Le "ras-le-bol fiscal" invité des municipales
- El Fredo
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Re: Le "ras-le-bol fiscal" invité des municipales
Il aura l'air c*n si le chômage baisse d'ici les municipales (inch'allah).
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Re: Le "ras-le-bol fiscal" invité des municipales
Une pétition pour supprimer l’impôt sur le revenu 22/10
Jeunes actifs, le mouvement qui rassemble les trentenaires de l’UMP, lance une pétition pour demander la suppression de l’impôt sur le revenu.
La direction de l’UMP ne reprend pas à son compte cette proposition qui coûterait à l’État 75 milliards d’euros par an et serait très profitable aux contribuables les plus aisés.
(...)
- El Fredo
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Re: Le "ras-le-bol fiscal" invité des municipales
On dirait du Paul Ryan : on finance des baisses d'impôts substantielles par des "économies" non détaillées. Les Américains ont appelé ça la "Magic Asterisk".
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Re: Le "ras-le-bol fiscal" invité des municipales
C'est juste un énième avatar de la courbe de Laffer.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Le "ras-le-bol fiscal" invité des municipales
Copé : « Ce qui est ressenti en Bretagne l'est dans toute la France » Jean-Baptiste Garat 27/10
Le président de l'UMP accuse le gouvernement d'avoir créé une « fissure gigantesque dans le consentement de l'impôt » par les Français, et soumet des propositions de diminution à travers la baisse des dépenses publiques.
Que vous inspire la valse-hésitation du gouvernement sur la fiscalité de l'épargne ?
Jean-François COPÉ - Le mot qui revient dans la bouche des Français est celui de confiscation voire de spoliation. D'où provient l'épargne? Principalement du revenu du travail des Français souvent les plus modestes, qui a déjà été taxé par les prélèvements sociaux et au titre des revenus. L'épargne, c'est aussi le moyen pour les Français d'aider leurs enfants et de se protéger des accidents de la vie. Avec son projet, le gouvernement s'attaque à notre modèle de société en frappant salariés et indépendants d'une part, retraités d'autre part. Il n'y a derrière tout cela qu'une vision idéologique, pas une vision économique. L'impôt est perçu comme un moyen de punir, de donner des leçons de morale et c'est insupportable. Je ne comprends pas que le gouvernement persiste à vouloir décourager ceux qui travaillent, ceux qui se donnent du mal.
(...)
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Re: Le "ras-le-bol fiscal" invité des municipales
Bonjour,
Qu'en pensez vous ?La pression fiscale qui s'exerce sur les Parisiens atteindra bientôt ses limites, a estimé aujourd'hui Bertrand Delanoë, qui réclame le retrait d'un projet prévoyant une contribution accrue de sa ville aux dépenses sociales des départements.
"Ce nouveau projet soutenu par le gouvernement ne peut recueillir mon accord", écrit dans un communiqué le maire de la capitale, qui rejoint les rangs des élus ou des associations professionnelles qui demandent à Jean-Marc Ayrault de revoir à la baisse ses prétentions fiscales pour 2014.
"Le marché immobilier est fragile et la pression fiscale qui s'exerce sur les Parisiens va aussi toucher ses limites", ajoute-t-il à propos d'un nouveau fonds de solidarité dont les ressources seront financées par un pourcentage sur les droits de mutation. L'édile socialiste, qui est considéré comme un candidat à un poste au gouvernement en cas de remaniement, demande "solennellement au Premier ministre", d'épargner la ville de ces nouvelles contributions financières.
Paris estime payer sa part de l'effort de réduction des dépenses de l'État
Le gouvernement prévoit de demander un effort de solidarité accru entre les départements français pour aider les plus pauvres d'entre eux à faire face à leurs dépenses sociales comme le Revenu de solidarité active (RSA) ou l'Allocation personnalisée d'autonomie (APA). "A Paris il y a beaucoup de populations fragiles", explique-t-on au cabinet de Bertrand Delanoë, où l'on indique que les aides sociales ont augmenté de 20% entre 2007 et 2012 pour atteindre 480 millions d'euros, dont 192 millions sont restées à la charge de la ville.
(...)
L'intégralité de cet article sur Le Figaro.fr
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