"Charlie Hebdo" : "C'est reparti !"

[Narbonne]

Je viens de l'acheter.

[Golgoth]

L'humour pipi-caca a disparu ?

Pas totalement, mais c'est plus équilibré.
Et les articles sont intéressants. Reste que pour le prix, il n'y a pas un contenu énorme, si on compare au Canard par exemple.

[Nombrilist]

Le prix, c'est à cause de l'impression couleur et des dessins je pense.

[Golgoth]

Possible. Si cela reste sur cette ligne je vais l'acheter plus régulièrement.

[politicien]

Bonjour,

Un article qui passe mal. Interviewé par les journalistes de Médias le Mag, le rédacteur en chef de Charlie Hebdo Gérard Biard est revenu sur l'enquête publiée le 19 février dernier dans M Le Magazine, dans laquelle la journaliste Raphaëlle Bacqué revient sur "le casse-tête de la reconstruction" du journal satirique, évoquant notamment les tensions au sein de l'équipe, mais aussi les anciens conflits.

La pilule ne passe pas pour Gérard Biard. "J'ai l'impression qu'il y a presque un acte manqué dans cette couverture" qui montre un Charlie Hebdo chiffonné, explique notamment le rédacteur en chef du journal dans l'émission de France 5 diffusée ce dimanche, avant d'ajouter : "Comme si on avait voulu terminer ce que les frères Kouachi n'ont pas fini. Et quand on lit l'article, l'impression se confirme un peu."

Dans l'enquête de trois pages du supplément du quotidien qui détaille les coulisses de la résurrection de Charlie Hebdo après les attentats de janvier, la journaliste évoque notamment "les discussions sur le capital du journal" qui "ont commencé à révéler des désaccords".

(...)

L'intégralité de cet article à lire sur Le Point.fr

[Cheshire cat]

On peut ne pas aimer , voire détester quelqu'un, et ne pas vouloir qu'il soit exécuté de cette façon. C'est mon cas ! Je n'ai jamais aimé ce canard ....mais de là à les tuer .......

Je me souviens de la réaction d'un intellectuel New-yorkais libéral (comprendre de gauche) après les attentats du 11 septembre 2001.
Bien sur, n'aimait pas le World Trade Center mais dit, avec cette façon tout à fait américaine de prendre un exemple dans la vie quotidienne pour illustrer une idée: " c'est comme quand vous avez un voisin que vous détestez et que vous apprenez qu'il s'est fait assassiner, cela vous fait un choc ..."

[politicien]

Bonjour,

Le journal satirique a retrouvé cette semaine son rythme de parution hebdomadaire. Et des jours presque tranquilles. L'édito de Riss est ironiquement titré "Il faut sauver l'islam de France". Première cible des journalistes et dessinateurs de Charlie, le FN est gratifié d'un article de Jean-Yves Camus et d'une illustration de couverture. "Dédiabolisé à fond !" s'exclame au premier plan un militant au visage patibulaire et couturé, gourdin et treillis sur des rangers, mais avec une lyre et des ailes. Ce numéro, le troisième depuis la tuerie du 7 janvier contre l'hebdomadaire (12 morts), sera tiré à 1,56 million d'exemplaires, a précisé à l'AFP Éric Portheault, cogérant de l'hebdomadaire satirique. 260 000 exemplaires seront destinés aux abonnés du journal, et 140 000 à l'export, a-t-il ajouté.

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L'intégralité de cet article à lire sur Le Point.fr

[politicien]

Bonjour,

Ils craignent que le journal, devenue une «une proie tentante, fasse l'objet de manipulations politiques et/ou financières». Depuis l'attentat, l'hebdomadaire a recueilli près de 30 millions d'euros en dons, aides et ventes.

La division persiste à Charlie Hebdo trois mois après l'attentat qui a décimé sa rédaction: quinze salariés ont de nouveau réclamé un statut d'«actionnaires salariés à part égale» du journal, expliquant dans une tribune mercredi dans Le Monde«refuser qu'une poignée d'individus prenne le contrôle» de l'hebdomadaire.

Réunis en un collectif qui comprend l'urgentiste Patrick Pelloux, le dessinateur Luz et le journaliste Laurent Léger, sans aucun des dirigeants actuels, ils estiment que Charlie Hebdo est désormais un «bien commun» et dénoncent le «poison des millions». Le journal a recueilli près de 30 millions d'euros en dons, aides et ventes depuis l'attentat.

Ces salariés disent craindre «que le journal, devenu une proie tentante, fasse l'objet de manipulations politiques et/ou financières». Une déclaration qui met en cause sans les nommer les dirigeants - le dessinateur Riss, le directeur général Eric Portheault, le rédacteur en chef Gérard Biard, et l'avocat du journal Richard Malka. Estimant ne rien savoir des projets actuels de création d'une «fondation», les contestataires réclament qu'«elle soit l'émanation d'un projet mûrement réfléchi par l'ensemble du journal».

