Le "vrai"CV de Mélenchon !

[Vincendix]

Jean-Luc Mélenchon,
Né à Tanger, il est normal que Jean-Luc Mélenchon aime l’argent (anagramme, bof !)… C’est à l’âge de 11 ans qu’il arrive en France et, dès ses premiers pas dans le pays de Caux, au bord des falaises, il déclare à qui veut l’entendre qu’il sera Président de la République et il apprend la Marseille par cœur (plus tard, il en fera autant avec l’Internationale). C’est en chantant l’hymne national qu’il entre au lycée Rouget de Lisle de Lons-le-Saunier où en mai 68, il déclare du haut d’une tribune : de l’audace, encore de l’audace toujours de l’audace (Une phrase attribuée à tort à Danton). Fougueux et désordonné, il quitte ses amis de l’UNEF pour des raisons obscures. D’après quelques indiscrétions, l’un des dirigeants de ce syndicat lui aurait soulevé Marianne, une fille qu’il convoitait. Il rejoint un mouvement trotskiste puis, son chagrin d’amour oublié, il revient à un UNEF relooké. Mais il a le bourdon et butine à de nombreuses obédiences avant de saisir l’opportunité de se faire remarquer au sein de la cour de François de Jarnac, comte de la Francisque, marquis de Solutré, grand échevin de Château-Chinon. En hardi moustiquaire de sa Majesté François, il ferraille contre les mouches du coche que sont Rocard et Chevènement. Puis l’ère de son mentor se terminant, il se lie avec Julien Dray qui lui aussi veut rouler de plus en plus à gauche, au risque de basculer dans le ravin du PC. Jean-Luc s’oppose à la guerre du golfe, on ne sait pourquoi, lui non plus. Ayant des problèmes de vue, il flirte avec Marie-George Buffet, devient copain avec José Bové et Olivier Besancenot pour dire NON au traité de l’Europe. Navigant à la godille dans la mare gauchiste, il cherche un port d’attache mais la houle le repousse au large. Il faut savoir que dans les ports bretons il est indésirable, une vague histoire de régionalisme qui a fait des remous. Il faut dire aussi que ses prises de position au sujet de la Chine au Tibet déplaisent aux yétis. Et que dire de ses relations avec les journalistes, c’est de la haute tension, lui qui se veut branché, disjoncte souvent devant un micro. Toujours aussi opportuniste, il saisit l’occasion de guider les moutons bêlants du PC, la bergère ayant rendu sa quenouille. Son bâton de berger au poing il se lance dans la course à l’Elysée, rassemble les troupeaux égarés en leur promettant une herbe fraîche et drue… à suivre…

[mps]

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Décidément, tu te gaspilles ! Un talent comme le tien mérite une audience plus large ...

[cmoi]

Présente, je ne manque jamais de te lire, quel talent !

[Vincendix]

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Décidément, tu te gaspilles ! Un talent comme le tien mérite une audience plus large ...

Présente, je ne manque jamais de te lire, quel talent !

Sois rassurée MPS, j'ai une large audience, mais pas pour ce genre humoristique...

Merci ctoi...