www.rtl.fr/actu/politique/lyon- ... 7900162135
Tout ce qu'on veut te dire, c'est que la sécurité, c'est pour tout le monde : il n'y a pas besoin d'inventer une opposition entre les hommes et les femmes pour cela.
Re: Du droit à l'indifférence au droit à la différence
Je n'ai jamais dit que homosexualité = zoophilie. Merci de ne pas me faire dire ce que je n'ai jamais dit.Yakiv a écrit : ↑25 juil. 2023, 08:55:44Et moi je te qualifie d'homophobe parce que tu as associé homosexualité et zoophilie.johanono a écrit : ↑24 juil. 2023, 16:24:38Je me sens agressé quand je me fais traiter d'homophobe ou de transsophobe si je refuse de reconnaître la théorie du genre.
Je me sens agressé quand je me fais traiter d'homophobe si je dis qu'un enfant doit avoir un papa et une maman.
Je me sens agressé quand je constate que la liberté d'expression a beaucoup diminué en France (et ailleurs en Occident) ces dernières décennies : il y a beaucoup de choses qu'on ne peut plus dire sous peine de se faire traiter d'homophobe, transphobe, biphobe, islamophoble, etc.
Certes, je pense que ça t'a un peu échappé (encore que) mais permets moi de croire que ça reflète ce que tu penses vraiment.
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