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L'intégralité de cet article à lire sur Le figaro.fr

Qu'en pensez vous ?

[El Fredo]

Qu'est-ce qu'ils attendent pour passer au régime coopératif comme Le Canard Enchaîné ?

[Ramdams]

Ils pourraient créer beaucoup d'emplois avec une telle manne financière.

[Agatha kh]

Ils sont communistes dans l'âme ; il leur faut donc distribuer aux plus nécessiteux, tout ce pognon qui embarrasse tant !

[politicien]

Bonjour,

Alors que le livre posthume de Charb sort en librairies ce jeudi, l'engouement autour de Charlie Hebdo est-il toujours là? Trois mois après les attentats, la solidarité est retombée mais le journal se vend quand même mieux qu'avant.

Trois mois après les attentats, les ventes de Charlie Hebdo atteignent-elles toujours des records? Le choc et le mouvement de solidarité passés, il semblerait que l'image mémorable des files d'attentes devant les kiosques pour acheter le fameux numéro du 14 janvier, le premier après l'attaque sanglante perpétrée par les frères Kouachi contre le siège du journal, appartienne désormais au passé.

Chute des ventes de 90%
Si Charlie Hebdo continue à se vendre, l'engouement est retombé et le rythme des ventes est désormais bien moins élevé qu'en janvier. Un kiosquier parisien explique ainsi à BFMTV qu'aujourd'hui, seule la moitié des hebdomadaires livrés sont achetés. "On m'en donne beaucoup mais je n'arrive à vendre qu'une cinquantaine d'exemplaires", raconte-t-il. "Sur les huit millions d'exemplaires écoulés en janvier, beaucoup de gens ne l'achètent plus. Ca, on ne le verra plus, c'est sûr".

Chez d'autres vendeurs de journaux, les ventes ont chuté de 90%, mais restent plus importantes qu'avant les attaques, la solidarité et la défense de la presse opérant toujours.

(...)

http://www.bfmtv.com/culture/trois-mois ... 78156.html

Qu'en pensez vous ?

[Ramdams]

Pas plus que je n'ai acheté le "journal des survivants", je n'achèterai pas Charlie Hebdo. Ils refont de la m...., comme avant, avec des unes pipi-caca.

[Ramdams]

Zineb El Rhazoui, journaliste membre de la rédaction de Charlie Hebdo, a reçu, mercredi 13 mai, un courrier de la direction la convoquant à un entretien préalable à un licenciement pour faute grave, a appris Le Monde. Elle est d’ici là mise à pied. Contactée, la direction refuse de commenter « une procédure en cours et interne », mais insiste sur le fait qu’il ne s’agit que d’une convocation à un entretien, pas d’un licenciement effectif. La décision intervient dans un contexte de tensions entre la direction et la rédaction. (...)

Au fond, Mme El Rhazoui s’estime aujourd’hui victime d’une « mesure punitive » pour avoir contesté la direction actuelle de Charlie Hebdo. Elle a fait partie des signataires d’une tribune parue fin mars dans Le Monde demandant une « refondation » du journal et une gouvernance – ainsi qu’une structure de capital – beaucoup plus collégiale qu’aujourd’hui. Le capital est actuellement détenu à 60 % par le directeur de la publication Riss et le directeur financier Eric Portheault. Ils travaillent de façon assez étroite avec le rédacteur en chef Gérard Biard (L’avocat Richard Malka, proche de la direction et notamment actif dans un projet de fondation, a lui fait savoir début avril qu’il se concentrerait désormais sur les dossier de droit de la presse du journal).

La tribune des journalistes – qui ont créé une association – n’avait pas plu à la direction, qui s’est estimée injustement visée. Un e-mail a été envoyé aux signataires, leur demandant de ne pas émettre de critiques à l’extérieur. Par ailleurs, les salariés ont été consultés sur leur vision du futur du journal, dans l’optique d’une future nouvelle formule.

« Après une phase où on pensait qu’une vraie discussion avait repris, les choses ne passent aujourd’hui pas bien », estime un journaliste signataire de la tribune.

Le Monde

Peu à peu, la vérité tombe sur ce journal. Depuis le départ de Pr. Choron, et encore davantage depuis l'attentat, la direction est autoritaire. C'est une des raisons pour laquelle je ne peux pas être Charlie et je suis d'autant plus heureux de ne pas avoir arboré cette pancarte.

[Baltorupec]

Le peu que j'ai lu, je les trouvais très "donneur de leçon", après je ne les ai jamais beaucoup lu et je n'ai jamais été très tenté de les lire.